Il n'y a que par le retrait et même la solitude qu'on atteint cette vérité au centre de soi-même. Il faut repousser tout ce qui détourne, tout ce qui corrompt, alourdit, avec une obstination constante et une vigilance sans relâche.
Inutile de lutter contre le monde qui environne et agresse. La solution n'est pas de se retirer du monde mais de rester en soi. C'est comme vouloir fermer une fenêtre qu'on aurait ouverte. La solution, c'est de ne pas l'ouvrir. Le monde n'y est pour rien. C'est moi qui ait décidé d'ouvrir la fenêtre.
Il faut écrire sur le monde finalement. Parce que c'est le seul moyen de maintenir la fenêtre close. Rien ne m'empêche de regarder à travers la vitre mais aucune ouverture ne permettra au monde de venir à l'intérieur. Les mots agiront comme des nettoyeurs sur la vitre, ils permettront de préserver la clarté, cette vue macroscopique qui ne sera jamais une perdition de l'observateur à travers l'objet observé mais une perception lucide de l'observateur.
Ce qui importe, c'est ce détachement constant, comme une double vue.
L'observateur n'est pas inséré dans l'objet de l'observation parce qu'il reste lui-même l'observé. Je suis celui qui perçoit sa propre perception à travers l'observation extérieure. Au lieu de me fondre dans la masse observée jusqu'à y disparaître, j'en reste détachée parce que jamais ne se perd, dans ce travail à travers la vitre, la présence de celui qui observe.
Je veux écrire pour entendre le silence lorsque les mots n'ont plus rien à dire du monde. Ce silence qui contient la seule réalité. L'absence de tout bouleversement, de tout mouvement, de tout dérangement. J'écris pour ne pas être désintégré par les formes ingérées. La violence du monde est un désintrégateur, son chaos est un désordre existentiel.
Ecrire pour rester ancré dans mes fibres, ne pas m'évaporer dans l'atmosphère humaine, rester condensé dans l'esprit qui vibre à l'intérieur et ne pas fusionner avec les particules agitées qui m'environnent.
La solitude procurée par les mots est un sauvetage.
L'amour, dans cette solitude, devient l'écrin d'un diamant.
Je veux entendre le vent dans mes lignes, la dérive des nuages, le soulèvement des océans aimantés par la lune, entendre le murmure de la mémoire de l'eau qui cascatelle dans les torrents, écouter son histoire millénaire, je veux écouter le craquement des écorces gorgées par le ruissellement obstiné de la sève, le grincement des pierres sous le gel, écouter dans les avalanches floconneuses qui débordent des nuages le ressac des marées, percevoir dans les scintillements d'étoiles l'extension de l'Univers, regarder dans les cieux lactescents des galaxies qui se forment, deviner dans le silence de la nuit des montagnes la lente rotation de la Terre.
La Vie est une pensée qui a pris forme mais je n'entendrai jamais ses murmures si j'ouvre la fenêtre et laisse entrer le chaos humain.
Il faut atteindre cette conscience du vide en soi pour entendre battre la pulsion infime de cette Vie. Rien, aucun bruit, aucun geste, même pas une pensée, aucun objectif, aucune attente, aucun désir, aucun regret, aucune tristesse, aucune espérance.
Rien.
C'est là qu'est le Tout.
Je veux écrire pour tendre ce vide en moi vers l'horizon de la pensée originelle. Elle est là, dans le silence des montagnes, au milieu des océans, dans les déserts, les forêts tropicales, elle est là où le chaos humain n'a pas d'emprise. L'espace se réduit. Les animaux le sentent, les plantes le savent, même les nuages en parlent.
La pensée de la Vie vibre toujours en eux.
Les humains ont laissé leurs pensées humaines investir l'espace et ces pensées rebelles se combattent. Jusqu'à en oublier la pensée créatrice. Le vacarme en eux est à l'image du chaos.
Si j'ouvre la fenêtre, je me condamne. Je dois essuyer parfois la buée de toutes ces pensées condensées sur la vitre à travers laquelle j'observe l'extérieur. Ce sont les pensées humaines qui se sont insérées en moi et qui me voilent la réalité. Le combat est permanent, les buées de plus en plus épaisses. Je sens parfois leurs étreintes, elles m'asphyxient, elles m'étouffent, elles ruissellent en moi comme des poisons.
Il faut que je remonte en altitude, là-haut les buées sont trop lourdes, elles ne survivent pas à la lumière céleste.
J'ai peur des villes et de leurs airs viciés. De ce chaos d'âmes embuées.
Ce monde n'est pas pour moi.
Je sais pourtant qu'il est d'une fragilité absolue. Que les hommes s'éteignent et dix mille ans viendront à bout des désastres humains. Il ne restera rien. Aucune route, aucune construction, aucune trace, tout disparaîtra. La pensée créatrice restaurera l'harmonie. Sans les pensées des hommes comme interférences, le travail sera d'une facilité déconcertante.
Je connais quelques sommets du haut desquels aucune trace humaine n'apparaît. Il faut s'asseoir au moins une fois dans sa vie pour saisir cette paix. Et parvenir simultanément à oublier que d'être là est parfois un outrage.
Je suis un outrage si je nourris le chaos humain.
J'écris aussi pour dire à quel point j'en suis désolé. Tenter au moins de clamer mon innocence et de calmer ma détresse. Je n'ai rien demandé, rien voulu, rien décidé. Je suis là parce que la vie l'a décidé.
Peut- être qu'un jour la Vie entendra mes hommages et me laissera entrer dans son silence. Juste la paix de la Création.
Notre film "Nous sommes l'Humanité" va sortir au cinéma le 2 Mai.
Aidez-vous à montrer notre documentaire avec les Jarawas dans le cinéma près de chez vous! Soutenez la sortie du film dès aujourd’hui, chaque jour compte!
