Chakras et Auras (spiritualité)
- Par Thierry LEDRU
- Le 13/01/2016
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20Oct
Nos Chakras, Auras et Corps Subtils
Publié par Sophia Mézières Astrologue Conseil - Catégories : #Les Chroniques du Zodiaque
Auras, corps subtils et chakras
Chakra veut dire "Roue" en sanscrit, langue sacrée de l'Inde. |
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L'énergie véhiculée en nous par les chakras doit être régulière, ni trop, ni pas assez. Source d'information : http://www.pouvoirdespierres.com/chakras.php
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Description des sept principaux chakras
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Premier chakra
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Deuxième chakra Nom: Chakra Sacré, chakra du sexe, Swadhisthana. |
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Troisième chakra Nom: Chakra du plexus solaire, Manipura. |
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Quatrième chakra Nom: Chakra du coeur, Anahata. |
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Cinquième chakra Nom: Chakra de la gorge, centre de la communication, Vishuddha. |
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Sixième chakra Nom: Chakra du troisième oeil, chakra du front, chakra du commandement, Ajna. |
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Septième chakra Nom: Chakra de la couronne, coronnaire, Sahasrara. |
Nos Corps Subtils :
Les diverses traditions spirituelles du monde entier, et, parmi elles, la philosophie et la spiritualité indiennes issues du yoga, nous enseignent que l’homme n’est pas seulement constitué d’un corps physique, mais aussi de corps énergétiques, dont l’ensemble est appelé traditionnellement « corps vital » ou encore « corps astral ».
C’est ce corps énergétique qui effectue le lien entre l’âme et le corps physique de l’individu. C’est d’ailleurs, chez une personne, le détachement du corps vital du corps physique qui est cause de sa mort physique.
De chacun des corps subtils dont l’ensemble compose le corps « énergétique » (ou « vital » ou « astral ») de l’individu émane une « aura », qui est en quelque sorte le révélateur de l’état de santé du corps subtil auquel elle est liée.
Chaque corps subtil est alimenté en énergie par l’un des sept chakras situés le long de la colonne vertébrale, ou plutôt de sa contrepartie éthérique, traversée par le « méridien d’énergie » (= nadi) majeur auquel la tradition indienne, représentée par le yoga, a donné le nom de Sushumna.
La pensée, la philosophie et la spiritualité à l’origine de cette conception énergétique du corps de l’homme ont exercé une influence fondamentale sur d’autres domaines, notamment sur celui de la médecine et de la santé.
C’est en effet sur le corps vital du sujet, traversé de méridiens d’énergie, qu’agissent l’ensemble des médecines énergétiques, comme l’acupuncture ou le magnétisme, ainsi que la majeure partie des médecines naturelles, comme l’homéopathie ou encore la phytothérapie.
Les auras
Tous les grands maîtres issus de diverses traditions (aussi bien orientales qu’occidentales) ont pris conscience que l’homme n’était pas seulement constitué d’un corps physique, mais d’autres corps, appelés « corps énergétiques » ou « corps subtils », de chacun desquels émane une aura.
Les auras sont des radiations énergétiques invisibles à l’œil physique (mais perceptibles par « l’œil du clairvoyant » ou encore par ce que la Tradition a dénommé le « troisième œil ») qui circonscrivent le corps matériel d’un individu.
Dans le langage courant, on ne fait pas la distinction entre les différentes auras ; c’est pourquoi l’on emploie très fréquemment, si ce n’est exclusivement, le terme au singulier, parlant alors de « l’aura d’une personne ».
Le nombre exact des auras varie en fonction des traditions, sans doute parce qu’il est difficile de les délimiter avec précision, tout comme il est difficile de séparer nettement les couleurs de l’arc-en-ciel, dans la mesure où la variation d’intensité du faisceau lumineux qui permet de passer de l’une à l’autre est continue, et non discontinue.
Si nous nous en tenons à la classification qui est le plus généralement admise pour décrire les auras, notons qu’il y a, dans l’ordre croissant, c’est-à-dire en partant de l’aura la plus dense, « située » juste après le corps physique :
1) L’aura éthérique
2) L’aura astrale
3) L’aura mentale
4) L’aura causale
5) L’aura de vitalité divine
6) L’aura d’esprit divin
Pour approfondir la connaissance des auras et s’initier à leur méthode de lecture (présentée de manière très claire, à l’aide de termes transparents et exempts de toute connotation faussement mystique), dans le but de pouvoir par la suite être en mesure d’établir un diagnostic thérapeutique, nous recommandons vivement la lecture de Les Robes de Lumière, lecture d’aura et soins par l’esprit, de Daniel et Anne MEUROIS-GIVAUDAN.
Les corps subtils
Les auras, dont nous venons de parler, représentent la manifestation plus ou moins tangible des « corps subtils », dont elles sont l’émanation.
Il faudra donc faire attention à ne pas confondre l’aura éthérique et le corps éthérique, l’aura astrale et le corps astral, l’aura mentale et le corps mental et ainsi de suite…
L’aura représente donc en quelque sorte la fiche de santé du corps subtil dont elle émane, dans la mesure où elle reflète parfaitement son état et que c’est par son intermédiaire que celui-ci peut se prêter à l’observation.
