Les épiceries et l'UE...

En fait, les épiceries représentent les régions et les hypermarchés représentent l'UE...

Les hypermarchés sont des concentrations dans lesquelles plus personne n'a la possibilité d'identifier tous les réseaux de production, de distribution, de marge, il n'y a plus aucun lien entre les clients et les producteurs, entre le consommateur et le haut de la pyramide. Tout le monde est anonyme. Tout le monde subit ce que personne n'avoue.

‎"La plus grande partie de nos concitoyens est aujourd'hui réduite par l'indigence au seul souci de survivre; asservie à ce point, elle est incapable de réfléchir aux causes de sa misère et aux droits que la Nature lui a donnés. "Robespierre.


Les épiceries représentent la résistance. Les hypermarchés collaborent. Les clients, frappés par la dureté des conditions de vie, perdent peu à peu toute lucidité.

Toute forme d'expansion mercantile avilit les populations. L'UE en est un exemple particulièrement violent.

Juste un exemple :

http://www.agoravox.fr/actualites/economie/article/peugeot-peut-donc-peu-120718

Peugeot peut donc peu ?

Au moment ou 8000 travailleurs de l’entreprise Peugeot sont menacés de perdre leur emploi, il est intéressant de comparer cette situation aux bénéfices engrangés au cours des années par l’entreprise.

L’affaire Peugeot n’est pas anecdotique : l’entreprise emploie 200 000 personnes dans le monde, dont 100 000 en France, et avec ses 4,4 milliards d’euros (voire peut-être le double), la famille Peugeot est la première fortune française, ce qui ne l’empêche pas de résider en Suisse (lien) même si le clan Peugeot affirme que seul Eric s’y trouve. lien

Les salaires des responsables du groupe ne sont pas non plus anecdotiques : avec 3 253 700 € de rémunération en 2010, le PDG est clairement à l’abri du besoin.

Le directeur des marques, Jean Marc Gales, n’a pas à rougir non plus des 1 266 000 € de rémunérations qu’il a perçues en 2010 (lien) tout comme Frédéric Saint Geours, lui aussi de la direction des Marques, ainsi que Guillaume Fauri, directeur recherche et développement, puisque tous les trois ont été rémunérés en 2010 à hauteur de 1 266 000 €.

Grégoire Olivier, « directeur Asie » a empoché pour sa part en 2010, 1 362 820 €, prouvant ainsi la bonne santé du groupe. lien

L’année 2010 est donc une très belle année pour les dirigeants de l’entreprise puisqu’elle a vu leurs rémunérations doubler, voire tripler. lien

En 2011 la Banque PSA Finance, qui représente 40% du résultat opérationnel du groupe PSA en 2011 a dégagé un chiffre d’affaire de 1,8 milliards d’euros, permettant un résultat final de 507 millions d’euros, ce qui représente un joli progrès puisque le chiffre d’affaire de 1995 était de 103 308 906 €. lien

Et quid des sous filiales d’assurance (PSA Service Ltd, PSA Insurance Ltd, et PSA Life Insurance Ltd) installées discrètement dans un paradis fiscal à Malte  ?

Quid aussi de l’émission obligataire à taux fixe d’un montant de 600 millions d’euros, réalisée le 20 juin 2012, dont le PDG de Peugeot, Philippe Varin se félicitait en déclarant : « cette deuxième émission en euros vient de confirmer la capacité de « Banque PSA finance » à saisir les opportunités offertes par le marché obligataire… »

D’ailleurs, en février 2012, le même Philippe Varin s’auto-congratulait encore en déclarant : « nous mettons en place un programme soutenu de management du cash : les mesures d’économie de 800 millions d’euros annoncées en octobre dernier sont complétées pour atteindre 1 milliard d’euros. Par ailleurs, un programme de cessions d’actifs, d’un montant de 1,5 milliards d’euros environ, incluant Citer, est lancé… »