IMAGINEZ…
Imaginez que vous soyez né dans un paradis tropical, dans une île encore intacte où la nature est généreuse et magnifique. Imaginez que vous soyez né dans un monde de paix et de bonheur où tout le monde s’entraide et se respecte. Imaginez que vous ayez depuis toujours vécu totalement isolé du monde extérieur…
C’est la vie des Jarawas, le plus ancien peuple du monde, les premiers humains qui sont partis d’Afrique vers l‘Asie, il y a 70 000 ans… Mais aujourd’hui, ils sont en danger! Le gouvernement indien veut les assimiler pour leur voler leurs superbes plages encore vierges. Les Indiens leur ont interdit d’alerter le monde sur leur sort afin que personne ne sache ce qui se passe.
Les Jarawas ne sont plus que 400 !
COMMENT TOUT A COMMENCE…
Les Jarawas nous ont donné l’autorisation exceptionnelle de les rencontrer pour leur donner la parole. Pendant 4 ans, nous avons filmé leur vie sans chercher à la transformer, sans mise en scène, en les respectant tels qu'ils sont. Notre film documentaire « Nous sommes l’Humanité » est leur unique témoignage.
Ces deux dernières années, nous avons travaillé sans relâche pour vous faire connaître les Jarawas et engager le plus de gens possible dans notre cause pour les protéger. Nous avons lancé une campagne de sensibilisation sur les réseaux sociaux. Nous avons plus de 116 000 followers sur notre page facebook. Grâce à vous, notre pétition a déjà réuni plus de 245 000 signatures !
NOTRE FILM
Dans notre documentaire, il n’y a pas de commentaires, nous avons laissé les Jarawas parler pour eux-mêmes. « Nous sommes l’Humanité » est le portrait intime et poétique d’un peuple authentique et hors du commun. Notre documentaire n’est pas un film anthropologique, c’est un voyage extraordinaire et singulier au cœur du monde inconnu et fragile des Jarawas. C’est une immersion totale dans leur univers secret et enchanteur.
« Nous sommes l’Humanité » pose des questions essentielles sur nos origines, notre rapport à l’autre, notre façon de vivre ensemble, l’égalité entre les sexes, le combat pour le respect des droits humains et notre rapport à la nature. Il nous fait prendre conscience de la fragilité de notre bien commun, la terre et ses habitants.
L'EQUIPE DU FILM
Alexandre Dereims, le réalisateur et Claire Beilvert, la productrice
Alexandre Dereims et Claire Beilvert se consacrent depuis une quinzaine d’années à la réalisation et la production de projets à long terme. Leurs documentaires racontent les histoires de femmes et d’hommes qui luttent pour rester libres. Comme l’exil du peuple Karen en Birmanie, le destin des réfugiés nord-coréens en fuite à travers la Chine, le rêve brisé des migrants africains en route pour l’Europe dans le désert du Ténéré. Leurs films ont été récompensés par de nombreux prix dont le prix de la Croix Rouge Internationale et la Nymphe d’Or à Monaco. Alexandre Dereims a reçu le prix Albert Londres en 2009.
À quoi servira la collecte ?
A VOUS DE JOUER…
Depuis le début de ce projet, nous nous sommes financés par nous-mêmes et grâce à la générosité de tout ceux qui veulent faire connaître les Jarawas, partager leur message et soutenir leur cause.
Après 6 ans de travail, nous allons enfin sortir notre film « Nous sommes l’Humanité » au cinéma le 2 Mai.
Nous avons besoin de vous pour le distribuer le plus largement possible dans votre région, dans le cinéma près de chez vous.Notre but est d’atteindre au minimum 10 salles.
La société de production du film Premiere Nouvelle percevra l'intégralité de la collecte de vos dons qui vont servir à payer les frais de sortie du film salle par salle.
Les frais s'élèvent à 1000€ par salle :
- 600 € de taxes à la contribution numérique ou VPF (un impôt solidaire que l’Etat reverse aux salles d’Art & Essai pour les aider à se moderniser).
- 20€ pour payer les 2 affiches grand format et 2 affiches petit format
- 380 € pour payer l'attaché de presse, la campagne d'affichage, l'envoi de fiches pédagogiques du film aux enseignants, contacter les associations et organiser des avant-premières.
Bien sûr, nous avons prévu de vous remercier pour votre générosité, mais au-delà d’une contrepartie pour votre don, en soutenant la campagne, vous rejoignez les rangs déjà nombreux de tout ceux qui aiment les Jarawas.
Soutenez le film dès aujourd’hui, chaque jour compte. Nous vous remercions de tout cœur.
Claire Beilvert & Alexandre Dereims
Plus vous serez nombreux, plus il y aura de chance que les Jarawas passent dans le cinéma près de chez vous.
Par exemple,
1er OBJECTIF ATTEINT !!! 10 000 € - 10 salles
Trois salles à Paris plus Montreuil, Lyon, Marseille, Lille, Bordeaux, Nantes, Toulouse
ON CONTINUE !!! 15 000 € - 15 salles
Les 10 salles plus Rennes, Versailles, Strasbourg, Grenoble, Rouen
2ème OBJECTIF ATTEINT !!! 20 000 € - 20 salles
Les 15 salles plus une salle à Paris (4 salles) plus Aix en Provence, Nancy, Nice, Chamberry
2ème OBJECTIF ATTEINT !!! 30 000 € - 30 salles
Les 20 salles plus une salle à Paris (5 salles) plus La Rochelle, Vannes, Toulon, Le Mans, Dijon, Orléans, Reims, Angers, Montpellier, Fontainebleau,
ON Y EST PRESQUE !!! 40 000 € - 40 salles
Les 30 salles plus Fontainebleau, Tours, Avignon, Nîmes, Valence, Bayonne, St Ouen l’Aumône, Biarritz, Boulogne Billancourt, Clermont Ferrand
LE RÊVE !!! 50 000 € - 50 salles
Les 40 salles plus trois salles à Paris (8 salles) plus Limoges, Brest, Cannes, Torcy, Béziers, Pau, Albi
LE GRAAL !!! 80 000 € - 80 salles
Les 50 salles plus Argenteuil, Perpignan, Annecy, Massy Palaiseau, Blois, Mulhouse, Roubaix, Le Havre, Pessac, Villefrance sur Saône, Melun, Belfort, Dunkerque, Valenciennes, Béziers, Albi, Carcassonne, Archamps, Saint Malo, Chartres, Rodez, Amiens, Perrigueux, Saint Etienne, Puy en Velay, Nevers, Vesoul, Saint Brieux, Agen, Blagnac
LE NIRVANA !!!! 100 000 € - 100 salles
100 salles c’est quasiment partout en France !!!!
