KUNDALINI : Un souvenir de jeunesse

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Maud, professeur de yoga, a cinquante-deux ans. Laurent, son mari, l’a quittée. Sans aucun signe précurseur.

Une rupture destructrice. Des mois de détresse, de colère, de remords, d'interrogations sans fin.

Puis Maud décide de s'accorder un séjour dans une région perdue des Alpes. Besoin de nature et de paix intérieure.

Elle va rencontrer Sat, un homme plus jeune qu'elle. D'origine hindoue, il détient la clé de l'éveil de Maud. Elle va vivre avec lui une réelle métamorphose.

Naturisme, méditation, respect, silence, contemplation, libération, conscience… Sexualité sacrée vers le couple divin. Illumination.

Jusqu'à l'ultime révélation… Ce qui est au-delà du connu.

« Puisque nous pensons en fonction de nos expériences et des sensations éprouvées, qu'en est-il lorsque la sensation est irrationnelle ? À quelle objectivité peut-on prétendre ? Une émotion qui n'a pas de raison d'être et qui en vient à briser toutes les certitudes et les modèles intégrés doit-elle être rejetée ou pleinement explorée ? Quitte à prendre des risques au regard d'une vie formatée…

Je n'avais pas le choix. Il fallait que j'écrive ce roman… Je ne pouvais pas déposer simplement de telles questions dans un coin de ma tête au risque qu'elle se mette à pencher d'un côté. »

Le mot de l’éditeur : « Thierry Ledru signe ici un OVNI littéraire. Une fiction qui a des allures d’essai philosophique, et qui trace un cheminement spirituel tout en emportant le lecteur dans une histoire grandiose et poétique. Un roman qui éveille les consciences et les sens, le tout composé d’une écriture magnifique et envoûtante ».

 


Voilà donc la couverture que j'aime infiniment. Un hommage à Nathalie et je la remercie de l'avoir accueilli. C'est cette image-là que je souhaitais pour ce livre. J'ai ajouté une dédicace également :

"A Nathalie, la femme que j'aime à chaque instant et que j'ai déjà aimée, en d'autres temps." 

 

Le texte de 4 ème de couverture. 

"Ovni littéraire"

L'expression utilisée par Anita Berchenko, fondatrice des éditions du 38, me touche particulièrement.

L'histoire remonte à ma classe de seconde au lycée. M Ollier, professeur de français, tenait dans la main une liasse de feuilles de classeur. Il avait distribué les devoirs de toute la classe et il lui restait le mien. Je m'en souviens très bien. Le thème demandait de travailler sur un texte relatif à l'oeuvre de Howard Philipps Lovecraft. "Une rupture totale dans la vie d'un homme" dans le mode fantastique et noir...

J'avais donc imaginé la vie bien huilée d'un fonctionnaire (je venais de lire "la métamorphose" de Kafka.) Cet homme emprunte tous les jours la même route pour aller à son travail et il passe au pied d'une falaise imposante, une ancienne carrière abandonnée. Le lieu est devenu une école d'escalade et les gens viennent aussi parfois y pique-niquer à l'ombre des grands arbres. 

Un jour, cet homme s'arrête après une journée particulièrement misérable. Comme le reste de sa vie. 

Il sort de la voiture et se dirige vers la falaise. Aimanté. Il abandonne sa veste, retire sa chemise et s'approche du rocher. Il y pose les mains, fasciné. 

La suite est trop longue...Il faudrait que je reprenne ça un jour  :) 

M Ollier tenait donc la liasse de feuilles dans la main et il a dit :

"Ledru, vous savez comment ça s'appelle ce que vous avez écrit ? C'est un ovni littéraire. Continuez à écrire et un jour, vous serez édité."

Merci M Ollier. Je n'ai jamais oublié.

Merci à Anita Berchenko, d'avoir ranimé le souvenir.

 

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