La synthèse des résultats financiers 2011 est limpide : « Banque PSA finance dispose d’une structure financière solide grâce à un ratio de solvabilité Bâle II supérieur à 14% et d’une sécurité financière via des lignes de crédit non tirées et une réserve de liquidité, permettant d’assurer en permanence plus de 6 mois d’activité sans recours à des financements complémentaires  ». lien

Il ne faut pas non plus oublier les filiales du groupe, comme Faurecia, dont le chiffre d’affaire à augmenté de 4 milliards en 4 ans, ou Gefco dont le chiffre d’affaire de 3 milliards a permis de dégager 223 millions de bénéfice en 2011. lien

Déjà en 1988, le groupe PSA en plein conflit avec ses employés, déclarait qu’il n’y avait « rien à négocier  » malgré les 8,8 milliards de bénéfices engrangés, refusant la prime de 1500 FR demandée, alors que le PDG avait augmenté sa rémunération de 45,9% en 2 ans. lien

Voila qui tranche avec la description très noire faite par Philippe Varin de la situation actuelle de l’entreprise Peugeot, ce qui lui permet de supprimer 1400 emplois dans le secteur « recherche et développement » et de 4400 dans le secteur « production ».

En fait, dès février 2012, Peugeot avait annoncé la couleur : économiser 3,7 milliards en supprimant 6000 emplois, et continuer les délocalisations.

Déjà implantée en Argentine, au Brésil, et en Chine, l’entreprise vise pour bientôt les Indes (lien) alors qu’elle se défend de délocaliser tout en se séparant de ses ouvriers français. lien

Le PDG Philippe Varin est même allé plus loin en se disant « choqué par le procès fait à l’entreprise » (lien) assurant «  il n’y aura pas de plan social mais un programme interne de reconversion et de formation  », maniant ainsi superbement une belle langue de bois. lien

Mais qui est dupe ?

A l’évidence, tout en engrangeant des bénéfices conséquents, Peugeot s’est d’abord transportée en Slovaquie pour produire la 207, voiture fabriquée auparavant à Mulhouse, s’étant précédemment délocalisée à Madrid. lien

En 2007, il y avait des signes avant coureurs, puisque l’entreprise, prétextant une baisse des appels, avait délocalisé son centre d’appel vers le Portugal et la Tunisie, mettant sur la paille, ou presque, près de 120 salariés du sous traitant Teleperformance.

Puis en 2010, Peugeot s’est délocalisé en Chine pour y fabriquer la C6, suivant la stratégie de Renault qui lui s’était transporté en Corée. lien

Mais Thierry Peugeot, drapé dans une dignité offusquée, déclarant « mal vivre les attaques », et « se sentir visé », exprimant un « sentiment d’injustice », touché par les qualificatifs de « mensonge, dissimulation » affirme au sujet de son entreprise : « nous avons des valeurs d’humanisme et de respect  ». lien

Que va faire le gouvernement français ?

On se souvient de la phrase prononcée par un ancien premier ministre socialiste « l’Etat ne peut pas tout  » (lien), et même si François Hollande affirme que le plan de restructuration de Peugeot est « en l’état inacceptable et devait être renégocié  », on n’a pas pour l’instant une vision très claire de ce qu’il veut faire. lien

La prime à la casse instituée par Sarközy a couté 2 milliards d’euros aux contribuables français, et Peugeot a reçu 4 milliards d’euros d’aides de l’Etat, ce qui correspond quasi au montant de la fortune de la famille Peugeot. lien

Dans le camp des travailleurs, Jean Pierre Mercier de la CGT annonce la couleur : il veut mettre en place un vrai rapport de force, afin de réussir à « faire peur aux dirigeants de Peugeot  », et déclare « on a du boulot jusqu’en 2016, il n’est pas question d’arrêter avant ». lien

Au-delà de la langue de bois des dirigeants de l’entreprise et de ceux qui pensent « qu’on ne peut rien faire », comment admettre que les grandes fortunes du pays, pour engranger toujours plus de bénéfices, puisse mettre à la porte leurs employés, justifiant qu’il s’agit de « sauver l’entreprise », délocalisant aussi leur fortune dans les paradis fiscaux, quitte à payer très cher cette pratique peu citoyenne.