Cette fois, on peut dire que l'hiver a pris la poudre d'escampette. Températures estivales mais les montagnes sont toujours couvertes de neige et le ski de randonnée bat son plein pour un moment encore.
L'intelligence artificielle apporte d'indéniables améliorations dans de multiples domaines.
Très bien. Il faut continuer.
Mais ce qu'on lit et que je découvre pour ma part sur Facebook et consoeurs me déplaît considérablement et je pense que l'impact sur la population sera négatif, qu'une crise de confiance s'installe et qu'il sera long et délicat d'en inverser le sens.
Le système de "défense" de Zuckerberg ne va pas améliorer les choses.
On se croirait dans une classe d'école primaire quand un enfant se fait prendre pour une bêtise :
"Y'a pas que moi, y'a les autres aussi..."
Comme si l'argument du "partage de la bêtise" pouvait la justifier. En même temps, avec cette mentalité, pas étonnant que Zuckerberg ait conçu le réseau social du "partage" en ligne...Il aurait dû préciser ce qu'il comptait "partager"...
Pitoyable. C'est le genre d'argument qui encourage le pire au lieu de proposer une voie d'amélioration.
Quant à l'aveu qui suit, personnellement, ça me laisse sans voix...
«Quand vous visitez un site ou une application qui utilise nos services, nous recevons des informations même si vous n'avez pas de compte Facebook», admet simplement l'entreprise."
Mark Zuckerberg, PDG de Facebook LEAH MILLIS/REUTERS
Le réseau social s'est de nouveau expliqué sur son modèle économique lundi soir, tout en signalant que Google, Twitter et Amazon avaient des pratiques similaires aux siennes.
N'allez pas dire à Facebook qu'il est le seul mauvais acteur du Web. Le réseau social a publié lundi soir un nouveau communiqué sur ses pratiques en ligne. Ce dernier se concentre plus particulièrement sur la collecte d'informations en dehors du réseau social. Intitulé «Quelles données collecte Facebook quand je n'utilise pas Facebook, et pourquoi?», il détaille ses différents outils utilisés pour suivre les habitudes des internautes en ligne, y compris ceux qui ne disposent pas de comptes. Néanmoins, dans un paragraphe, Facebook insiste qu'il n'est pas le seul à faire ce genre de choses.
«De nombreuses entreprises proposent ce genre de services et, comme Facebook, elles récupèrent des informations d'applications ou de sites qui les utilisent», écrit le réseau social. «Twitter, Pinterest et LinkedIn ont des outils similaires aux boutons j'aime ou partager, qui permettent aux gens de publier des choses sur leurs plateformes. Google dispose d'un service d'analyse très populaire. Et Amazon, Google et Twitter proposent des outils d'identification. Ces entreprises, et bien d'autres, disposent de régies publicitaires. D'ailleurs, la plupart des sites et des applications mobile envoient vos informations à plusieurs entreprises à chaque fois que vous les consultez.»
Facebook mentionne aussi le cas de YouTube, la plateforme de vidéos de Google, en parlant de son utilisation de cookies [un programme qui permet à un service de reconnaître un internaute, NDLR], qui lui permet de récupérer les adresses IP et des informations sur le navigateur Internet de personnes naviguant sur d'autres sites. «Quand vous regardez une vidéo YouTube sur un site qui n'est pas YouTube, votre navigateur envoie une requête à YouTube.»
Exception notable: Tim Cook, PDG d'Apple, s'en est pris à deux reprises à Mark Zuckerberg et son entreprise. «Nous pourrions nous faire beaucoup d'argent si nous monétisions nos clients, s'ils étaient notre produit. Mais nous avons choisi une autre voie», avait expliqué le dirigeant, lors d'une interview accordée à la chaîne télévisée MSNBC et au site Recode. Mark Zuckerberg avait répondu qu'il trouvait ces critiques «ridicules». «Si l'on veut construire un service qui n'est pas seulement utilisé par les riches, il faut le rendre abordable», avait-il ajouté. Mark Zuckerberg avait d'ailleurs prévu d'évoquer Apple lors de ses entretiens devant le Congrès américain. Il n'a finalement pas été interrogé sur le sujet.
Même si Facebook n'est effectivement pas la seule entreprise à faire de la publicité en ligne, il n'empêche que le réseau social manque toujours de clarté dans certaines de ses pratiques. Interrogé sur l'existence de «profils de l'ombre» («shadow profiles»), des données récoltées sur des internautes qui n'ont pas de comptes Facebook, Mark Zuckerberg était resté très vague. Le communiqué publié lundi soir ne donne pas davantage d'informations. «Quand vous visitez un site ou une application qui utilise nos services, nous recevons des informations même si vous n'avez pas de compte Facebook», admet simplement l'entreprise.
Depuis que j'ai demandé la suppression de mon premier compte FB, je me suis décidé à essayer un peu de comprendre le fonctionnement de "la Toile" et c'est peu dire que le nom est tout à fait approprié, tant je me fais l'effet d'un insecte pris dans les fils d'une toile immense...
C'est effrayant en fait et je pense que peu d'utilisateurs au regard du nombre sont vraiment conscients de tout ce qui existe pour nous "attraper" dans les mailles.
