De l'inconscient freudien aux neurosciences

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De l'inconscient Freudien aux neurosciences.

Le cerveau, siège de l'inconscient et de la conscience.
Le cerveau, siège de l'inconscient et de la conscience.

Un seul cerveau pour un inconscient et une conscience.

Comment parler de l’inconscient sans citer Freud ? Le concept d’inconscient Freudien a marqué le XIXe siècle tant sur le plan philosophique que sur le plan thérapeutique, notamment avec la psychanalyse. Les neurosciences et les progrès de l’imagerie fonctionnelle cérébrale nous enseignent pourtant que les théories Freudiennes sont bien loin de la réalité.
Qu’est-ce que l'inconscient? C’est bien sûr l’ensemble des processus et des actions qui échappent à notre conscience. C’est-à-dire notre système neuro végétatif qui gère notre respiration, notre activité cardiaque ou immunitaire, mais aussi toute l’activité psychique qui se déroule à notre insu. 
L’écrasante majorité de nos actions est inconsciente, car utiliser notre néocortex pour réfléchir et penser consciemment nous fatigue, consomme beaucoup d'énergie et prends du temps, beaucoup trop de temps pour répondre efficacement aux multiples situations de notre vie quotidienne.
Vous pensez avoir pris une décision consciemment? Détrompez-vous, le plus souvent votre inconscient l’a prise bien avant vous, avant même que vous n’ayez commencé à réfléchir. Que ce soit pour faire vos courses ou choisir votre partenaire dans la vie, c'est souvent lui qui décide.

Les fonctions de l'inconscient et du conscient.

Cerveau conscient et cerveau inconscient.
Le lobe frontal, siège de la conscience
et les structures internes de l'inconscient.

Le cerveau inconscient et le cerveau conscient.

On situe la conscience, en tant que fonction cognitive supérieure, dans le néocortex préfrontal, mais cette partie du cerveau est toute récente, quelques millions d’années alors que la vie est apparue il y a environ quatre milliards d’années. Il est évolué, mais lent et grand consommateur d’énergie.
Notre « ancien cerveau », inconscient, est toujours présent et actif, il a l’avantage d’être très rapide et de consommer peu d’énergie. Son rôle premier était d’assurer la survie et la reproduction, et pour cela il a développé deux stratégies : La peur et le plaisir.
Notre inconscient gère 90% de nos actes et de nos décisions, essentiellement par le circuit de la peur et le système de la récompense et du plaisir, associé au centre du dégoût. Ces deux circuits appartiennent aux structures anciennes de notre cerveau, et sont stimulées par les émotions, positives ou négatives. Notre psychisme et nos décisions sont donc extrêmement influencées par l’évitement de l’émotion de peur et la recherche de l’émotion de plaisir.

Le thalamus.
Le thalamus, il décide des informations que notre
inconscient va partager avec notreconscience.

Le thalamus: Le gardien de la conscience.

Le thalamus, une structure de notre ancien cerveau, donc très rapide, reçoit toutes les informations visuelles, auditives, gustatives, olfactives et kinesthésiques. Il compare automatiquement ces informations à une immense base de données, notre mémoire, et prend une décision.
L’information est banale et n’apporte rien de nouveau, le thalamus décide alors de ne pas la transmettre au cortex préfrontal, et vous n’en aurez jamais conscience. Pourtant cette information sera ajoutée à la base de données, c’est-à-dire gardée en mémoire.
L’information est suffisamment pertinente ou nouvelle, le thalamus la porte alors à votre conscience, où elle est examinée et devient une nouvelle connaissance, une nouvelle expérience, un nouvel apprentissage.
L’information comporte une notion de danger et une émotion de peur, le thalamus va la transmettre simultanément au cortex préfrontal et à l’amygdale cérébrale, autre structure rapide de notre cerveau inconscient, qui va déclencher les réactions appropriées au danger avant même que votre conscience n’ait commencé à y réfléchir.