Les « corps subtils » sont des « corps énergétiques » (donc non « matériels », la matière n’étant autre qu’une densification des énergies subtiles) qui déterminent et reflètent notre état général, aux plans aussi bien physique, qu’émotionnel, mental et spirituel.
Ils sont « situés à l’intérieur » (s’il est permis d’utiliser cette expression pour évoquer des réalités immatérielles, et donc non situées dans l’espace physique) du corps physique et se présentent dans un ordre croissant inverse à celui des auras en ce qui concerne leur étendue : autrement dit, plus l’aura est étendue, plus le corps subtil dont elle est l’émanation est petit.
Si l’on se propose de présenter et de classer ces corps en suivant un ordre croissant (du moins étendu au plus étendu), ils apparaîtront dans l’ordre suivant (chaque corps plus petit étant imbriqué dans le corps plus grand, toujours en suivant le même principe des poupées russes) :
1) Le corps d’esprit divin
2) Le corps de vitalité divine
3) Le corps causal
4) Le corps mental
5) Le corps astral
6) Le corps éthérique
7) Et enfin le corps physique
Présentons brièvement chacun des corps
Le corps d’esprit divin
C’est le noyau de notre Être, l’ « espace » où il est possible de rencontrer Dieu et de faire l’expérience de la divinité. Il se localiserait dans le centre du cœur.
Il est d’ailleurs très intéressant de noter que Platon, dans le Timée, écrit que le lieu de résidence de l’âme dans le corps humain se situe en réalité dans le cœur et non dans la tête.
Le corps de vitalité divine
Pour les raisons que nous avons exposées plus haut en parlant des auras, nous ne pouvons pas dire grand’ chose de ce corps, si ce n’est que ceux qui parviennent à l’activer (et, avec lui, l’aura qui en émane) sont parvenus à développer une extraordinaire énergie d’amour et d’abnégation de soi.
Le corps causal
Ce corps se présente, à l’œil du clairvoyant, comme une sorte de « carte d’identité » de la personne, qui, comme sont nom l’indique, le met en rapport avec le monde des « causes » qui font de l’être humain ce qu’il est (personnalité, qualités de tout genre et organisme physique).
C’est à ce corps qu’est associé en Orient la notion de « karma» (ou loi de cause à effet), loi selon laquelle tout acte moralement qualifiable produit un fruit qui aura des répercussions dans la vie future de la personne qui a commis cet acte.
Certaines maladies (dites « karmiques ») peuvent trouver leur origine dans ce corps. Pour les guérir, il conviendra alors de faire un profond travail sur soi (travail de pardon) pour effacer les conséquences que des actes « mauvais » ont pu avoir sur notre vie présente (le « mal » étant conçu dans cette perspective comme ce qui est générateur de souffrance pour les autres, mais aussi pour soi-même).
Le corps mental
C’est dans ce corps que prennent forme toutes les pensées émises par une personne.
Le corps mental (et l’aura qui lui est associée, l’aura mentale) révèle donc la manière dont pense une personne.
Une pensée a donc une « consistance » énergétique, et, lorsqu’elle se répète et s’intensifie (par le bais du processus de focalisation, c’est-à-dire la concentration de l’esprit sur une image ou une idée), elle finit par se matérialiser. Il n’y a qu’à voir, au niveau le plus banal, l’influence que peut avoir sur le corps le fait de ne penser qu’à la maladie : très souvent, l’on finit par réellement tomber malade.
C’est pourquoi il est de la plus grande importance d’apprendre à maîtriser ses pensées, dans la mesure où elles déterminent notre devenir : c’est cet enseignement que les sages de l’Inde voulaient transmettre lorsqu’ils affirmaient que « l’homme devient ce qu’il pense ».
Le corps astral
C’est le corps où naissent et s’établissent l’ensemble de nos émotions.
Ce corps est, après le corps éthérique, le plus proche du corps physique. C’est pourquoi son influence sur ce dernier est quasi-directe, ce qui signifie qu’une émotion positive génèrera presque instantanément une sensation de bien-être dans le corps, alors qu’une émotion négative, surtout si elle est refoulée et répétée, sera génératrice de trouble physique, voire, si elle n’est pas évacuée, de maladie.
Le corps éthérique
C’est le corps subtil le plus dense et, par conséquent, le plus étroitement en contact avec le corps physique.
C’est dans ce corps que circule le prana, ou "énergie vitale" (appelé chi en Chine et ki au Japon, et à la circulation duquel visent directement des disciplines comme le Qi Gong, le Taï-Chi-Chuan ou encore l’Aïkido, pour ne citer que les plus diffusées en Occident), à travers des méridiens énergétiques (sur lesquels agissent les aiguilles d’acupuncture) appelés en Inde les nadis.
* Pour avoir plus de précisions à ce sujet, nous vous conseillons de lire Les Robes de Lumière, lecture d’aura et soins par l’esprit, de Daniel et Anne MEUROIS-GIVAUDAN.
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