Les cookies, par exemple... "La CNIL précise dans ses recommandations qu'un éditeur de site se doit de faire apparaître une bannière, lors d'une première visite sur un site, décrivant le type de données récupérées ainsi que la finalité de la collecte. L'internaute peut, via cette bannière, refuser en partie ou intégralement la collecte de ces données sur un site donné. "
Eh bien, encore faut-il trouver le moyen de refuser ou limiter ces cookies et encore faut-il lire les dizaines de pages "explicatives" qui sont disponibles...Dizaine de pages que personne ou presque ne lit bien entendu, vu la longueur et le côté abscons des propos...Personnellement, je ne m'en suis jamais vraiment préoccupé.
Ce qui m'interpelle également, c'est que tout ça ait été autorisé et c'est là qu'on réalise à quel point cette phrase est explicite.
"Si ce que vous faites est gratuit, c'est que vous êtes le produit"...
Oui, effectivement, la Toile est également un gigantesque réseau marchand. Mais quand on "navigue", on oublie combien nous sommes des clients avant d'être des utilisateurs.
Quant aux raisons invoquées par certains états "démocratiques" pour enregistrer les données, il faut se souvenir d'Edward Snowden : "Au nom de la protection nationale et sous couvert du « Patriot Act », cet ensemble de lois qui contraint les entreprises américaines à fournir les informations désirées, la NSA s’est octroyé le droit d’accès à ces informations."
Si vous voulez faire un petit test "amusant", vous allez sur "amazon", vous lancez une recherche précise puis vous allez sur "le bon coin" et vous regardez les publicités qui vous seront présentées...C'est édifiant...
Et tout ça, c'est "normal", c'est "légal", c'est passé dans les mœurs, tout le monde en a plus ou moins entendu parler...Mais bon, "on n'y peut rien mon bon Monsieur".
C'est un espionnage à l'échelle industrielle, c'est un conditionnement, un appel à consommer encore et encore, une atteinte à la vie privée et les "scandales" disparaissent dans l'actualité les uns après les autres, il suffit d'attendre un peu.
Facebook va attendre un peu, distribuer assurément quelques enveloppes aux politiciens, alléger son étreinte par quelques entourloupes et la boutique continuera à tisser sa toile.
Et là, au moment où j'écris ça, je vois sur la gauche de ma page Facebook, une application qui me demande" "Où étiez-vous pour votre premier baiser ?" .... Et si je réponds en donnant une date, un lieu, une personne précise, tout cela rentrera dans les archives, sera géré par un algorithme qui a été conçu pour en faire quelque chose....
Juste penser, que tout ce qui est mis sur Facebook est enregistré et que tout ce que vos "amis" écrivent est recoupé avec vos informations.
Ce sont des "passerelles" qui permettent de saisir toujours plus d'informations...Toujours plus d'informations. Sur nous tous.
J'ai donc réouvert un compte FB sur lequel je n'écris que des articles dénonçant ce système. Facebook s'en contrefiche, je m'en doute bien. Mais étant donné que je ne prêtais guère attention à tout ça, il y a quelques semaines et que j'ai attendu quinze jours pour que mon compte et son historique soient supprimés (sans certitude d'ailleurs), je me dis que ça peut éventuellement servir à quelqu'un...
A savoir également que sur FB, les "messages privés" sont également archivés...
La notion de "privés" dans ce cas-là a quelque chose d'étrange...
Ce système de "traceurs" est donc "normal", légal, autorisé, et chaque société commerciale, chaque entité ayant des intérêts financiers sur la Toile a mis en place un système terriblement efficace pour entrer dans nos vies, pour nous connaître, nous identifier, nous cartographier et chercher par quels biais, ils vont pouvoir nous inciter à consommer leurs produits, à utiliser leurs "services", à nous influencer, à nous conditionner, jusqu'à ce que tout cela ne nous semble même plus inacceptable. C'est comme si nous ouvrions non pas la porte de notre demeure mais celle de notre esprit. Et nous jugeons ça "normal" puisqu'en échange, ils nous offrent les moyens technologiques d'échanger entre nous, nos idées, nos passions, nos photographies, nos colères, nos amours, nos désirs, nos attentes, nos projets, nos informations diverses, nos opinions, nos idées... Je n'y ai vu au départ que l'intérêt d'un partage favorable pour chacun et j'ai mis de côté tout ce que ces entités financières pouvaient faire de tout ça.
Ils ne connaissent aucune censure dans leur voyeurisme puisque c'est de cela aussi qu'il s'agit. "Ils" veulent tout voir de nous et Facebook est donc devenu, non pas un partage social mais un partage commercial et pire encore idéologique. Derrière le rideau de nos pages.
Quand je pense que la photographie du corps nu d'une femme ou d'un homme serait immédiatement censuré mais que rien dans leurs outrages ne connaît de limite, ça en serait risible si ça n'était aussi grave.
Ce ne sont pas nos corps qui sont mis à nu mais nos esprits.
L'utilisation tout azimut des cookies informatiques aurait t-elle fait son temps ? Entre les recommandations de la CNIL de décembre 2013 visant à mieux réguler leur utilisation et la volonté de lancer un système alternatif par les géants du Web, le système actuel d'utilisation massive des cookies est en pleine mutation.
Une évolution nécessaire tant le principe actuel de récupération de ces fichiers temporaires, qui reste méconnu d'une majorité des internautes, a un impact en termes de conservation de la vie privée sur Internet. Une récupération de nos données personnelles qui est effectuée en général par des sociétés commerciales ou des États, comme par la NSA dans l'affaire Snowden, mais aussi des hackers pour lancer des cyberattaques.
Quels sont les dangers des cookies ?
