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Fukushima : suite...
- Par Thierry LEDRU
- Le 26/08/2012
Ce qui est sidérant, c'est qu'aucun scientifique n'a de solution...Ils constatent...L'homme est un apprenti magicien et sa magie un cataclysme en puissance.
Fukushima : et si le pire était à venir ?
Créé le 22-08-2012 à 16h41 - Mis à jour le 23-08-2012 à 11h12
Par Vincent JauvertPersonne ou presque ne le dit : au cœur de la centrale japonaise dort une "bombe" dont les effets, en cas de nouveau séisme, seraient dévastateurs. De notre envoyé spécial au Japon.
Mots-clés : bombe, Tchernobyl, Centrale nucléaire, Hiroshima, omerta, réacteur nucléaire
A cause de la piscine du réacteur 4 (sur le toit), un nouvel accident peut se produire n'importe quand. (SIPA)
C'est une petite piscine - et un désastre planétaire en puissance. Un cube en béton de onze mètres de profondeur, rempli d'eau et bourré de combustibles nucléaires usagés : 264 tonnes de barres très radioactives ! Depuis un an et demi, ce bassin dit de "désactivation" repose à trente mètres du sol sur le bâtiment ébranlé du réacteur numéro 4 de la centrale de Fukushima-Daiichi. Il n'est plus protégé ni par un toit solide ni par des murs, mais par une simple bâche de plastique blanche.
Ce scénario d'apocalypse obsède la plupart des chercheurs
Les risques d'une telle situation sont incommensurables. Si, à la suite d'un typhon (dont la saison commence fin août) ou d'un nouveau tremblement de terre, la piscine venait à se vider ou à s'écrouler, la catastrophe qui en résulterait serait probablement sans précédent dans l'histoire de l'humanité. La mise à l'air libre de ces 264 tonnes de combustibles nucléaires pourrait dégager dans l'atmosphère dix fois plus de radioactivité que l'accident de Tchernobyl, si ce n'est davantage. Ce serait, disent certains, la fin du Japon moderne et, en tout cas, une calamité pour l'ensemble de l'hémisphère Nord qui deviendrait gravement et durablement contaminé.

La piscine du réacteur 4. (Noriaki Sazaki-AP-AFP) Sensationnalisme ? Délire catastrophiste de militants antinucléaires ? Malheureusement, non. Ce scénario d'apocalypse obsède la plupart des chercheurs sérieux qui ont étudié le dossier. Jusqu'en septembre dernier, le professeur Koichi Kitazawa présidait la prestigieuse Agence japonaise pour les Sciences et la Technologie (JST), qui n'est pas, loin s'en faut, une antichambre de Greenpeace. Cette année, il a dirigé une grande commission d'enquête sur l'accident nucléaire de mars 2011. "Après avoir écouté des centaines de témoins, ma conviction est faite, raconte cet universitaire respecté. A la centrale de Fukushima, le pire est peut-être à venir. A cause de la piscine du réacteur 4, un nouvel accident peut se produire n'importe quand, qui menacerait la survie même de mon pays." Et le scientifique ajoute :
Je prie pour que, dans les semaines à venir, une violente tornade saisonnière ne s'abatte pas sur la centrale."
Haut responsable du département de l'Energie sous Bill Clinton, Robert Alvarez a été l'un des premiers à tirer la sonnette d'alarme. Il confirme : "Si un tremblement de terre ou tout autre événement venait à affecter cette piscine, il pourrait en résulter un incendie radiologique catastrophique, avec près de dix fois la quantité de césium 137 qui s'est propagée à la suite de l'accident de Tchernobyl." Notons que les explosions à la centrale de Fukushima n'ont libéré qu'un sixième de ce césium émis à Tchernobyl. Autrement dit, la chute de cette piscine, qui selon l'expression du physicien français Jean-Louis Basdevant, semble être maintenue en hauteur par les seules "forces de l'esprit", pourrait être soixante fois plus grave que la catastrophe de mars 2011. Cette dernière ayant provoqué l'évacuation permanente de 160 000 personnes dans un rayon de vingt kilomètres autour du site atomique, on peine à imaginer ce que "soixante fois plus grave" veut dire.
Une radioactivité équivalente à 5 000 fois la bombe nucléaire de Hiroshima!
Un professeur à l'Institut de Recherche nucléaire universitaire de Kyoto, Hiraoki Koide, propose, lui, une comparaison plus effrayante encore, surtout pour les Japonais. "Si le bassin du réacteur numéro 4 devait s'effondrer, assure-t-il, les émissions de matière radioactive seraient énormes : une estimation prudente donne une radioactivité équivalente à 5 000 fois la bombe nucléaire de Hiroshima." A notre connaissance, personne ne l'a contredit. [...]