L'hypnose et la mémoire.

Nous recevons onze millions d’informations par secondes, que notre conscience est bien incapable de traiter. Seules les informations les plus pertinentes, choisies par notre thalamus, sont donc transmises à notre conscience.
Mais ces informations ne sont pas perdues, elle sont enregistrées et gardées en mémoire dans l’immense base de données gérée par notre inconscient.
L’hypnose permet l’accès à l’inconscient et à cette mémoire, ce qui explique notre mémoire est bien plus performante en état d’hypnose qu’en état d’éveil. Quand on fait une régression en âge sous hypnose, on ne se souvient pas d’un évènement, on le revit, et on peut retrouver de nombreuses informations qui avaient échappées à notre conscience.

Le circuit de la peur

L'amygrale centre de la peur.Le circuit de la peur.
Le circuit de la peur, rapide par l'amygdale,
plus lent mais plus fiable par le cortex.

L’amygdale cérébrale et l’émotion de peur.

Les informations perçues par nos cinq sens sont donc transmise au thalamus qui les compare en permanence et automatiquement à sa banque de donnée, la mémoire de toutes nos expériences de la vie.
Si ces informations évoquent un danger, le thalamus va les transmettre au cortex préfrontal où nous en prendrons conscience, mais en même temps il va les transmettre à l’amygdale cérébrale où va naitre l’émotion de peur.
Avant même que vous n’ayez commencé à réfléchir, l’amygdale va déclencher les réactions de survie, de fuite ou de défense, en actionnant le système endocrinien (Sécrétion d’adrénaline) et le système neuro musculaire. Vous aurez commencé à bouger ou vous vous serez immobilisé avec tous les signes du stress (Accélération du rythme cardiaque, pâleur, sudation…) un tiers de seconde avant d'en avoir conscience.
Quelques centaines de millisecondes plus tard, la conscience, après réflexion, confirmera l’action si le danger est réel, ou l’interrompra si le danger n’était pas réel.
En pratique si votre thalamus reçoit l’information d’un ballon se dirigeant vers la chaussée, d’un enfant en train de courir et d’une voiture qui va croiser sa trajectoire, vous aurez commencé à vous déplacer pour rattraper l’enfant avant même que votre conscience n’en soit avertie.
Ce circuit de la peur est donc très rapide mais il peut se tromper, si votre thalamus reçoit l’image floue de votre vision périphérique d’une forme sombre allongée dans l’herbe, il peut vous immobiliser immédiatement dans une émotion de peur en la prenant pour un serpent.
Quelques centaines de millisecondes plus tard, votre conscience, par le cortex préfrontal aura examiné la situation et compris que ce n’était qu’un bâton sur le sol, il annulera alors les réactions de peur et de stress.
Tout le monde a déjà vécu à maintes reprises ces moments où le bruit d’une porte qui claque violemment nous surprend et provoque une décharge d’adrénaline qui nous immobilise dans un état de stress et une émotion de peur. C’est l’amygdale, par le circuit rapide de la peur qui a provoqué cette réaction.
Une fraction de seconde plus tard, la conscience du cortex préfrontal annulera cette réaction en constant qu’il n’y a pas de danger.
Plus le danger est important et imminent, plus la réaction est intense, elle peut aller du simple désagrément à l’état de panique le plus complet. Si vous rentrez chez vous, votre thalamus peut identifier en une fraction de seconde dans quel état d’esprit est votre conjoint, et s’il n’est pas bon, votre amygdale vous aura préparé et changé votre comportement avant même que votre conjoint n’ai prononcé le moindre mot. Si vous êtes agressé dans la rue avec un couteau sous la gorge, la réaction induite par votre amygdale sera d’une intensité bien différente.

Cerveau droit et cerveau gauche.
Réaction émotionnelle inconsciente rapide par le circuit
de la peur.

L’hypnose dans le circuit de la peur.