Si les cookies ont été créés à l'origine pour permettre aux sites Internet d'authentifier les internautes et enregistrer leurs préférences de navigation, leur utilisation a été largement détournée à des fins commerciales. Les sites marchands les utilisent en masse pour afficher des publicités ciblées en rapport avec l'historique de navigation de l'internaute. Les tracking cookies, d'une durée de vie illimitée et contenant l'ensemble des informations relatives à la navigation de l'utilisateur, sont ainsi collectés pour tirer le profil marketing des internautes. Des procédés qui se font le plus souvent à l'insu de l'utilisateur qui n'a en général pas conscience des informations récupérées en lien avec son profil.
Une récupération des cookies qui attire aussi les hackers : l'objectif étant pour eux d'en exploiter le contenu et d'utiliser ces données personnelles à des fins malveillantes pouvant aller jusqu’à la mise en place des cyberattaques. Le processus est relativement simple : si le hacker a un accès physique à la machine il lui suffit de copier ces données, accessibles en quelques clics, sur une clé USB. A distance la récupération des cookies est aussi plutôt aisée, puisqu’il suffit d'intercepter une requête HTTP par laquelle passent les cookies, à l'aide de techniques de type « sniffing ». L'utilisation des failles du navigateur sont aussi utilisées pour le vol de cookies : Firefox permet par exemple de récupérer les cookies en créant un site pirate qui aspire les cookies du site visé. Ces techniques ont été utilisées par la NSA pour surveiller la vie des internautes, comme le dévoilent les documents publiés en décembre 2013 par Edward Snowden.Selon le Washington Post, la technique utilisée par la NSA et la GCHQ, l'agence de renseignement britannique, consiste à se procurer des cookies PREF, propres à Google, afin d'identifier les cibles et surveiller leur navigation. Cette technique permet aussi aux agences de renseignements américaines et britanniques d'envoyer des logiciels pour hacker l'ordinateur de l'individu concerné et d’extraire l'ensemble des fichiers souhaités. Au nom de la protection nationale et sous couvert du « Patriot Act », cet ensemble de lois qui contraint les entreprises américaines à fournir les informations désirées, la NSA s’est octroyé le droit d’accès à ces informations.
Une récupération et utilisation des données personnelles effectuée le plus souvent à l'insu des internautes, mal informés par les traces laissées lors de leur navigation. Si une loi existe depuis 2011 en France, sensée encadrer la récupération des cookies et l'information des internautes, elle était peu appliquée jusqu'à présent. Dans l'optique de faire respecter la juridiction en présence, la CNIL a publié, le 16 décembre 2013, une série de recommandations à destination des éditeurs de site et annonceurs. L'objectif étant d'informer et de donner le choix aux internautes d'accepter ou non la récupération de leurs données personnelles lors de leur visite sur un site. La CNIL précise dans ses recommandations qu'un éditeur de site se doit de faire apparaître une bannière, lors d'une première visite sur un site, décrivant le type de données récupérées ainsi que la finalité de la collecte. L'internaute peut, via cette bannière, refuser en partie ou intégralement la collecte de ces données sur un site donné. La CNIL précise enfin que les cookies collectés ne peuvent être conservés plus de treize mois et que ceux relatifs à la géolocalisation ne doivent pas être plus précis que la ville de l'internaute. Ces recommandations seront-elles suffisantes pour mieux réguler l'utilisation des cookies ? Elles devraient en tout cas participer à la prise de conscience des internautes des dangers encourus en termes de préservation de la vie privée et de sécurité informatique.
Si vous avez une heure devant vous, essayez donc de comprendre ce fatras...
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Toujours et encore le même problème : la demande des consommateurs contribue à l'offre.
Ce ne sont pas les industriels qui sont responsables de ce désastre mais l'inconscience des individus qui réclament, sur l'ensemble de la planète, à ce que l'industrie agro-alimentaire fournisse les produits qu'ils veulent consommer.
On se trompe de responsables quand on accuse les industriels d'user inconsidérément de produits chimiques.
Il est absurde de croire que la production démesurée de produits laitiers ou de viande puisse être respectueuse de l'environnement avec une telle demande mondiale.
Totalement absurde et irresponsable.
L'industrie laitière néo-zélandaise pollue-t-elle au point de mettre en péril les ressources naturelles qui la font vivre ? Dans un pays qui a su se vendre à l'étranger comme un parangon de naturalité, de plus en plus de voix réclament le passage à une agriculture plus durable et raisonnée.
Les principaux acteurs de l'industrie laitière, qui pèse à elle seule 28% des revenus de l'exportation (environ 7,97 milliards d'euros) et 47.000 emplois, ont d'autant plus de mal à entendre cette nouvelle exigence écologique que le secteur est toujours rentable.
La coopérative géante néo-zélandaise Fonterra, premier exportateur mondial de lait, a annoncé fin mars un chiffre d'affaires en hausse de 6% pour le premier semestre de la campagne 2017-18. Le résultat net a baissé, à 248 millions de dollars.
En Nouvelle-Zélande où, depuis 2012-2013, vivent plus de vaches (4,86 millions) que d'habitants (4,72 millions), tout a été fait pour transformer le moindre brin d'herbe en lait.
En trente ans, la taille moyenne des troupeaux laitiers a triplé. La superficie de leurs pâturages a augmenté de 45% depuis 1995 avec, pour conséquence, la multiplication des systèmes d'irrigation sur des terres naturellement sèches.
Pour Mike Joy, maître de conférence en écologie et en science de l'environnement à l'université Massey, "si le secteur a pu se développer autant et aussi vite, c'est notamment grâce à l'utilisation massive de fertilisants chimiques tels que les engrais azotés".
L'impact sur l'environnement est dévastateur. En Nouvelle-Zélande, près de 50% des émissions de gaz à effet de serre sont issues de l'agriculture, contre 10 à 12% à l'échelle mondiale.
- 7 rivières sur 10 impropres à la baignade -
"Entre 1998 et 2009, l'excédent d'azote dans le sol était plus important ici que dans n'importe quel autre pays de l'OCDE", rappelle Mike Joy à l'AFP.