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Les maillots des cyclistes
- Par Thierry LEDRU
- Le 25/08/2012
Ce matin, on est allé faire le Col du Grand Cucheron en vélo de route. Il était fermé à la circulation automobile. Grand bonheur de rouler en toute sécurité.
Il y avait donc du monde, des cyclistes solitaires et des groupes.
Et encore une fois, j'étais estomaqué par cette "habitude" qu'ont les cyclo de rouler avec des maillots issus de marques d'équipes professionnelles. Ils acceptent donc de faire de la publicité gratuitement en montrant leur "passion" pour une équipe et sûrement les coureurs qui s'y trouvent. De vrais hommes sandwichs par conséquent et qui payent le panneau qu'ils portent en plus ... Et là aussi, je me dis que l'avenir des sponsors est rayonnant étant donné qu'il se trouvera toujours des individus acceptant, avec plaisir, de rouler pour eux et d'étaler sur les routes les noms de ces marques.
Autre interrogation : Comment se fait-il que ces cyclistes acceptent de porter des noms d'équipes ayant trempé leurs mollets et le reste dans le dopage : des maillots Festina, Cofidis, Astana, Lampre, US postal, Sky... C'est hallucinant ça ! Et autorisé en plus.
Si moi, par contre, je roulais avec un maillot portant une grande fleur de cannabis, je serais arrêté par la gendarmerie pour incitation à la débauche ! Mais pas tous ces cyclistes qui roulent avec des noms de pharmacie sur le dos ! Je rappelle quand même que les morts ne se comptent plus dans le milieu...Pas pendant leur carrière, quoique Pantani et Simpson avant lui ne se sont pas gênés...Mais alors, après, lorsqu'ils ont raccroché le vélo, attention...
J'attends toujours une enquête sur le long terme à ce sujet d'ailleurs, un suivi bien long qui mettrait en avant les dégâts collatéraux.
J'ai lu ce matin sur l'Equipe.com des commentaires de supporters sur le Tour d'Espagne où on sait que la lutte anti dopage est aussi avancée que le règlement de la dette des pays de l'UE...Et bien, les gars étaient enthousiastes parce qu'au moins, ça attaquait tous les jours...Consternant..;C'est le public aussi qui est responsable. Les organisateurs, les sponsors, les laboratoires pharmaceutiques, tout le monde a le doigt dans le pot de confiture (ou le pot belge pour les connaisseurs...)
Autre chose qui n'a rien à voir avec le dopage : Où sont les femmes sportives ? Sur cinquante cyclistes homme, il doit y avoir une femme...Au tennis de la ville, il n'y a que des hommes qui jouent. En randonnée en montagne, on voit parfois quelques femmes. A la piscine aussi. Mais c'est insignifiant au regard du nombre d'hommes. Pourtant, les filles que j'ai dans mes classes aiment le sport et certaines sont même plus performantes que les garçons, en escalade par exemple ou en natation, en course à pied...Que se passe-t-il ensuite ? Les enfants, la maison ? De faux arguments. Il suffit de se partager les taches. Est-ce que les femmes acceptent passivement cette situation de mise à l'écart, voire même l'apprécient ou est-ce qu'elles sont "soumises" à leurs maris ? La question est de taille. J'aimerais bien avoir une réponse...
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L'argent de Lance Armstrong
- Par Thierry LEDRU
- Le 25/08/2012
Tout le monde le sait : un sportif destitué de ses titres ne sera pas une peine suffisante pour mettre un terme au dopage. La seule action qui puisse concourir à la disparition de ce fléau, c'est l'obligation de rembourser tout l'argent gagné pendant la carrière sportive. Non seulement l'année qui a vu un sportif se faire prendre mais durant TOUTE sa carrière. Une radiation à vie viendra compléter la sanction.
Sinon, il y aura toujours des tricheurs pour la "mauvaise" raison qu'un pactole de 100 millions de dollars, même après avoir été déchu, ça aide à faire passer la pilule...
Et on continuera également à voir des Christophe Bassons, des Gilles Delion, privés de beaux résultats parce qu'ils ont choisi, coûte que coûte de rester propre et intègre. Et ça, c'est insupportable.
Christophe Bassons est un coureur cycliste français, né le 10 juin 1974 à Labastide-Rouairoux (Tarn).
Sommaire
Biographie
Il commence le cyclisme en 1991 en faisant du VTT et devient professionnel en 1996 dans l'équipe Force Sud puis à Festina avant de rejoindre l'équipe cycliste La Française des Jeux en 1999.
Il est membre de l'équipe Festina (mais il n'est pas présent sur le Tour de France) lorsque le scandale éclate en juillet 1998, mais tous ses coéquipiers disent qu'avec Patrice Halgand et Laurent Lefèvre, il était l'un des trois seuls à ne pas user de produits dopants. Il était alors entraîné par Antoine Vayer, farouche adversaire du dopage. Il devient alors le symbole du coureur propre.
