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Nature et comportement (spiritualité)
- Par Thierry LEDRU
- Le 22/08/2012
Il n'y a pas de "race humaine".
Il n'y a que des comportements.
Ils sont intrinsèquement liés à l'environnement.
Les besoins physiques sont les mêmes.
Les besoins psychologiques sont éducatifs.
C'est l'éducation qui peut conduire l'homme à découvrir sa nature.
Il lui faudra pour cela se défaire de l'éducation matérielle pour accéder à l'éducation spirituelle.
La Conscience d'appartenir à une communauté vivante, humains, animaux, plantes et d'être accueilli par une Planète vivante elle aussi restera l'objectif ultime pour se libérer de l'éducation matérielle.
Les besoins psychologiques ne sont pas des besoins physiques.
Ils sont l'éveil de l'esprit.
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Zeitgeist, le documentaire en Français.
- Par Thierry LEDRU
- Le 22/08/2012
Le film qu'il convient d'avoir vu, qu'il convient de revoir et par-dessus tout qu'il convient de partager...
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J'ai un doute sur la dette publique.
- Par Thierry LEDRU
- Le 22/08/2012
Toutes leurs vidéos sont remarquables.Il ne reste qu'à lire tout ce dont ils parlent pour compléter.
On peut aussi regarder et écouter les discours d'Hugo Chavez et lire la constitution vénézuélienne. C'est très instructif.
J'aiundoute.com
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Jeux vidéo
- Par Thierry LEDRU
- Le 21/08/2012
Si, si, à ce qui paraît, l'espèce humaine est la plus évoluée...
http://www.la-croix.com/Actualite/S-informer/Monde/La-Coree-du-Sud-combat-l-addiction-aux-jeux-sur-Internet-_EG_-2012-08-02-838232
La Corée du Sud combat l’addiction aux jeux sur InternetUne législation unique au monde, en vigueur depuis un mois, permet aux parents de contrôler l’accès de leurs enfants aux jeux en réseau.
(KIM JAE-HWAN / AFP)
Café Internet à Séoul. Le gouvernement estime à 10 % la proportion d’adolescents concernés par le problème de l’addiction aux jeux.
Le gouvernement prend très au sérieux les dangers de la « dépendance à Internet », à laquelle l’industrie des jeux est désormais sensible.
Les jeux vidéos servent de refuge pour des adolescents frustrés par une compétition scolaire exacerbée.
Avec cet articleLa société sud-coréenne se considère avec fierté comme la plus connectée du monde. Mais, dorénavant, ses enfants seront aussi les plus surveillés de la Toile : depuis le 1er juillet, les parents peuvent décider des horaires pendant lesquels leur progéniture est autorisée à jouer en ligne. La loi s’applique aux 100 jeux en réseau les plus populaires au pays du Matin calme. Après s’être identifiés sur un site Internet gouvernemental, les parents indiquent les jours et les horaires de jeu autorisés. Le site permet aussi de contrôler à quels jeux leurs enfants sont inscrits, et combien d’argent ils y ont dépensé. Quand l’enfant s’inscrit à un nouveau jeu, une autorisation parentale est désormais obligatoire.
Ces nouvelles mesures s’ajoutent à la fameuse « loi Cendrillon », mise en place en début d’année malgré la forte opposition de l’industrie du jeu vidéo, qui oblige à couper automatiquement l’accès au réseau des joueurs de moins de 15 ans entre minuit et 6 heures du matin. « La nouvelle loi est vraiment excellente. Elle permet à chaque famille de gérer de façon autonome le jeu des enfants », se félicite Cho Eun-sook, directrice d’un centre d’aide contre la dépendance à Internet à Séoul. « Mais ces outils ne seront efficaces que si les parents s’en servent, tempère-t-elle. Pour le moment, aucun plan n’est prévu pour les sensibiliser au problème. »
Le centre d’aide de Cho Eun-sook est financé par le gouvernement, qui a fait de la lutte contre l’addiction aux jeux sur Internet un de ses nouveaux chevaux de bataille. « Les jeux en ligne sont comparables à une drogue » , a ainsi affirmé à la télévision Choi Young-hee, ministre de la famille. Une série de faits divers sordides a frappé l’opinion et encouragé les autorités à réagir. Le plus récent a eu lieu en avril : une joueuse a accouché dans les toilettes d’un café Internet, puis a tué son bébé avant de reprendre sa partie.
«Certains n’arrivent pas à trouver leur place dans la société»
Les patients de Cho Eun-sook sont en majorité des enfants « qui présentent tous les symptômes d’une dépendance : état de manque, besoin maladif de jouer, accoutumance » : « Certains abandonnent l’école, ils vivent reclus chez eux et ne font rien d’autre que jouer. » Le gouvernement estime que 10 % des adolescents sont concernés, à divers degrés de gravité.
Les nouvelles mesures de contrôle semblent être mieux acceptées par la puissante industrie du jeu vidéo. « Le système n’est pas parfait et les enfants peuvent toujours le contourner. Mais c’est une bonne chose pour les parents », reconnaît Han Hye-young, représentante de l’une des principales entreprises coréennes du secteur. Sa société a déjà installé de sa propre initiative des systèmes de contrôle parental.
« L’industrie du jeu est en train de changer, observe Cho Eun-sook. Les entreprises ont compris que, pour survivre, elles doivent répondre à la question de l’addiction. » La psychologue rappelle cependant que la législation, aussi utile soit-elle, ne s’attaque pas aux véritables racines du problème : une compétition scolaire exacerbée dès le plus jeune âge et un culte de la réussite sociale, facteurs de profondes frustrations.
