Arturo est mort

Ceux qui l'ont capturé, ceux qui l'ont enfermé, ceux qui ont payé pour le voir, ceux qui vont aller en chercher un autre : qu'ils crèvent tous.......

 

Lentement, à petit feu.

 

Il y a des jours où la disparition quasi totale de l'humanité me laisserait de marbre (de tombe).

 

Et qu'on ne m'oppose pas l'amour de son prochain.

 

Je n'ai aucune proximité avec ces gens-là. AUCUNE. 

 

Et ceux et celles qui trouvent mes propos exagérés, lisez bien, lentement, cet article. 

 

Et ensuite, pensez bien à tous les animaux qui sur l'ensemble de la planète vivent le même épouvantable calvaire. 

 

Juste pour le "spectacle."

L'humain inséré dans la masse humaine n'a pas d'humanité et la notion même d'humanité ne porte finalement aucun amour en elle. Elle n'est qu'une excroissance néfaste au service d'une idéologie que je vomis : L'homme tout puissant.

Je rêve parfois de cette extinction partielle de cette espèce humaine telle que l'a racontée Barjavel dans son roman "Ravages." 

Si tous les animaux que l'homme extermine, torture, décapite, égorge, broie, dépèce, maltraite, condamne à la folie, à la prison, aux expérimentations médicales, si tous ces animaux poussaient tous en même temps, un cri de rage, l'humanité entière en mourrait de terreur.

I have a dream. A no man's land.

"Terre des hommes" écrivait Saint-Exupéry.

"Terre sans hommes" serait pour la planète un avenir heureux.

Je ne poste pas ici tout ce que je lis. Mais j'ai dans mes dossiers des dizaines et des dizaines d'articles qui décrivent l'ampleur incommensurable du massacre quotidien. 

Et là, quand je m'égare sur les sites d'actualité, je tombe sur des dizaines d'articles qui décrivent "la passion pokémon..."

Qu'ils crèvent tous.

 

 

 


L'animal s'est éteint à presque 31 ans au zoo de Mendoza, en Argentine, après avoir passé 23 ans en captivité. Ses conditions de vie inadaptées à ses besoins naturels avaient suscité l'indignation des défenseurs de la cause animale.

 

L'ours vivait au zoo depuis 1993 et souffrait de dépression. ©Pablo Astie/AP/SIPAL'ours vivait au zoo depuis 1993 et souffrait de dépression. ©Pablo Astie/AP/SIPA

DECES. Il était surnommé "l'ours le plus triste du monde" depuis la perte en 2012 de sa compagne Pelusa, morte d'un cancer, et qui partageait son enclos depuis plus de 20 ans. Il s'est finalement éteint dimanche 3 juillet, dans son enclos de Mendoza, où il a passé la plus grande partie de sa vie. Fatigué par son âge avancé, l'ours avait perdu l'appétit ces dernières semaines et sa vue diminuait considérablement. L'animal serait entré dans une phase dégénérative irréversible vendredi 1er juillet....

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vigilante @vigilantevet

RIP Arturo the polar bear. He died yesterday at the age of 31 after suffering for 23 years at the Mendoza Zoo. ♥

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Un ours atteint de folie

Quelques pas en avant, retour en arrière, tête qui balance... L'ours Arturo avait développé le comportement type d'un animal "devenu fou", juge Bill McDonald, directeur général de la Winnipeg Humane Society, interrogé parCBS News. Pour les défenseurs des animaux, Arturo avait sombré dans la dépression. 

"Arturo n'est pas sorti de son état dépressif depuis la disparition de la femelle", a déclaré le directeur du zoo Gustavo Pronotto à l'AFP.

Si la mort de l'ourse Pelusa en 2012 a permis la médiatisation des conditions de vie de son compagnon, l'animal vivait à Mendoza depuis 1993 dans un enclos exposé aux fortes chaleurs, après avoir passé huit ans en captivité aux Etats-Unis, où il est né. L'ours polaire, habitué en milieu naturel à des températures négatives allant jusqu'à -50 degrés, devait supporter en Argentine un climat particulièrement doux, avec 11 degrés de moyenne en hiver et jusqu'à 40 degrés au plus chaud de l'année. 

Une pétition lancée en 2013 demandant le transfert de l'animal dans un parc zoologique au Canada, plus proche de son habitat naturel, avait amassé plus d'1,2 million de signatures. Mais le transfert n'a jamais eu lieu, les vétérinaires craignant notamment que l'animal, trop vieux, ne survive au déplacement. Arturo était le dernier ours polaire d'Argentine, après la mort en 2012 de Winner à Buenos Aires. L'animal, lui aussi dépourvu d'un environnement adapté, avait succombé à la canicule...

 

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