En 1999, il abandonne le Tour de France sous la pression du peloton qui ne supporte pas ses prises de position anti-dopage1. Il subira notamment les remontrances de Lance Armstrong qui lui propose d'abandonner et qui déclare : « S'il pense que le cyclisme fonctionne comme cela, il se trompe et c'est mieux qu'il rentre chez lui2,3. »
En 2001, « désespéré du monde professionnel » et ayant obtenu son professorat de sport, il choisit d'abandonner le cyclisme professionnel, pour se tourner vers une pratique du Trail et du VTT Marathon où il devient l'un des meilleurs Français. En 2008, il intègre la Team Traid.
Armstrong ruiné par la perte de ses 7 maillots jaunes
Créé le 24-08-2012 à 17h00 - Mis à jour à 17h18
Par Challenges.frLa destitution de ses 7 titres de vainqueurs du Tour de France pourrait coûter plusieurs millions d'euros au cycliste américain Lance Armstrong.
Mots-clés : sponsoring, anti-dopage
Le septuple vainqueur du Tour de France Lance Armstrong va perdre ses sept titres du Tour de France et sera radié à vie du cyclisme professionnel après avoir renoncé à poursuivre sa bataille judiciaire contre l'Agence américaine antidopage (Usada). (c) Afp
"C’est son choix, sa position, mais Lance Armstrong risque de perdre bien plus qu’il ne le croit et que ses 7 victoires sur le Tour de France". Le professeur Jean-Pierre de Mondenard, interrogé par cyclisme.actu.fr, spécialiste du dopage en France, sait que le choix du septuple vainqueur du Tour de France est risqué. En renonçant à poursuivre l'Usada, l'agence américaine anti-dopage américain, qui souhaite le destituer de ces titres sur la Grande Boucle et le radier à vie des compétitions sportives, Lance Armstrong pourrait perdre beaucoup d'argent.
En effet, le cycliste américain va devoir rembourser l'intégralité des sommes perçues au titre de ses victoires sur le Tour (2,5 millions d'euros) mais aussi les primes (8.000 euros par étape remportée et 350 euros par jour de maillot jaune porté, plus les primes pour les cols de montagne).
"Financièrement, il risque de se retrouver rapidement à la rue. Car on va lui demander tout l’argent qu’il a pu recevoir de toutes ses victoires sur le Tour et, sûrement, sur les autres courses. Il va devoir rembourser tous ses gains gagnés dans toute sa carrière quasiment. Rappelez-vous aussi de l’histoire de l’assurance et des sommes astronomiques qui lui ont été versées à chaque victoire sur le Tour de France. Cela aussi, il va devoir le rendre car je ne crois pas que la compagnie d’assurance lui laisse", prédit le Professeur de Mondenard. Des revenus que Lance Armstrong n'a en réalité jamais touché intégralement puisque la tradition veut dans le cyclisme que le vainqueur partage ses gains avec tous les membres de son équipe.
Remboursement des contrats de sponsoring
Avec cette destitution, ceux qui seront désignés nouveaux vainqueurs des Tours de France de 1999 à 2005 toucheront eux le jackpot. "Logiquement, ils vont recevoir les sommes du gagnant mais le problème est de savoir qui est le vainqueur aujourd'hui !", plaisante Emmanuel Potiron, journaliste à cyclisme.actu.fr. L'UCI, l'union cycliste internationale, devrait percevoir le remboursement du champion américain. Cet argent servira à la lutte contre le dopage.
Mais les ennuis financiers ne s'arrêtent pas là pour Lance Armstrong. Il pourrait aussi devoir rembourser une partie du montant de ses contrats de sponsoring. "Dans de plus en plus de contrats liant une entreprise avec des sportifs, il y a des clauses sur le dopage. Si le contrat est terminé, la marque peut demander des dommages et intérêts au titre du préjudice subi. Si le contrat est encore en cours, l'entreprise peut demander sa rupture ou des pénalités. Les sommes à rembourser sont très variables mais peuvent aller jusqu'à la totalité du contrat ", détaille Jean-Jacques Bertrand, avocat spécialiste du sport à Paris.
De telles poursuites pourraient coûter cher à Lance Armstrong, qui était l'un des sportifs préférés des sponsors dans la mesure où il incarnait l'image du courageux sportif capable de vaincre le cancer. Selon la radio américaine Fox Sports, ses revenus atteignaient en 2010 (dernière année avant sa retraite cycliste), 20 millions de dollars, dont 16,5 millions provenaient de ces contrats avec Coca Cola, Nike, Subaru, Trek, Oakley, Anheuser-Bush, etc. Durant sa carrière, il aurait ainsi amassé selon le Sunday Times, 100 millions d'euros. Aujourd'hui, 11 entreprises sont encore sponsors de Lance Armstrong et de sa fondation de lutte contre le cancer.