Le circuit de la peur passant par l’amygdale est donc rapide, puissant et efficace face au danger. Il commet parfois des erreurs, mais elles sont rapidement corrigées par notre conscience, et il vaut mieux prendre un bâton dans l’herbe pour un serpent et réagir instantanément, qu’ignorer une forme allongée dans l’herbe et se faire mordre par un serpent.
Mais ce circuit rapide de la peur dépend de notre mémoire inconsciente, cette base de données gigantesque où sont classés toutes nos expériences de la vie, tous nos apprentissages, et plus ils sont chargés d’émotion, plus ils seront disponible dans cette mémoire inconsciente et plus ils déclencheront de réactions de peur et de stress.
Mais que se passe-t-il si notre inconscient a associé par erreur une émotion négative à une information qui ne comporte aucun danger et l’a mise en mémoire dans sa base de données ?
Si enfant vous voyez l’un de vos parents, qui représente la raison et la connaissance, paniquer devant une araignée, il est fort possible que votre inconscient associe l’image de cette petite bête le plus souvent inoffensive à un danger extrêmement important, et déclenche toute votre vie un état de panique à sa vue.
Pendant votre scolarité vous avez été quelques temps le souffre-douleur d’un élève, et vous avez associé une micro expression de visage, un timbre de voix ou tout autre détail à ces moments désagréables, et à l’âge adulte si vous rencontrez une personne possédant certaines de ces caractéristiques, votre thalamus enverra cette information à l’amygdale et déclenchera un sentiment de malaise. Même si cette personne est la plus bienveillante qui soit.
Notre conscience peut corriger une information qui est fausse, par exemple, après examen et réflexion, ce n’est pas un serpent mais un bâton et il n’y a pas de danger. La réaction de l’amygdale est alors annulée.
Mais notre conscience ne peut pas modifier l’association de peur qui est liée à une information dans la mémoire, dans la base de données. Si vous avez la phobie des araignées, votre amygdale va déclencher une émotion de peur, votre conscience va confirmer que c’est bien une araignée et signaler qu’il n’y a pas de danger (Car vous avez appris que, raisonnablement, ce n’était pas dangereux), mais votre amygdale ne va entendre que la confirmation que c’est bien une araignée et entretenir la réaction de peur, car dans la base de données l’araignée est bien associée au danger.
C’est ce qui explique que l’émotion est toujours plus forte que la raison, et c’est là qu’intervient l’hypnose. En accédant directement à l’inconscient, l’hypnose peut corriger les associations erronées, gênantes et excessives de notre base de données.

Le système de la récompense.

Le circuit de la récompense.
Le circuit de la récompense.

Découverte du circuit de la récompense par Olds et Milner.

En 1954, James Olds et Peter Milner découvrent l’existence de centres du plaisir. L’expérience consiste à implanter une électrode dans une région du cerveau d'un rat, la stimulation électrique directe de cette région provoque une émotion de plaisir que le rat va chercher à reproduire. Si on apprend au rat à s’auto-stimuler en abaissant un levier relié au stimulateur, il va l’activer en permanence.
Ce système rebaptisé circuit de la récompense est tellement puissant que le rat ne pense plus à assurer ses besoins élémentaires comme s’alimenter, et il ne dort que pendant de brèves périodes pour reprendre cette stimulation sitôt éveillé. Même si on augmente l’intensité du courant électrique et que cela le projette violemment contre les cloisons de sa cage, le rat va immédiatement retourner s’auto-stimuler. Certaines zones sont sélectives et apportent la satisfaction de la sensation de soif, de faim ou du désir sexuel, d’autres procurent un plaisir général. Parmi ces zones le noyau accubens est l’un des plus connus.

Le rôle du circuit de la récompense.

