La légèreté.
- Par Thierry LEDRU
- Le 07/01/2010
- 0 commentaire
"Puisqu'on ne peut être universel et savoir tout ce qui se peut savoir sur tou, il faut savoir peu de tout.
Car il est bien plus beau de savoir quelque chose de tout que de savoir tout d'une chose; cette universalité est la plus belle."
Blaise Pascal.
J'aime dans ce texte l'idée que l'individu gagne sa liberté en s'ouvrant à tous les savoirs dans la mesure du possible plutôt que de voir l'individu courir le risque de s'enfermer dans un savoir limité par l'horizon qu'il propose.
Cette recherche et cette ouverture vers d'autres horizons, cette interdiction que je m'impose à refuser ce qui n'entre pas dans le cadre de mon éducation, je la vois comme la possibilité pour l'égo de ne pas établir sa préséence sur un piédestal mais bien plutôt pour l'égo la nécessaire extension depuis une base sans cesse rejointe. On pourrait y voir une certaine similitude avec le Sysiphe de Camus sauf que le rocher, c'est ce savoir qui redescend sans cesse au pied de la montagne. Il faut à mon sens lâcher ses certitudes et s'astreindre à se charger de nouveaux fardeaux.
Peut-être qu'à force de me charger ainsi je finirai par découvrir la légèreté.
Car il est bien plus beau de savoir quelque chose de tout que de savoir tout d'une chose; cette universalité est la plus belle."
Blaise Pascal.
J'aime dans ce texte l'idée que l'individu gagne sa liberté en s'ouvrant à tous les savoirs dans la mesure du possible plutôt que de voir l'individu courir le risque de s'enfermer dans un savoir limité par l'horizon qu'il propose.
Cette recherche et cette ouverture vers d'autres horizons, cette interdiction que je m'impose à refuser ce qui n'entre pas dans le cadre de mon éducation, je la vois comme la possibilité pour l'égo de ne pas établir sa préséence sur un piédestal mais bien plutôt pour l'égo la nécessaire extension depuis une base sans cesse rejointe. On pourrait y voir une certaine similitude avec le Sysiphe de Camus sauf que le rocher, c'est ce savoir qui redescend sans cesse au pied de la montagne. Il faut à mon sens lâcher ses certitudes et s'astreindre à se charger de nouveaux fardeaux.
Peut-être qu'à force de me charger ainsi je finirai par découvrir la légèreté.
Ajouter un commentaire