Laure-Emmanuelle HUSSON
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La médecine du futur.
- Par Thierry LEDRU
- Le 25/08/2012
Inutile de dire à quel point j'adhère totalement à tout ça...
http://www.inrees.com/articles/La-medecine-du-futur/
La médecine du futur
Loin de la conception cartésienne de l'être humain, des scientifiques sont en train de prouver l'existence de champs énergétiques liant le corps, l'esprit et l'environnement. Le documentaire The Living Matrix évoque ces pistes de recherches qui bouleversent nos conceptions traditionnelles. Si le film juxtapose parfois les témoignages et les découvertes scientifiques sans démontrer leur lien logique, il esquisse aussi le portrait prometteur d'une médecine d'avenir.Serions-nous à l’aube d’une révolution médicale ? Les avancées en matière de biophysique et de soins bioénergétiques sont en passe de changer fondamentalement notre conception de l’univers et de l’être humain.
Les peuples premiers et les cultures ancestrales ont toujours considéré l’univers comme un tout.
A la fin du 17ème siècle, les découvertes d’Isaac Newton et de René Descartes nous ont extraits de la trame de cet Univers, créant un modèle mécaniste où nous sommes tous séparés les uns des autres, et où l’esprit est séparé du corps. Un esprit réduit à un épiphénomène de la matière. Un corps sans pensée ni intériorité, qu’on voit comme une machine chimique à deux moteurs : le cerveau et le cœur, et qu’il suffit, en cas de défaillance, de rebooster avec la bonne substance chimique pour aller mieux. Il n’y a plus d’interconnexion entre les êtres vivants, et tout n’est plus qu’une histoire de suprématie de la matière, régie par des lois fixes. Cette idée réductionniste demeure le fondement de la pensée occidentale. Et notre médecine actuelle fonctionne encore sur cet ancien paradigme de la physique. Pourtant, aujourd’hui, des chercheurs en biophysique et biologie cellulaire vont vers une nouvelle compréhension de l’Univers, de l’Homme, du corps, de l’esprit et de la maladie, laissant entrevoir alors de nouvelles perspectives sur le plan médical.
Le documentaire The Living Matrix, réalisé en 2009, par Greg Becker, donne la parole à des chercheurs, des thérapeutes, une journaliste scientifique, Lynne Mc Taggart ou encore l’astrophysicien Edgar Mitchell, pour explorer les principes de la bioénergétique du champ corporel humain. Si, à sa sortie, ce film n’avait pas fait grand bruit, il devient aujourd’hui une référence pour tous ceux qui s’intéressent aux médecines alternatives. Un succès tardif qui coïncide avec une ouverture d’esprit récente du grand public, et symbolise une tendance à ne plus vouloir considérer la science comme une vérité immuable et absolue.
« A travers les siècles, explique le Dr Bruce Lipton, biologiste et généticien, nous nous sommes focalisés sur la réalité mécanique et avons abandonné le concept d’énergie et de champs dans la biologie. Mais on reconnaît maintenant que l’esprit est un champ énergétique de pensée que l’on peut lire avec les capteurs d’un électroencéphalogramme ou encore mieux, à l’aide d’un nouveau procédé de magnéto-encéphalographie, une sonde qui, bien qu’elle soit placée en dehors de la tête, peut lire les champs de l’activité nerveuse, sans même toucher le corps ». « La physique quantique tente de comprendre comment les cellules se parlent entre elles et comment elles gèrent l’information », explique Peter Fraser, chercheur en biophysique.
Le pouvoir de la pensée
D’après les scientifiques intervenant dans ce documentaire, tout est question d’interconnexions entre les champs énergétiques du corps et de l’esprit. Les pensées, qui possèdent une réelle énergie physique, iraient même jusqu’à créer le corps. Le mental, l’intention et les croyances seraient alors trois facteurs capables d’influencer la maladie ou la guérison. « Nous avons constaté en laboratoire que lorsque nous avons des pensées positives, nous envoyons des substances chimiques, explique Edgar Mitchell. Pareil pour les pensées négatives qui ont un effet significatif sur le comportement des cellules. »
Si je pense : « Je vais aller mieux », serai-je réellement capable de me soigner ?
« Un tiers des guérisons - incluant les médicaments, la chirurgie et autres interventions allopathiques - tient de l’effet placebo, répond Dr Bruce Lipton, c’est-à-dire au fait qu’une croyance puisse influencer la biologie d’une personne. Autrement dit, un tiers parvient à se guérir par la pensée positive, c’est fabuleux ! Pourtant, on en parle quinze minutes en cours de pharmacologie, et on continue d’ignorer le pouvoir de la pensée et des processus mentaux sur la biologie ! ».