Ce système présent chez tous les mammifères est destiné à assurer la survie et la reproduction.
De façon innée, s’alimenter active le circuit de la récompense, dès la naissance manger procure un plaisir, un peu plus tard la simple vue de l’aliment ou son odeur activera ce circuit et motivera l’action nécessaire pour y accéder. Plus tard encore la simple représentation mentale de l’aliment suffira à activer ce système. Ce système répond donc à des stimuli innés, comme la faim, la soif, le désir sexuel, la recherche de chaleur ou de fraicheur selon les conditions climatiques, la fatigue et le besoin de sommeil…
Notre état physique va moduler ce système de la récompense. Par exemple en début de repas le plaisir de manger va être intense, et diminuer à mesure que la sensation de faim disparait. Quand la sensation de faim a disparu, la vue d’un aliment n’activera plus ce circuit de la récompense. Il en va de même pour la soif, le sommeil ou le désir sexuel… Du moins tant que ce système n’est pas déréglé. A ce système de la récompense, que nous réduirons pour les exemples au noyau accubens, correspond un système opposé:
Le centre du dégoût et du déplaisir, situé dans le cortex insulaire encore appelé insula.

Cerveau droit et cerveau gauche.
Le cerveau, siège de l'inconscient et de la conscience.

Noyau accubens et addictions.

Des substances psychotropes comme certaines drogues vont stimuler directement et puissamment le noyau accubens, et vous rendre dépendant comme le rat dans l’expérience d’Olds et Milner. Il s’agit alors de drogues dures et de dépendance physique.
La dépendance psychique et bien plus fréquente, l’homme est un animal évolué et le circuit de la récompense n’est pas uniquement activé par des stimuli innés, appelés aussi stimuli inconditionnels. Il s’active également par des stimuli acquis, appelé stimuli conditionnels, qui fonctionnent sur le principe du réflexe conditionnel de Pavlow.
Notre cerveau inconscient fonctionne en faisant des associations, nous l’avons vu avec le circuit de la peur et l’amygdale cérébrale. C’est très rapide et efficace en cas de danger, mais parfois cela peut provoquer des phobies lorsque la notion de danger est associée par erreur à une information et que cela est inscrit dans notre mémoire.
Le noyau accubens va lui aussi être stimulé par des associations erronées. Qui vont dérégler le circuit de la récompense. Ainsi la cigarette dont la nicotine provoque une très faible dépendance physique va être associée aux moments de détente et de plaisir, et votre noyau accubens va vous la réclamer, par le principe du réflexe conditionné. De même les jeux d’argent peuvent devenir une addiction aussi puissante et destructrice que les drogues les plus dures.
La raison n’y pourra rien, le noyau accubenscentre du plaisir, sera toujours plus fort que la raison. La formation d’associations erronées peut aussi toucher les stimuli inconditionnels et innés, l’absence de faim ne modulera plus alors le plaisir de s’alimenter et conduira à l’obésité. Cela peut être sélectif pour un aliment comme le sucre ou concerner toute l’alimentation.

L'hypnose dans le circuit de la récompense.

Le noyau accubens, quand il est excité par un produit (Aliment, drogue...) ou une action (Rapport sexuel, jeux d'argent...) nous procure une sensation de plaisir. Mais quand il est averti par nos sens de la présence de ce qui lui procure du plaisir, il s'auto excite et nous pousse inexorablement à accomplir l'action qui va nous procurer ce plaisir. Et s'il est en état de manque, il vous incitera à ne penser qu'a lobjet de son plaisir. C'est la dépendance psychique.
L’hypnose fera le nettoyage de votre noyau accubens, l’accès à l’inconscient permet de changer les associations émotives erronées qui aboutissent à l’addiction et la dépendanceL’hypnose permet de reprendre le contrôle conscient sur sa vie, de se libérer des influences toxiques puissantes qui se sont glissées dans les mécanismes automatiques de notre inconscient.

Cet inconscient qui nous gouverne.

Noyau accubens et cortex insulaire.
Le noyau accubens., et le cortex insulaire.

Noyau accubens et cortex insulaire.