Ils n’ignorent pourtant pas qu’en mettant leur argent dans ces banques peu scrupuleuses, ils se rendent complice d’actes condamnables.

Comme l’a démontré récemment une commission d’enquête du Sénat américain, la banque HSBC finance aussi bien les activités criminelles de la mafia, le blanchiment d’argent, le trafic de drogue et d’armes au Mexique, au Soudan, ou en Iran, et à des liens avec le terrorisme en Arabie Saoudite.

Comme l’indique Médiapart dans un article récent, « près de 60 000 comptes liés à la filiale mexicaine ont trouvé l’hospitalité dans les îles Caïman. Sur 41% de ces comptes, la banque n’avait quasiment aucune information, ne faisait aucun contrôle, en dépit des mises en gardes de plusieurs responsables insistant sur les risques immenses de blanchiment d’argent de la drogue. Prise la main dans le sac, la direction de HSBC s’est déclarée « profondément bouleversée », à présenté ses excuses à ses salariés et à ses clients… ».

Diverses organisations internationales, comme le FMI, la Banque mondiale, la Banque des règlements internationaux, estiment que les capitaux planqués dans les paradis fiscaux représentent 17 000 milliards d’euros, et James S.Henry, de Tax Justice Network, à publié le 22 juillet une étude qui va beaucoup plus loin, estimant que 25 500 milliards sont aujourd’hui à l’abri dans ces paradis.

En attendant, AVAAZ lance une pétition intitulée « mettez les banquiers derrière les barreaux » que l’on peu signer sur ce lien.

Le gouvernement pourrait donc agir autant contre ces paradis fiscaux, dont Peugeot est l’un des utilisateurs, et évoquer les subventions que l’Etat a donné à cette entreprise, faisant valoir les bénéfices qu’elle a encaissé, afin de sortir par le haut de cette crise, mais le fera-t-il ?

En tout cas, de l’autre coté de l’Atlantique, Obama agit, et le département du Trésor vient de « renforcer les sanctions déjà prises contre les institutions financières qui ont permis à des banques iraniennes d’effectuer des transactions financières ».

La banque chinoise Kunlun et l’irakienne Elaf Islamic Bank sont accusées d’avoir facilité des transactions de plusieurs millions de dollars concernant les activités de prolifération nucléaires illicites de l’Iran. lien

En France, le gouvernement part en vacances et nous ne serons fixés qu’en septembre.

Comme dit mon vieil ami africain : « d’abord ils vous ignorent, ensuite ils se moquent de vous, puis ils vous combattent et enfin, vous gagnez »

L’image illustrant l’article provient de « alternativelibertaire.org »

Merci aux internautes de leur aide précieuse.

Olivier Cabanel

Article anciens


ARGENT SALE - ARGENT BLANCHI.......

 

L'argent sale prospère dans les paradis fiscaux

Panneau de Bienvenue à Vaduz, à l'entrée du Liechtenstein (Photo  Coffrini/AFP)

 



L'argent de la fraude fiscale, Des caisses noires Des multinationales, de la corruption ou du crime organisé utilise les mêmes circuits et montages juridiques

anneau de Bienvenue à Vaduz, à l'entrée du Liechtenstein (Photo  Coffrini/AFP)
Il y a trois mois, fin février, éclatait l’affaire du Liechtenstein. Un CD-Rom, acheté par les services secrets allemands, divulguait Une liste de 1 400 fraudeurs présumés du fisc (don't 600 Allemands, 400 Italiens, 200 Français, 100 Américains, etc.), ayant confié, en 2002, plus de 4 milliards d’euros à la banque liechtensteinoise LGT, propriété de la famille princière de cet État de 35 000 habitants, situé entre la Suisse et l’Autriche.