Peut-il exister un transfert d’informations et d’énergies à distance, comme en sont capables certains guérisseurs qui agissent sur leurs patients dont ils sont pourtant séparés par des milliers de kilomètres ou encore des personnes proches qui se connaissent bien ? Après avoir effectué des études sur des couples dont l’un des partenaires souffrait d’un cancer, on a constaté une corrélation significative entre l’activité physiologique de celui qui envoyait des pensées d’amour et de compassion à distance et celle de l’autre qui, même à des centaines de kilomètres, et sans le savoir, réagissait instantanément. « Cela suggère qu’il y a un moyen par lequel l’information est transférée », assure Marilyn Schlitz, chercheuse et présidente de l’Institut des Sciences Noétiques. La physique quantique a découvert ce qu’on appelle le « champ du point zéro » ou l’énergie du vide. Un échange d’énergie entre les particules subatomiques composants de la matière de taille inférieure à celle d’un atome qui « en s’envoyant et en recevant de l’énergie créent, le temps d’un battement de paupière, des particules virtuelles, explique Lynne Mc Taggart. Ce petit échange ne représente pas beaucoup d’énergie, environ un demi-watt. Mais lorsqu’on additionne toutes les particules subatomiques qui font cet échange d’énergie à travers tous les éléments de l’Univers, on arrive à une quantité d’énergie inimaginable. Ce champ d’énergie géant, nous y sommes tous connectés, même aux plus lointains confins de l’univers. ».
Les biophotons, transmetteurs d’information à distance
Quel est le mécanisme de cette intercommunication ? Comment cette connexion se produit-elle ? La réponse la plus probable se trouverait dans les biophotons. En effet, notre corps émet constamment de la lumière sous forme de biophotons, de faibles émissions de lumière émanant des cellules de tous les êtres vivants. Les molécules ne pouvant s’autoréguler, elles ont besoin d’un champ. Ces biophotons pourraient être porteurs d’informations nécessaires à la régulation de notre métabolisme. Mais n’est-ce pas le rôle de l’ADN et de nos gènes ? « Les gènes ne contrôlent pas notre biologie, répond le Dr Bruce Lipton. Ils ne sont pas déterministes comme on le pensait jusqu’à il y a encore dix ans, mais subordonnés à un système d’informations « extérieures » se révélant être le produit de l'environnement dans lequel ils évoluent. D’après cette nouvelle compréhension de la biologie cellulaire, ils ne représenteraient désormais que des potentiels. L'être humain aurait donc beaucoup plus de pouvoir qu'il ne le pense sur sa propre biologie et, par conséquent, sur ses fonctions corporelles. Cela tendrait à prouver que nous ne sommes pas des "automates génétiques" victimes de l’hérédité biologique de nos ancêtres. Nous sommes, au contraire, les co-créateurs de notre vie et de notre biologie. Ce que j’appelle l’épigénétique. »
Alors qu’est-ce qui contrôle notre métabolisme ?
C’est ce que Rupert Sheldrake appelle les « champs morphogénétiques ». Ces champs seraient déterminants dans le comportement des êtres vivants qui hériteraient d’habitudes de l’espèce par « résonance morphique ». Pour le biologiste, chaque type de système naturel possède son propre type de champ. Il y a un champ pour le chêne, un champ pour l'hirondelle, un champ pour l’abeille, un champ pour le singe, un champ pour l’homme...
La médecine informationnelle : la médecine de demain ?
De nombreuses cultures par le passé ont exploré les systèmes énergétiques des êtres vivants. Aujourd’hui, les chercheurs émettent la théorie que le corps a bien des champs d’énergie connus sous le nom de champs morphogénétiques ou champs corporels. « Il existe une hiérarchie de champs organisant votre corps, explique Rupert Sheldrake. Il y a le champ du corps en entier, des organes, des tissus, des cellules. Le champ de notre corps est à l’intérieur et autour du corps. Il y a un champ global et des champs subsidiaires pour les bras, les jambes et les différents organes. Et ces champs sont intrinsèquement un tout. »
Si le système de contrôle du corps n’est pas régi par les gènes mais par l’information disponible dans notre champ corporel, la maladie n’est plus considérée comme faisant partie du patrimoine génétique. Elle est perçue une distorsion de l’information dans le champ corporel ; est-il alors possible d’intégrer de nouvelles informations dans ce corps pour générer du bien-être ? C’est ce qu’un certain nombre de chercheurs font. « Nous avons appris à stopper la distorsion de l’information qui se produit du fait de divers processus pathologiques, raconte le Dr Peter Fraser. Une fois qu’on a stoppé la distorsion, de façon assez surprenante, la physiologie se met à fonctionner correctement, de même que la chimie. Je peux vous raconter de merveilleux récits de guérisons juste parce qu’on a réussi à stopper la distorsion de l’information dans le champ corporel. »
« La médecine informationnelle qui utilise l’information et change celle qui est perturbée constitue la médecine du futur, affirme Lynne Mc Taggart. La maladie, d’une certaine façon, c’est de l’information brouillée. Si on a accès à la bonne information, on peut corriger le brouillage. C’est ce que font de nombreuses techniques énergétiques. » L’Occident serait-il bientôt prêt à rendre aux guérisseurs, magnétiseurs et autres énergéticiens leurs lettres de noblesse ?
