"L’histoire c’est nous. C’est nous qui écrivons les lettres. C’est nous qui avons tout à gagner, ou tout à perdre."
Hier matin, Mr Mondialisation a fait un relais du projet des Changeurs de monde sur sa page Facebook.
525 personnes "likèrent" et 187 partagèrent.
1400 "likent" sur le site de FémininBio. Incroyable.
C’est touchant évidemment.
Cela aurait pu brûler mais c’est tiède... commentaires et "like" ne font rien avancer. Ce n’est pas grave mais c’est embêtant parce que je n’ai pas envie d’utiliser les réseaux sociaux à mort, de créer une page de projet, d’essayer d’être partout à la fois, je n’ai aucune envie et aucun besoin d’exister là. Ce dont j’ai envie c’est que ces 3 livres existent par pollinisation spontanée, contamination amicale et solide bouche à oreille. Mais un petit mois pour atteindre l’objectif, c’est court. Alors je ne sais pas. On va voir.
Je n’ai plus trop le temps de douter, il va forcément se passer des choses si ce projet correspond à un vrai besoin des gens. Ce matin, une participante du projet m’a écrit ceci : "Ce livre est ex-acte-ment celui dont je rêvais. Après avoir découvert Normand Baillargeon, Étienne Chouard,... je cherchais une contre-histoire du monde, légère et ludique."
Dites-moi à quoi sert FB si c’est pour rester dedans ? 525 x 5 euros ça aurait pu faire en quelques heures 2625 euros et 1400 x 5 euros 7000 euros apportés à ce projet qui n’a pas de sens autrement, et ainsi le budget était bouclé en deux jours et le travail pouvait commencer. Je me demande comment faire. Ces livres ne doivent pas être un produit culturel de plus mais une claque salutaire. Mmmm, comment faire pour toucher ceux et celles qui "rêvent" de lire ça ?...
"La storia siamo noi" comme dit la chanson de Francesco De Gregori.
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