On sait moins que le fichier comporterait aussi Des comptes de la famille royale saoudienne, de l’ex-dictateur indonésien Suharto, de narco-trafiquants italiens ou encore d’obscures grandes fortunes russes et balkaniques.

Paris espère faire rentrer un milliard d’euros dans Ses caisses

Berlin a déjà récupéré 500 millions d’euros auprès de 200 fraudeurs. Et Paris espère faire rentrer un milliard d’euros dans Ses caisses. En réaction à cette affaire, les deux pays Ont dénoncé l’opacité Des paradis fiscaux et Ont promis l’étude de mesures de rétorsion au niveau international.

Après l’appel de Genève initié en 1996 par Sept magistrats européens, comme au lendemain Des attentats du 11 septembre 2001, ces petits États avaient déjà été pris pour cible. Leur fiscalité basse et leur manque de transparence étaient supposés attirer l’argent du crime organisé et du terrorisme international.

Que s’est-Il passé depuis ? Il en existe toujours autant (plus de 70, contre 25 au début Des années 1970). Et plus de la moitié du commerce mondial utilise leurs services, Selon l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE).

Les démocraties Ont pris conscience du manque à gagner que représente la fraude fiscale. Cette perte de recettes équivaut à 2 à 2,5 % du PIB européen. En 2006, le Snui, le syndicat Des impôts, évaluait le coût de l’évasion (légale) et de la fraude fiscale (illégale) à Une Somme oscillant entre 42 à 51 milliards d’euros, soit environ le déficit de la France.

Une perte de recette fiscale mondiale de 165 milliards d’euros

Au niveau international, l’ONG Tax Justice network, qui œuvre pour la justice fiscale, a calculé que 11 500 milliards de dollars (7 500 milliards d’euros) étaient placés dans les paradis fiscaux ou centres offshore par Des personnes fortunées. Ce qui représente Une perte de recette fiscale mondiale de 255 milliards de dollars (165 milliards d’euros) chaque année.

Les paradis fiscaux sont empruntés par les sociétés multinationales pour payer moins d’impôt sur les bénéfices. La pratique utilisée pour faire passer les profits d’une filiale à l’autre, en fonction Des taux d’imposition dans les différents pays, Est celle des prix de transfert. Une autre technique consiste à falsifier les prix sur les exportations et importations des marchandises ou services.

L’économiste américain Simon J. Pack cite l’exemple d’ampoules de flash exportées de la France vers les États-Unis pour 300 dollars (au lieu de 70 cents) et de mitrailleuses importées dans l’autre sens pour 364 dollars pièce (au lieu de 2 000 dollars).

Des centres offshore pour cacher les dettes

Mais les multinationales se servent aussi des centres offshore pour cacher leurs dettes afin de faire apparaître un meilleur bilan, voire, plus grave, pour truquer les comptes, à l’image du courtier Enron, qui avait créé jusqu’à 800 sociétés écrans dans différents paradis fiscaux . D’autres y dissimulent les rentes que leur procurent leurs brevets.

En 2005, le Wall Street Journal avait dévoilé que la quasi-totalité des revenus des brevets de Microsoft étaient gérés par une filiale en Irlande (où la fiscalité est attractive pour les multinationales), ce qui faisait perdre 500 millions de dollars (325 millions d’euros) de recettes fiscales par an aux États-Unis.

Dans Le talon d’Achille du capitalisme, Raymond Baker, ancien négociant international aujourd’hui à la tête de l’ONG Global Witness qui milite pour la transparence financière, inclut la falsification des prix par les entreprises dans son calcul du montant de l’argent sale , qui a été repris par la Banque mondiale et l’Office des Nations unies sur les drogues et la criminalité (UNODC).

L’argent volé, détourné et évadé, représenterait ainsi 2 % à 5 % du PIB mondial, soit 1 000 à 1 600 milliards de dollars (650 à 1 000 milliards d’euros) par an et 8 % à 12 % des échanges mondiaux.