Des vaches laitières mangent dans une ferme assistée par des robots, le 24 septembre 2010 à Bréhan. Dans une immense étable de la ferme, des robots poussent le fourrage jusque sous le museau des vaches, les brossent et les traient à volonté, pariant sur l'automatisation ( AFP/Archives / DAMIEN MEYER )
Selon un rapport gouvernemental qui pointe la hausse des niveaux d'azote et une prolifération des algues, sept des dix rivières contrôlées étaient impropres à la baignade en 2017. Les trois quarts des poissons d'eau douce natifs du pays insulaire seraient menacés.
Il y a urgence, crient les défenseurs de l'environnement, mais aussi certains industriels. "Nous avons désormais atteint les limites économiques, sociales et environnementales de notre activité et nous devons créer de la richesse autrement", écrivait récemment dans un éditorial du New Zealand Herald Steve Carden, le directeur de Landcorp, une entreprise publique productrice de lait.
Quant aux Néo-Zélandais, ils demandent aussi des comptes. "Ils ont subitement pris conscience qu'on était en train de leur ôter" ce qui représente l'image d'Epinal de la Nouvelle Zélande: "une baignade dans une eau cristalline en toute sécurité", souligne à l'AFP, Phil Vine de Greenpeace NZ.
Sous pression, Fonterra a publié fin 2017 son tout premier rapport sur le thème du développement durable. La coopérative s'est engagée à éliminer d'ici à 2050 les gaz à effet de serre émis lors de la transformation et du transport de son lait.
Reste le problème des 85% restants, directement imputables aux troupeaux qui expulsent méthane et protoxyde d'azote.
"Nous prenons notre part de responsabilité", estime Bruce Thorrold, chef de l'investissement et de la stratégie à Dairy NZ, qui représente le secteur. "Nous ferons partie de la solution. Nos éleveurs sont à la fois motivés et innovants. Combiné aux avancées de la recherche scientifique et à notre collaboration avec le gouvernement, leur sens de l'initiative nous permettra de relever ce défi".
Pourtant la dépendance du secteur au marché mondial ainsi que le surendettement des éleveurs - à hauteur de 40 milliards de dollars - freinent les changements. Du coup, mauvaise foi et "greenwashing" font partie de l'équation.
"Selon l'industrie, 90% des accès aux rivières seraient clôturés", ce qui permettrait ainsi d'éviter les déjections animales directement dans l'eau des rivières, dit Phil Vine. "Mais encore faut-il s'entendre sur le terme rivière: 77% de la pollution provient des petits cours d'eau exemptés de toute obligation de clôturer", dénonce le responsable de Greenpeace NZ.
Avec la diversification des cultures, les plantations riveraines ou encore l'arrêt de l'expansion de l'irrigation, la réduction des troupeaux fait partie des solutions avancées pour alléger l'empreinte écologique de l'exploitation laitière.
"Ces nouvelles voies seront peut-être moins rentables à court terme", a expliqué à l'AFP Alan Renwick, professeur d'économie agricole à l'université Lincoln, "mais sans doute plus durables".
Un ami m'a fait parvenir ce texte et la présentation du projet qui suit.
Vu le domaine, je tiens à participer à ce soutien et à le faire connaître. Tous les votes sont les bienvenus :)
Merci à vous.
Bonjour
Nous sommes en train de monter un nouveau projet collectif pour lequel nous avons posé deux demandes de subvention suite à l’appel à projet de Nicolas Hulot.
Il y a eu un pré-tri par un jury et un des deux projet a été retenu. Youpi !
Maintenant, ce sont les dossiers qui auront le plus de vote du public qui seront financés. Du coup nous avons besoin de votre soutien !!
La procédure est simple, je mets le lien en fin de mail pour accéder à notre projet.
1. Clique sur le lien ci dessous
2. Clique sur S’INSCRIRE en vert en haut à droite.
A ce moment là ils demandent de faire une inscription, pseudo mail et mot de passe. Quand tu es inscrit.
3. Clique sur VOTER POUR
4. Puis valide ton vote en cliquant sur le lien qu’ils vont t’envoyer sur ta boite mail.
On peut voter avec autant d’adresse mail valide qu’on a.
Ces 5 minutes peuvent nous permettre d’avoir 80 000 euros pour démarrer notre projet. Ca serait un formidable coup de pouce pour débuter nos activités sur notre nouveau collectif. Merci pour le soutien et ce temps précieux.
N’hésitez pas à le faire passer dans votre réseau pour qu’on ait un maximum de votes.
Bises
Thomas
Développer une micro ferme pédagogique et nourricière en agroécologie
Terre d'Avenirs, le 24 février 2018 à 17:05 • Modifié le 27 février 2018 à 18:33
Un lieu ressource où se côtoient un jardin vivrier et des ateliers de formation
Description
Il existe des techniques agricoles permettant :
- un renouvellement durable des ressources naturelles nécessaires à la production (biodiversité, eau, sol, ...) ;
- la préservation et la régénération des sols ;
- une réduction importante de l'utilisation des énergies non renouvelables ;
- l'arrêt d'utilisation d'intrants chimiques ;
- l'amélioration de la santé des agriculteurs et des consommateurs ;
- d’atteindre la sécurité alimentaire.
Ces méthodes se regroupent sous l'appellation d'agroécologie qui concilie productivité, préservation des agrosystèmes et développement économique et social.
Nous proposons la création d'une micro ferme pédagogique vivrière en agroécologie.
Cet espace sera créé au sein d'un projet plus global regroupant : des écohabitats, un centre de formation, un espace de soins, ...
Notre projet a deux vocations principales :
- créer un jardin potager en agroécologie permettant aux habitants de s'autoalimenter ;
- partager ces expériences et acquis pour accompagner les personnes qui le souhaitent à prendre en main leur alimentation.
