Le Temps
- Par Thierry LEDRU
- Le 28/09/2013
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Si les montagnes passaient leur temps à pleurer les roches arrachées,
si elles passaient leur temps à craindre les saisons comme des outrages,
elles en oublieraient de profiter du paysage.
Et elles se morfondraient de ne pas s’en être réjouies une fois réduites en plages.
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