L'éducation multinationale...
- Par Thierry LEDRU
- Le 25/05/2015
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UN AN QUE JE LE DIS et l'institution qui me répond que je délire......
Il faudrait que j'aille chercher dans les centaines d'articles sur mon blog......
Les multinationales vont entrer dans les écoles......Je l'ai écrit et j'ai dit que je refusais d'y participer.
Et j'entends déjà les Belkacem et con-sorts clamer haut et fort que c'est magnifique, qu'il faut saisir toutes les possibilités pour aider nos jeunes, que c'est la cohésion sociale et patati et PATATRAS.
Et les parents sont contents et le gérant est un sauveur plein d'humanité pour ces "pauvres enfants abandonnés"...L'état détruit les fondements même de l'égalité et il applaudit quand des entreprises privées viennent pallier leurs déficiences, déficiences planifiées, volontaires et exécutées avec les mensonges les plus vils. Rien aucune honte, aucune remise en question, ils vont même certainement applaudir en disant que c'est un exemple pour le pays, que tout le monde oeuvre au bien être des enfants....
Des vendeurs de merde, des bouchers, des destructeurs des surfaces agricoles, utilisateur de produits génétiquement modifiés, supporters inconditionnels de Monsanto, des exploitants de la misère animale dans des fermes usines, des fabricants de gamins obèses..... Et tout ça porté en exemple.
Envie de vomir...
C'est l'éducation nationale ou l'éducation multinationales ?....Et moi, il faudrait que j'y retourne ????????
ALLEZ TOUS CREVER!
JE VOUS HAIS.
S’ils sont au McDo de Basso Cambo le mardi soir, ce n’est pas pour manger un hamburger, mais pour bosser. L’enseigne de fast-food ne fait pas dans le travail des enfants, mais dans l’aide aux devoirs.
Une initiative citoyenne lancée par le patron de 19 restaurants de l’agglomération, Michel Réglat. « Il faut faire quelque chose pour les enfants du quartier, pour qu’on ne les retrouve pas dans la rue après l’école. Ça ne coûte pas grand-chose à une entreprise de le faire, mon credo est peut-être utopique mais je vais essayer de l’étendre à d’autres sociétés du secteur », plaide le gérant.
Autre environnement
Depuis trois ans, il mène ainsi des actions en faveur de l’aide aux plus jeunes. Cette année, le bâtiment dédié au quotidien à la formation de ses équipes a accueilli une fois par semaine des élèves de 6 à 8 ans, suivis à l’année par l’association « Voir et Comprendre ». Une fois sur place, les enfants goûtent puis sont aidés par des employés volontaires de l’établissement, que ce soit en maths ou en lecture.
« Mes enfants sont contents de venir, ça les change de leur environnement et ça les aide vraiment », témoigne Mouna Merini, la maman de jumeaux de 8 ans.
« Pour nous, c’est un moyen de diversifier l’offre d’accompagnement à la scolarité, on voit bien qu’ils sont heureux de venir dans un autre espace pour plancher sur leurs devoirs », confirme Robin Tulieres de l’association Voir et Comprendre qui travaille depuis 35 ans à la Reynerie et la Faourette.
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