Bon.

Rien à dire.

Et surtout, lassé de parler tout seul.

Pratiquement aucun commentaire alors qu'on va arriver à 30 000 visites et 80 000 pages lues sur l'année.

J'hiberne.

Bonne continuation à ceux et celles qui passeront par ici.

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Commentaires

  • Thierry
    • 1. Thierry Le 13/12/2012
    Oui, et bien voilà, la réponse, l'illumination dans la nature, jusqu'à ce qu'elle devienne supportable. Parmi les hommes, c'est peine perdue. On peut tenter de partager mais la moindre intention est vouée à l'échec, c'est tout le problème de l'espoir. Il viendra un jour où j'accrocherai les sacoches à mon vélo et je n'aurai aucune obligation de "rentrer". Puisque l'objectif, c'est justement de "sortir"...
  • JM
    • 2. JM Le 13/12/2012
    Salut Thierry,
    Je ne crois pas non plus à la fatalité et je m'essaie à la conscience. Mais dans ce grand n'importe quoi du monde, à moins d'avoir soi-même expérimenté une "rencontre du troisième type" (;O))avec l'au delà, pour des raisons accidentelles ou autres, je pense que les voies de l''éveil sont bien aléatoires et incertaines.Je dois dire que je rencontre plus de gens qui prétendent que de gens qui démontrent de par leur réel bien être, qui irradient positivement, qui te ferait signer pour une excursion en terre vraiment inconnue. Des Krishnamurti en somme ? Alors peut-être faut-il, lire relire, marcher, respirer, se mettre en danger jusqu'à ce que notre espoir s'accroche à "quelque chose de plus tangible" et devienne une volonté.
    Je comprends autant ce volontarisme de recherche même si ma prof de yoga me disait qu'il ne fallait pas chercher que la vision punk qui se perd dans un néant insondable. Un mec qui après une prise de conscience, une illumination dans la nature retourne dans son fourgon et se jette, désespéré, sur sa boîte à joints !
  • Thierry
    • 3. Thierry Le 13/12/2012
    Bonjour JM. Pour moi, il n'y a aucune fatalité. Donc aucun abandon possible. Il ne s'agit pas d'atteindre la perfection mais au moins de prendre conscience de nos faiblesses. La pire des positions, c'est celle qui se nourrit de l'indifférence, elle agrandit les œillères. L'indifférence consiste à se contenter de ce qui survient au lieu d'agir pour éclairer l'inconnu. "Se libérer du connu" disait Krishnamurti. Pour accéder à ce qui ne l'est pas;
  • JM
    • 4. JM Le 13/12/2012
    Tu souhaites faire le bien autour de toi, éclairer les consciences, jusqu'à la provocation, l'emportement - car il y a de quoi - et, tu récoltes une brassée de néant. Le problème est qu'il n'y a pas de solution ? Que la glissade s'accélère ? Que par dépit on se recroqueville un peu plus sur soi même ? Dormons en paix ou rendons nous malade d'une conscience quasi inaccessible ?. Est-ce que par construction nous ne devons pas supporter notre condition puisque s'il y a "plan" ce qui se passe est une conséquence logique de nos comportements, eux mêmes découlant logiquement de notre nature agressive, envieuse, égoïste. Je ne donnerai de leçon à personne car , comme beaucoup je me dépêtre entre du bien, du pas trop pire et du "tant pis je lâche". Allez, dort un peu et revient nous avec le plaisir qu'une marmotte doit connaître quand elle voit le premier perce neige. ;O)

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