The Living Matrix
Distributeur : Corzéame - www.corzeame.fr -
Nikola Tesla
- Par Thierry LEDRU
- Le 24/08/2012
Nikola Tesla est souvent considéré comme l’un des plus grands scientifiques dans l’histoire de la technologie, pour avoir déposé plus de 700 brevets (qui sont pour la plupart attribués à Thomas Edison) traitant de nouvelles méthodes pour aborder la « conversion de l’énergie ». Tesla est donc reconnu comme l’un des ingénieurs les plus créatifs de la fin du XIXe siècle et du début du XXe siècle. Pour sa part, il préférait plutôt se définir comme un découvreur.Un personnage fascinant. Un génie méconnu.
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Le dopage et Lance Armstrong
- Par Thierry LEDRU
- Le 24/08/2012
Bon, ça c'est fait...
«Assez, c'est assez». Lance Armstrong a renoncé à poursuivre sa bataille judiciaire contre l'Agence américaine antidopage (Usada), qui l'accuse de dopage tout au long de la période 1999-2005. Le cycliste de 40 ans, qui n'a cessé de clamer son innocence, a déclaré sur son site officiel être fatigué de se battre. Dans la foulée, jeudi soir, l'Usada a annoncé qu'il perdrait ses sept titres du Tour de France et serait radié à vie du cyclisme professionnel. Le directeur général de l'agence, Travis Tygart, a précisé qu'Armstrong serait aussi dépossédé de tous ses résultats depuis le 1er août 1998. «C'est un triste jour pour tous ceux d'entre nous qui aimons le sport et nos athlètes», a-t-il dit. (avec AFP)
Le problème, maintenant, ça va être de trouver à qui donner les sept titres étant donné que les seconds et les troisièmes étaient aussi chargés que lui !
Zülle ('99) Pris par la patrouille- Ullrich ('00)Pris par la patrouillle -Ullrich ('01)Pris par la patrouille -Beloki ('02)Pris... - Ullrich ('03)Pris... - Klöden ('04)Pris...et il court toujours - Basso ('05) Archi dopé , pris, "sanctionné" et il court toujours !!. Derrière, on a aussi Vinokourov aussi clair que de la vodka...Et Virenque, wouarfff !! Il va dire qu'on lui a donné le maillot jaune à l'insu de son plein gré !!
Bon, et tout le pognon que ces pharmacies à pédales ont gagné ? Il devient quoi ? Ils doivent rembourser ? Non, jamais. Donc, ça ne s'arrêtra pas. Parce que partir à la retraite avec cent millions en poche, ça vaut bien une petite piqûre tous les matins. Pour ces gens-là...
Maintenant, il va falloir descendre très bas dans les classements pour trouver le "vainqueur" :))...
Un SITE incontrounable pour qui veut s'informer: http://www.cyclisme-dopage.com/
c.com
- « Aujourd'hui, qualifier un sport de "sain", c'est vouloir faire croire au public que ses pratiquants sont exclusivement recrutés chez les Aliens. » Jean-Pierre de Mondenard, Tour de France - 33 vainqueurs face au dopage
- « Le sport de haut niveau est un cirque dans lequel la santé des athlètes est reléguée au second rang. Peut-être me donneront-ils le prix Nobel dans 20 ans, peut-être vont-ils me construire un monument commémoratif. » Eufemiano Fuentes - Médecin au centre de l'opération Puerto
- « Un Africain qui meurt, c'est une bibliothèque qui brûle. Un coureur cycliste qui disparaît, c'est une pharmacie qui brûle. » Antoine Vayer - Professeur d’EPS, ancien entraîneur de l’équipe Festina
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Jour du dépassement global.
- Par Thierry LEDRU
- Le 24/08/2012
En fait, j'en viens à me dire que ça ne sert à rien que j'écrive sur ce blog des réflexions personnelles tant il y a de sujets, d'articles, de vidéos, de conférences à lire, écouter, voir et à "encaisser"...
http://www.maxisciences.com/terre/22-aout-2012-jour-du-depassement-global_art26253.html
Aujourd'hui s'épuisent les ressources naturelles que la Terre peut produire en un an. Ce "jour du dépassement global" arrive chaque année un peu plus tôt, ce qui implique une accélération importante du mécanisme de dégradation de notre planète.