Concrètement, nous comptons :
- nous faire accompagner et conseiller la première année par un maraîcher, animateur en agroécologie, pour mettre en place un système de production permettant de nourrir l'écohameau, et pour réaliser les parcours pédagogiques ;
- construire une serre bioclimatique ;
- équiper le site entier en phytoépuration dans une optique de cohérence globale ;
- nous faire accompagner par des partenaires pour établir le design du lieu en permaculture ;
- planter un verger conservatoire de variétés anciennes et locales ainsi que des haies qui serviront de lieux d'habitat pour la faune locale ;
- proposer des ateliers et des chantiers école.
Nous imaginons ce jardin comme un espace pédagogique ouvert à tous, où nous pourrons expérimenter différentes techniques de culture.
Cette initiative vise à minimiser l'impact de certaines activités humaines sur l'environnement. Elle permet de reconnecter l'Homme à la Terre.
Lieu ou adresse
1 Rue du Jardin d'Enfants, 66230 Prats-de-Mollo-la-Preste, France
En quoi votre projet répond-il à l’intérêt général ?
Nos principaux objectifs servent l'intérêt général car nous soutenons la transition écologique en rendant le consommateur actif, en protégeant les sols et la biodiversité, en gérant durablement les ressources naturelles, en participant à la culture de produits sains et au maintien de la santé, en développant les circuits courts et en montrant qu'il est possible d'être autonome en eau. Ces pratiques permettent de prendre soin de notre planète. Notre projet porte une mission pédagogique au travers des ateliers, des chantiers et des parcours pédagogiques. Nous créons un lieu ouvert qui permet les échanges. La ferme pédagogique vise à améliorer la qualité de vie des usagers qui s’alimentent ainsi de façon saine et préservent les sols. Il permet de transmettre des solutions pour le développement d’une agriculture écologique et durable. Cette activité revitalise une zone rurale en proposant des activités attractives et accessibles à tous.
Quels sont vos partenaires et les autres acteurs mobilisés sur ce projet ?
Les fermes : ferme de Can là haut ; les Milpas de Taranis / L'entreprise : Informatik'éthique / Les associations : Centre Culturel de Luminy ; Colibris ; Terre & Humanisme / Nous souhaitons nous mettre en relation avec les entrepreneurs, mairies, déchetteries et communauté de commune locale pour établir un partenariat afin de récupérer les déchets de tonte et d'élagage ainsi que du compost. Nous comptons nous mettre en relation avec le département pour faire planter des haies champêtres.
Quelles seront leur contribution au projet ?
Ferme de Can la Haut : aide à la réalisation du design en permaculture de tout le site, utilise notre structure pour faire des stages de permaculture / Centre Culturel de Luminy : mise en réseau, diffusion de nos stages et évènements, participation aux chantiers, temps d'échanges sur nos pratiques et savoirs respectifs / Informatik'éthique : mise en place d'un site web et d'un intranet de travail partagé pour les utilisateurs du jardin / Colibris : mise en réseau, diffusion de nos stages et évènements / Ferme les Milpas de Taranis: conseil et aide pour la mise en place du jardin et dons de plants.
En quoi votre projet est il innovant ou pionnier ?
Nous proposons un lieu ouvert où chaque citoyen peut facilement se reconnecter à la Terre : - en produisant lui même les aliments qu'il va consommer dans un espace riche et dynamique en constante évolution ; - en s'appropriant des savoir-faire issus des dernières découvertes en agroécologie ; - en participant à la culture de produits sains pour le sol, pour le cultivateur et pour le consommateur ; - en améliorant sa compréhension du monde agricole. Les ateliers et formations qui s'y dérouleront vont permettre de révéler les enjeux scientifiques et sociétaux de demain en impliquant tous les acteurs locaux : habitants, agriculteurs, associations, entreprises, élus. Notre concept est unique et novateur, car il rassemble au même endroit : - une micro ferme vivrière avec serre bioclimatique ; - un jardin pédagogique en agroécologie ; - un verger conservatoire de variétés anciennes ; - un lieu de vie dans des maisons passives prototypes ; - un centre d'accueil et de formation ; - un atelier de menuiserie. L’environnement est adapté aux gens de tous les âges (juniors et seniors) et certains ateliers seront ouverts aux familles accompagnées de leurs enfants. L’organisation de notre initiative est fondée sur le respect des humains : - communication bienveillante (communication non violente) ; - mode de gouvernance horizontale et partagée (sociocratie). Et aussi sur la protection de la nature : - utilisation d’outils de permaculture ; - diminution et utilisation des déchets ; - une gestion écologique et durable de l'eau ( notamment phytoépuration ) ; - mise en place de refuges pour espèces menacées (mare, plantation de haies, hôtel à insectes...).
Comment votre projet pourrait-il être éventuellement développé à une échelle plus large ?
Une dimension importante de l'agroécologie réside dans le fait que plus on développe ces techniques localement, plus son impact augmente. Nous avons à cœur de permettre son développement dans notre voisinage. L'agroécologie repose sur des techniques adaptables à différents contextes, qui fonctionnent dans différents types d'espaces et ne nécessitent aucun apport extérieur (ni engrais, ni outils particuliers, ni travail du sol, ...). C'est pourquoi nous souhaitons mettre en place des petits chantiers facilement reproductibles chez soi, dans une école ou un jardin public. Ils seront ouvert à tous quelque soit l'âge et la situation sociale. Nous avons prévu de demander une participation libre pour les chantiers école afin de pouvoir toucher même des foyers aux revenus modestes. Au fur et à mesure de nos chantiers, nous comptons mettre à disposition des schémas et des plans de ce que nous aurons réalisé (serre bioclimatique, phytoépuration, design en permaculture, associations de plantes, cycle de l'eau, ...). Nous développerons des panneaux pédagogiques fixes et numériques sur ces thématiques. Afin de développer le concept, nous avons choisi de partager nos connaissances grâce : - à des ateliers hebdomadaires gratuits ouverts à tous organisés par un animateur certifié en agroécologie ; - à la mise en place de parcours pédagogique ; - à notre centre de formation ; - au soutien des élus locaux (mairie, département, communauté de commune, région) ; - aux associations partenaires qui peuvent diffuser nos actions sur leurs réseaux ; - à la création d’un site internet qui permettra de tenir les gens informés des ateliers, évènements, chantiers ; - à l’organisation d’évènements publics ; - à la parution dans les médias (télévision, radio, journaux) ; - à la création de partenariats avec les producteurs locaux ; - à la publication de bulletins de liaison.