Sur ce total, 60 à 65 % seraient imputables aux actes commerciaux illégaux, 3 % à la corruption, et 30 à 35 % à la criminalité (drogue, trafics, piratage, etc.).

« Une menace pour le système capitaliste »

Selon lui, l’argent sale est devenu « une menace pour le système capitaliste », qu’il appelle à rendre « propre » et à se séparer de sa « philosophie utilitariste qui justifie la transgression de la loi, la pauvreté et les inégalités ».

La première raison de réagir, écrit-il, est « la peur », car la drogue, la criminalité et le terrorisme ont connu une croissance vertigineuse. « Les mafias profitent aussi de la libéralisation pour nouer des partenariats de circonstance avec d’autres mafias, voire des groupes terroristes », surenchérit Jacques de Saint Victor, auteur de Mafias, l’industrie de la peur.

De plus, la financiarisation de l’économie favorise, selon lui, la formation d’une « bourgeoisie mafieuse », se mêlant plus aisément aux élites traditionnelles, notamment dans le monde politique, sportif et financier.

Selon Callum McCarthy, chef de la Financial Services Authority, l’agence de régulation financière britannique, des groupes issus du crime organisé placeraient des hommes à eux à la City pour améliorer leur connaissance des mécanismes de contrôle interne afin de les contourner.

« En 2010, le monde assistera peut-être à l’émergence d’États criminels », affirmait un rapport confidentiel, présenté en 2000 à l’ex-président américain Bill Clinton. « En 1996, Bill Clinton avait voulu faire passer son programme mais constaté que les caisses étaient vides, les riches comme les grandes entreprises s’arrangeant pour ne plus payer d’impôts.

Des mesures de rétorsion sont à l’étude

Il avait alors obtenu que le G7 demande à l’OCDE de mettre fin aux pratiques fiscales dommageables pour les États », note Pascal Saint-Amans, en charge de la coopération internationale et de la compétition fiscale à l’OCDE.

Une liste noire des paradis fiscaux fut établie. La coopération avec les autorités fiscales fut encouragée. Des mesures de rétorsion sont à l’étude. « Il n’existe pas d’outils du droit international pour interdire l’activité des paradis fiscaux, pointe l’économiste Bruno Gurtner. Le plus efficace est de renforcer l’information et la transparence par des standards globalisés, afin que ces petits États ne puissent plus fonctionner de la même façon. L’élection d’un nouveau président aux États-Unis pourrait augurer d’un possible changement. »

Aude CARASCO

Trois sources :

Plusieurs associations (Secours catholique, CCFD, Attac, Survie, etc.) ont créé la « plate-forme contre les paradis fiscaux et judiciaires ». Dossier très complet sur www.paradisfj.info/

Le Talon d’Achille du capitalisme de Raymond W. Baker, Éd. AlTerre, 420 p.

Mafias : l’industrie de la peur de Jacques de Saint-Victor, Éd. Plon, 456 p. 19,90 €.

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Malgré ce que soutiennent les riches, l'argent suffit à faire le bonheur des pauvres ; malgré ce que s'imaginent les pauvres, l'argent ne suffit pas à faire le bonheur des riches.

Jean D'ORMESSON

Un banquier ne vous prête de l'argent que dans la mesure où vous n'en avez pas besoin. Si vous avez vraiment besoin d'argent, c'est que vous êtes dans une situation désespérée. Et dans une situation désespérée, vous n'intéressez pas un banquier.Paul-Loup Sulitzer

Il en est de l'argent comme du hérisson, plus facile à saisir qu'à retenir. Archiloque


L'argent ne fait pas le bonheur de ceux qui n'en ont pas. Boris Vian

Si plaie d'argent n'est pas mortelle, elle ne se ferme jamais. Jules Renard

 


QUI A DIT QU IL N Y AVAIT PAS D ARGENT ???


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