Ce mercredi 22 août marque le jour où l'humanité a épuisé son budget annuel de ressources naturelles, c'est-à-dire le "jour du dépassement global" ou "global overshoot day". Il correspond au moment où toutes les ressources que peut produire la Terre en un an sont utilisées. Nous allons donc vivre à crédit pendant les 131 jours qui nous séparent du 1er janvier 2013. Pendant toute cette période, les ressources naturelles qui vont être exploitées aggraveront la situation environnementale de la planète.
L'organisation non gouvernementale Global Footprint Network (GFN) indique que "pour la suite de l'année, nous allons entretenir notre déficit écologique en consommant les réserves de ressources locales et en accumulant du dioxyde de carbone dans l'atmosphère". Le groupe a créé en 2003 un indicateur qui "permet de conceptualiser l'écart entre ce que la nature peut régénérer et ce qui est requis pour alimenter l'activité humaine". L'indicateur compare en fait la quantité de ressources naturelles disponibles et la consommation réelle dans chaque pays. Il se nomme "empreinte écologique" et se calcule en hectare global par habitant (hag/hab).
Les dernières données traitées datent de 2008. Cette année-là, l'empreinte écologique mondiale s'élevait à 2,7 hag/hab alors que la capacité limite était de 1,8 hag/hab. Et en 2012, selon le GFN : "En à peine 8 mois, nous avons utilisé les ressources naturelles renouvelables et la capacité de séquestration de CO2 que la planète peut durablement supporter cette année". Les principaux responsables de ces dégâts seraient le rejet massif de CO2 (55% de l'empreinte écologique mondiale) et l'exploitation des milieux naturels.
Un processus qui s'accélère
L'humanité vivrait "au-dessus de ses moyens" depuis les années 1970 et le processus s’accélérerait au fil des années. En 2000, le "jour de dépassement global" avait lieu bien plus tard dans l'année, le 1er novembre. En 2005, les ressources étaient épuisées le 20 octobre et en 2011, le 27 septembre. Le fondateur de GFN, Mathis Wackernagel, souligne "un déficit écologique qui se creuse de manière exponentielle depuis cinquante ans". De plus, l'étude de l'association ne prend pas en compte les risques de pollution (chimique, radioactive, etc.), trop difficiles à mesurer, qui augmentent encore les dommages de la planète. Le président du GFN met en garde : "La dégradation des milieux naturels se traduit inévitablement par une baisse des surfaces productives et notre dette, qui s'alourdit, condamne aux dépens les générations futures".
Actuellement, une planète et demi nous permettrait de tenir toute l'année et nous nécessiterons deux planètes de ressources naturelles d'ici moins de 30 ans, d'après le GFN. Mais certains pays exploitent bien plus de richesses naturelles que cette moyenne. C'est notamment le cas du Koweït et des Émirats arabes unis qui consomment 11,7 hag/hab. Le CO2 produit par le Quatar aurait besoin à lui seul de cinq planètes Terre pour être totalement absorbé. Parmi les 149 pays pris en compte, 60 seraient responsables de la surexploitation. La France se positionnerait en 23ème position des états aux empreintes écologiques les plus élevées. Ses besoins dépasseraient de 70% ses ressources naturelles, bien au-delà de la moyenne mondiale.
Par ailleurs, les chercheurs estiment que la biodiversité a diminué de 30% entre 1970 et 2008 et que pas moins de 0,01% des espèces vivantes s'éteignent annuellement. Selon Florian Kirchner, chargé du programme sur l'extinction des espèces de l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) : "Il existerait sur Terre entre 15 et 20 millions d'espèces animales et végétales. Parmi elles, 19 817 sont en train de disparaître". Mathis Wackernagel pense que la non-régénération de la planète causera la faillite du système, que ni l'austérité ni la croissance ne pourront entraver "car la tendance finira par se renverser, que ce soit à dessein ou par désastre".
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Energie libre
- Par Thierry LEDRU
- Le 23/08/2012
SUR LE SITE "jaiundoute.com"
Aussi passionnant que tout ce qui a été écrit par Nicolas Tesla.
http://jaiundoute.com/actualites/actualite-sciences/02/2012/moteur-magnetique-et-surnumeraire/
Imaginez une énergie libre, infinie (ou presque), propre, mais surtout accessible à tout le monde. Une telle invention aurait des conséquences très positives pour l’environnement. Et si l’énergie libre n’était pas une fiction, mais belle est bien une réalité ? Les scientifiques parlent de plusieurs formes d’énergies libres, mais nous allons nous intéresser à une d’entre elles qui a attiré notre attention, car plusieurs personnes affirment qu’elle existe déjà. C’est l’énergie magnétique qui est utilisée pour faire des moteurs qui tournent sans avoir besoin d’une force autre que celle des aimants, les générateurs surnuméraires qui produisent plus d’énergie que ce qu’ils consomment ou la combinaison des deux à la fois.