Plan d’actions détaillé
Plan d’actions
Ce plan d’action a été écrit en prenant en compte l’obtention de la subvention « Mon projet pour la planète ».
Etape 1 – Hiver 2018
- investissement des lieux ( 1 semaine )
- design permaculturel et marquage des espaces au sol ( 2 mois )
- développement de supports de communication pour présenter le projet ( 2 semaines )
- développement du site web ( 2 semaines )
- rencontre des agriculteurs et producteurs locaux ( 3 mois )
- développement du réseau associatif en allant à leur rencontre ( 1 an )
- préparation et organisation des premiers chantiers ( 1 mois )
- achat des outils nécessaires aux premiers chantiers ( 1 semaine )
Etape 2 - Juin 2018
- préparation des trous pour l’installation de la phyto-épuration, de la mare, des arbres du verger ( 1 jour )
- chantier école « premiers amendements et préparation du sol, buttes pour le jardin » ( 2 mois )
- premières plantations dans le jardin ( 2 mois )
- chantier école « construction de composteurs » ( 2 jours )
- installation de la phyto-épuration ( 3 semaines )
- chantier école « dessiner le verger et choisir les premières variétés » ( 3 jours )
Etape 4 – Juillet 2018
- chantier participatif pour le montage de la serre maraîchère ( 1 semaine )
- chantier participatif pour la préparation des sols et des bacs de plantations dans les serres ( 2 semaines )
- chantier école « construction du cabanon pour les outils » ( 3 jours )
- chantier participatif de montage de la serre bioclimatique adossée à la façade sud du bâtiment principal : fabrication des murs Sud, Ouest et Est ; toit ; huisserie ; domotique ( 3 semaines )
- formalisation des chantiers école en réalisant des supports numériques ( 1 mois )
- chantier école « installation d’un système d’irrigation dans le jardin » ( 3 jours )
Etape 6 – Septembre 2018
- organisation de l’inauguration du lieu ( 1 semaine )
- aménagement de l'intérieur de la serre bioclimatique ( 2 semaines )
- chantier école « installation du système d’irrigation de la serre » ( 3 semaines )
- chantier participatif de mise en place de la mare : bâche EPDM ; aménagement autour de la mare ; mise en eau ; plantations autour et dans la mare ( 10 jours )
- inauguration du jardin et des serres - évènement public ( 1 jour )
Etape 7 : Octobre 2018
- chantier « plantation des haies champêtres » ( 5 jours )
- chantier école « plantation des premiers arbres dans le verger » ( 5 jours )
- chantier école « des pieds de petits fruits rouges » ( 3 jours )
- préparation du contenu des panneaux pédagogiques ( 3 semaines )
Etape 8 : Novembre 2018
- atelier « fabrication des panneaux en bois du parcours pédagogique » ( 3 semaines )
- préparation des sols pour l’hibernation ( 2 semaines )
Etape 9 : Hiver 2019
- atelier familiale « fabriquer un hôtel à insectes » ( 3 x 1 jour )
- atelier théorique « créer des abris refuge pour les espèces menacées » (3 x 1 jour )
- atelier « dessiner un mandala de plantes aromatiques » ( 2 jours )
- finaliser les supports numériques théoriques ( 3 semaines )
- préparer les sols pour les cultures du printemps 2019 ( 1 mois )
- chantier école « faire des semis dans la serre bioclimatique » ( 3 semaines )
Etape 10 : Printemps 2019
- chantier école « plantation des semis sur butte » ( 2 semaines )
- chantier école « plantation des semis en pleine terre » ( 2 semaines )
- chantier théorie + pratique « assurer une production nourricière grâce à une serre » ( 2 semaines )
- accueil des écoles ( plusieurs demies journées )
- évènement ouvert au public pour fêter la première année du jardin ( 3 jours )
Nom de la ou des structures qui porteront le projet
Terre d'avenirs
Statut de votre structure
Association
Activités de votre structure
L’association « Terre d’avenirs » se donne pour but de créer et d’accompagner le développement de projets en accord avec les principes suivants : écologie, permaculture et protection de la biodiversité. Elle a vocation d’intérêt général au soutien d’autres structures et individus ainsi qu une mission pédagogique.
Pour ce faire, elle propose de :
- créer des projets innovants dans les domaines sus nommés ;
- aider à la création et l’installation de projets portant ces valeurs ;
- sensibiliser les acteurs du territoire (habitants, structures, pouvoirs publics) sur ces thématiques ;
- sauvegarder le patrimoine et les savoir faire ;
- créer du lien entre les différents acteurs du territoire pour relocaliser les activités et le savoir faire.
L’association « Terre d’avenirs » prévoit d’étendre le champ de ses activités en rapport avec son but : formation, rencontres, expositions, conférences, bulletin de liaison, publications, achat et vente de biens et de services.
Il a fallu quinze jours pour que j'obtienne l'effacement de mon compte et de son historique. Avec un mail incendiaire de ma part pour que ma demande soit enfin prise en compte. Le lendemain matin, mon compte était supprimé...
Il m'est malgré tout impossible d'être certain que cet historique ait vraiment été effacé. Je n'ai évidemment pas accès aux archives de Facebook.
Aujourd'hui, j'ai réouvert un compte et l'objectif est uniquement de relayer tous les articles concernant Facebook et les enquêtes en cours. Je me sers de Facebook pour dénoncer leurs pratiques...
Rien d'autre.
Et ce reportage ne me donne aucunement envie d'en poster davantage.