« Certains n’arrivent pas à trouver leur place dans la société et se sentent exclus » , explique Hoon-hyun, lycéen de 18 ans. Pour sa génération, l’endroit naturel où s’amuser entre amis à la fin des cours, c’est le café Internet et les mondes virtuels. « Quand on dispose d’un niveau de technologie élevé, comme en Corée ou au Japon… eh bien, le moyen le plus facile d’échapper à ses problèmes, c’est de se réfugier dans les jeux vidéos. »
FRÉDÉRIC OJARDIAS, à SÉOUL
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Besoins physiques et psychologiques. (spiritualité)
- Par Thierry LEDRU
- Le 21/08/2012
Depuis l'apparition de l'homme, les besoins physiques ont été une priorité vitale : se nourrir, se protéger, se réchauffer, se reproduire. Lorsque l'homme est enfin parvenu à maintenir la préservation de ces besoins essentiels, il a pu s'adonner à l'amélioration progressive de ces paramètres. Il n'était plus dans l'urgence mais dans la réflexion. L'objectif restait le même mais la cohésion, les échanges, les progrès des outils, le développement de l'intelligence, de l'observation, du partage, ont permis une évolution lente et pérenne.
Comme l'a démontré Abraham Maslow, nos besoins sont hiérarchisés. Lorsque les besoins qui se trouvent au bas de l'échelle sont assouvis, nous sommes libres de progresser vers des besoins plus élevés. C'est là qu'apparaissent les besoins psychologiques : l'identification, l'ego, la reconnaissance sociale, l'estiime de soi, le pouvoir, la sécurité matérielle, le contrôle de l'avenir etc...
Ces besoins psychologiques, dans des sociétés matériellement développées, sont devenus prioritaires. Les besoins primaires sont assurés. ( Pas pour tous...)
Il me semble que les besoins psychologiques se sont développés dans un registre similaire à ceux des besoins physiques. Une compétition pour survivre.
Tout s'est axé sur la possession matérielle.
"Pour être, j'ai besoin d'avoir..."
Mais on sait que "l'avoir" est à la source de la perte de "l'être." Etant donné que la possession matérielle peut être perdue ou qu'elle peut être dépassée par celle des congénères, il s'installe immanquablement la peur. Cette peur primale de l'homme qui tentait de survivre se perpétue finalement à travers les besoins psychologiques. Monumentale erreur.
Les besoins psychologiques auraient dû être assouvis à travers la démarche spirituelle, la connaissance de l'être et non la connaissance de l'avoir. Mais cette quête n'est pas intéressante d'un point de vue matériel étant donné qu'elle conduit les individus à une auto-satisfaction très simple, dénuée de toute recherche de possession. Je ne peux que me posséder moi-même...Et pour y parvenir, une vie entière me sera nécessaire.
Financièrement, c'était un désastre.
Je cherche donc à identifier "l'instant T" qui a vu l'homme basculer dans cette dimension matérialiste et si possible les instigateurs du désastre.
Car enfin, comment peut-on concevoir que l'espèce la plus évoluée d'un point de vue cérébral (encore faudrait-il savoir clairement quel est le degré de "connaissances" des dauphins, orques et autres mamifères marins...) puisse contribuer à la dégradation de la planète qui l'accueille ? Comment expliquer qu'une espèce aussi "évoluée", biologiquement, puisse être aussi immature, spirituellement ? De quand date cette rupture, ce virus interne, ce plantage dans l'évolution réelle ?
Toute forme de satisfaction psychologique est instable, éphémère, chaotique dès lors qu'elle est issue d'un fonctionnement qui n'a pas su se séparer clairement de l'assouvissement des besoins physiques. Vouloir atteindre la plénitude en amassant des données extérieures à soi est un leurre. L'impermanence génère la peur et aboutit irrémédiablement au renforcement des besoins psychologiques et donc aux besoins matériels. L'humanité est même parvenue à y perdre son "bon sens"...
Les besoins physiques, avec le temps, sont devenus des désirs. "Toujours plus " disait François de Closets.
Les besoins psychologiques ont bien entendu suivi la même voie. C'était inévitable puisqu'ils n'ont jamais été dissociés comme cela aurait dû être fait. Mais les Maîtres du marché ne s'en sont jamais plaints. La voie matérielle était bien plus accessible au grand nombre. Il n'était pas nécessaire d'y consacrer une vie entière. La masse y a vu le clinquant avant d'en percevoir les noirceurs...
Le conditionnement éducatif a engendré les armées de fidèles. Il leur restait à s'engager à leur tour dans ce "progrès".
"Je suis commercial, riche, marié, père, amant, supporter de foot, j'ai une villa sur la Côte d'Azur, j'ai même une Rollex et je n'ai pas encore cinquante ans : bref, j'ai réussi ma vie."
Une toute petite caricature...
J'ai une montre qui coûte vingt euros et elle donne l'heure, elle sonne et elle s'éclaire la nuit. Comme une Rollex.
Si on faisait la liste de tout ce qui a été inventé par l'homme et qui ne sert absolument à rien d'autre qu'à assouvir les besoins psychologiques matérialistes, une vie n'y suffirait pas, là aussi... Où est donc cette fameuse intelligence ? Epuisement des ressources naturelles pour assouvir des besoins pervers...Je n'y vois pas la marque d'une espèce évoluée.
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KAMELOTT
- Par Thierry LEDRU
- Le 16/08/2012
"Les Grands chefs, ils ne se battent que pour la dignité des faibles".
MESSAGE POUR LES HOMMES POLITIQUES.
Ceux qui ont tant à apprendre.
Cette série est un chef d'oeuvre absolu. Et jamais, je ne m'en lasserai. Pour les acteurs, les textes, la profondeur, la musique, l'ambiance. Il ne s'agit pas seulement d'une comédie. Loin de là...
Merci Monsieur Astier. Infiniment.