Plusieurs vidéos existent sur le net expliquant le principe du moteur et du générateur magnétique. Nous fournissons dans cet article plusieurs éléments qui vous permettraient de comprendre le principe et de vous lancer si vous êtes bricoleurs. Le système fonctionnant le mieux, c’est celui du générateur surnuméraire. Nous devons cette invention à Leon Raoul Hatem parfois surnommé « l’horloger de l’Univers ».
En peu de mots, un moteur électrique entraine un ou plusieurs générateurs qui produisent plus d’électricité que ce qu’ils consomment. Une fois le système en marche, vous pouvez alimenter le moteur électrique par l’énergie venant des générateurs. Supposons qu’il vous faut 200Watts pour le moteur électrique et les générateurs surnuméraires vous fournissent 400Watts. Vous fournissez 200Watts au moteur électrique et il vous reste un excédent de 200Watts. C’est peu, mais ce n’est qu’un exemple. Parfois, les 200Watts consommés peuvent fournir jusqu’à 14KW comme on peut entendre sur le reportage de France 3 (vers 5 min 45 s).
Pour éviter les malentendus, l’énergie magnétique ne crée pas un mouvement perpétuel, les aimants ont besoin d’une certaine quantité d’énergie pour être fabriqués et ils ont une durée de vie d’environ 400 ans pour les aimants néodyme. Il est probable qu’une certaine démagnétisation s’opère du fait d’une utilisation intensive de ces moteurs. Dans tous les cas, le cout économique, énergétique et environnemental restera nettement inférieur aux énergies actuelles.
Nous avons choisi les vidéos les plus pertinentes et une série de fichiers en PDF fournissant toutes les informations dont vous aurez besoin et que vous pouvez trouver sur internet si vous souhaitez en construire un vous-mêmes. Cependant, une question reste sans réponse. Pourquoi n’avons nous pas entendu parler avant de tout cela ?
Premièrement, imaginez que nous puissions passer à un monde où les voitures n’ont pas besoin de carburant, un monde ou EDF n’a plus d’utilité si ce n’est que pour l’entretien des générateurs magnétiques, un monde ou le gaz serait inutile, car nous aurions des cuisines et un chauffage électrique alimenté gratuitement. Cela serait désastreux et les personnes proposant un tel type d’énergie se feraient beaucoup d’ennemis, car l’industrie de l’énergie électrique, celle du pétrole et celle du gaz naturel, représente des centaines de milliards de bénéfices tous les ans. Même si nous aurions toujours besoin de TOTAL, SHELL ou BP pour fabriquer tous les autres produits à base de pétrole, leurs bénéfices seront touchés considérablement.
Sans partir jusqu’à la conspiration, les industries énergétiques n’ont aucun intérêt à une invention d’une énergie libre, peu importe son origine ou sa technologie. Plusieurs exemples existent à travers l’histoire. Nous vous proposons de regarder le documentaire de la série « Les Archives oubliées » qui parle de Nicola Tesla, ses recherches et ses rapports avec ses financiers. Parmi eux, nous trouvons JP Morgan, un personnage important de l’histoire des finances aux États-Unis.
Un autre exemple, c’est le documentaire « Qui a tué la voiture électrique ? » qui démontre encore une fois la puissance de ces industries et leur capacité d’influencer les décisions politiques qui déterminent les directions des recherches technologiques. Saviez-vous qu’il y avait presque deux fois plus de voitures électriques que de voitures thermiques en 1900 ? Nous voyons souvent la voiture électrique comme une invention moderne et révolutionnaire, mais c’est une technologie que nous maitrisions bien depuis plus de 100 ans. Nous vous proposons également le film documentaire « Thrive » qui parle de plusieurs sujets, mais un d’entre eux, c’est la puissance du lobby pétrolier.
Encore une fois, il ne s’agit pas de conspiration, mais une simple histoire d’intérêts. Nous pensons que le moteur magnétique reste à l’ombre à cause de ces industries énergétiques et leurs lobbys puissants. Si vous avez des éléments supplémentaires concernant le générateur surnuméraire, cet article restera ouvert à vos propositions, connaissances ou témoignages. Contactez-nous en apportant vos infos et nous les publierons après vérification. Un sujet qui mérite largement notre attention.
Voici une Playlist Youtube de vidéos sur les moteurs magnétiques ainsi que des plans de construction de moteurs (en anglais).
Plans en PDF en anglais. Taille : 83 Mo