Faites-vous vos courses de façon consciente ? Difficile à admettre, mais bien souvent c’est votre inconscient qui décide de ce qu’il y aura dans votre panier.
Vous pensez voir un paquet de friandise et décider de l’acheter, mais votre noyau accubens a été informé de sa présence un tiers de secondes avant votre conscience et a déjà pris la décision en déclenchant le circuit de la récompense. Sans lui vous n’auriez peut être même pas remarqué la présence de ces friandises que vous n’aviez pas l’intention d’acheter en entrant dans le supermarché.
Mais il suffit qu’au même moment vous perceviez une odeur désagréable, que vous entendiez une blague de mauvais goût ou que le prix soit trop élevé et le cortex insulaire, centre du dégoût, s’active automatiquement.
Acheter ou ne pas acheter ne sera pas un choix conscient, vous suivrez l’avis du système le plus activé. Si le noyau accubens s’active, vous achetez, si l’insula prends le dessus, rien ne vous fait envie et vous n’achetez pas.
De nos jours le neuro marketing s’ingénie à faire naitre des associations erronées dans votre cerveau. C’est pour cela que votre noyau accubens s’activera à la vue du dernier smartphone, de cette marque de lessive, de parfum ou de produit laitier…

La conscience prendrait les décisions importantes ?

Laisser l’inconscient gérer les petites choses du quotidien, prendre les décisions à l’insu de votre conscience comme pour faire les courses, cela peut avoir des avantages. C’est rapide, sans cela vous mettriez des heures à vous décider entre deux produits.
Mais vous pensez gérer les décisions importantes de votre vie ? L’une de ces décisions les plus importantes est le choix du partenaire avec lequel vous vous engagez sur une relation à long terme, peut-être pour toute votre vie, et avec lequel vous aurez sans doute des enfants. Là encore c’est votre inconscient qui prend les décisions. Si vous dressiez la liste du pour et du contre, même si le contre l’emporte de loin sur le pour, vous commenceriez cette relation. Pire encore, si cette liste se confirme et s’allonge au fil du temps, votre inconscient vous pousserait à continuer cette relation. Vous en doutez ? Pour vous en convaincre lisez l'article sur le 
cerveau amoureux.

Le concept d'inconscient de nos jours.

L’inconscient: Un puissant calculateur au service de l'intelligence consciente.

Notre cerveau inconscient s’est perfectionné pendant quatre milliards d’années, alors que notre cerveau conscient n'a que quelques millions d'années. c’est un puissant calculateur qui sait admirablement gérer la coordination de nos mouvements et nos fonctions vitales.
Il passe son temps à enregistrer toutes les informations qu’il reçoit de nos cinq sens, il les classes dans une immense base de données, dans notre mémoire à laquelle il a un accès complet et instantané, alors que notre conscience ne peut accéder qu’a une infime partie.
Ces informations, il les associe à ce qui lui semble bon, mauvais ou dangereux pour nous, et a une émotion positive ou négative plus ou moins forte. Et plus l’émotion est forte, plus elle stimulera le système de la récompense, le centre de la peur ou le centre du dégout.
Ainsi à chaque instant notre comportement et la motivation qui nous pousse à accomplir une action ou une autre, est simplement la réponse à celui qui est le plus excité entre l’accubens, l’insula ou l’amygdale. On écoute celui qui crie le plus fort en nous.
Notre inconscient fait tout pour nous satisfaire, mais parfois il fait des erreurs, en associant une information à une émotion qui ne convient pas. Et corriger ce qu’il a gravé dans sa base de données, il n’y arrive pas, ou pas facilement. Et notre conscience, qui a un accès extrêmement limité a la mémoire, en est incapable aussi.
C’est certainement l’une des raisons de l’existence de l'hypnose, cet état intermédiaire entre le conscient et l’inconscient, par lequel la mémoire est totalement accessible, ainsi que la modification des émotions associées par erreur. Ce qui nous permet, par exemple, de nous libérer si facilement de phobies ancrées en nous depuis des années.

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