L'Analyse Transactionnelle (4)
- Par Thierry LEDRU
- Le 27/10/2014
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Levé à 5 heures. Je lis, je compile, j'analyse...
L'avantage de ma situation, c'est que je suis mon propre patient. Je "remercie" l'institution scolaire d'avoir accéléré le processus d'exploration intérieure...
La crise est une opportunité de transformation.
Les trois états du Moi sont une notion simple en théorie et un peu plus compliquée en pratique...
La prise de conscience est un point de départ, comme quelqu'un qui réaliserait qu'il a le potentiel pour avancer. Il reste ensuite à cheminer intérieurement.
Savoir quelle partie de nous est touchée permet de se sortir d'un état interne désagréable ou limitant.
* Je me sens inférieure à mon collègue de travail
*Cela me blesse profondément.
*Cet état est désagréable et je ressens des émotions qui accaparent toute mon énergie.
*J'en prends conscience.
*Quelle partie de moi est touchée ? À quelle étape de mon existence, cette situation me renvoie ?
*C'est l'Enfant en moi. Toute mon histoire personnelle est entravée par ce manque de confiance, cette absence de reconnaissance parentale et sociale.
*Je peux aujourd'hui me dissocier de cette part, reveniir dans l'Adulte et rassurer l'Enfant par des messages positifs.
*Je vois mon émotion de l'extérieur, je l'analyse, je l'accepte avec bienveillance car je sais aussi ce que j'en ai retiré. Elle m'apprend à explorer mes ressources intérieures. La crise est toujours une opportunité de transformation.
*Toutes les ressources dont j'ai besoin sont en moi.
Le thérapeute ne crée pas de ressources. Il permet à la personne de s'extraire de ses blocages et de s'en servir pour s'explorer et apprendre à se connaître.
LES BOUCLES DE VIE
L'être humain fonctionne avec des boucles, des boucles qui se répètent.
Nous avons tous des chémas inconscients qui régissent, organisent notre vie. Lorsque ceux-ci deviennent limitants, bloquants, ils peuvent apparaître plus clairement. La souffrance qu'ils engendrent a un pouvoir carcéral mais elle peut au contraire se révéler un puissant moteur de trnasformation. User de la crise pour grandir...
L'accroissement constant du schéma limitant se répète et nourrit les souffrances physiques et les douleurs morales. Plus les tourments augmentent plus le schéma se révèle à la conscience. Encore faut-il en accepter la démarche.
Il existe nécessairement un seuil au-delà duquel la personne ne peut plus fonctionner et est prête à changer.
Le changement passe par la prise de conscience du schéma limitant et de ses ancrages dans le passé.
Ce travail peut être rapide ou lent. Il va dépendre de la "maturation" de la personne et de son niveau de développement personnel.
Le thérapeute repère, identifie le schéma, le scénario de vie et rentre dans la boucle pour permettre au patient de le modifier.
Les boucles répétitives sont des boucles pyscho-émotionnelles.En psychanalyse, on peut les associer au principe de compulsion de répétition :
Principe de compulsion de répétition : Traduit la tendance psychique à répéter les expériences fortes, favorables ou non. Processus incoercible et d'origine inconsciente par lequel le sujet se place activement dans des situations souvent pénibles, répétant ainsi les expériences anciennes sans identifier le prototype et avec l'impression très vive qu'il s'agit de quelque chose pleinement motivé dans l'instant. "
BOUCLE PSYCHO-ÉMOTIONNELLE
PENSÉE→ÉMOTIONS→COMPORTEMENT→RECONFIRMATION→PENSÉE...
L'individu est enfermé dans une boucle, au coeur de laquelle se succèdent les pensées, les émotions, les comportements et la résultante de ce comportement confirme la boucle qui se reproduit de nouveau...
il est possible de rentrer dans une boucle à un niveau ou un autre.
La Psychologie comportementale agira sur le comportement et la modification du comportement engendrera la modification de la boucle.
La Sophrologie Analysante agira sur la pensée et/ou les émotions.
En revenant dans une situation, la plus primale possible, là où la boucle s'est cristallisée, on introduit un regard extérieur. La transformation est très profonde et pertinente puisqu'elle passe par le ressenti.
La Sophrologie Analysante est un échange entre thérapeute et patient, c'est à dire qu'une fois la détente installée, les ancrages, les ressources, le thérapeute pose des questions sur l'état émotionnel et sur le factuel. Le patient répond librement.
Le patient revit des situations du passé, enfance, VIU, (intra utérine), conception, entend avec ces "oreilles-là", ressent comme le bébé et comprend en tant que tel avec le potentiel de l'Adulte en lui...C'est un travail sur la MÉMOIRE CELLULAIRE.
Source :
Audrey Steinmetz (formatrice en sophrologie analysante)
Agnès le Guernic : L'Analyse Transactionnelle
La libération des mémoires cellulaires
LA GUÉRISON INTUITIVE
http://guerisonintuitive.com/1-la-liberation-des-memoires-cellulaires
Qu’est-ce que les mémoires cellulaires ?
Dès notre conception, nous enregistrons dans notre corps des émotions liées à des événements vécus qui nous ont blessés, voire traumatisés. Le plus souvent, par un mécanisme de protection, ces événements ont étés refoulés, nous laissant inconscients des conséquences qu’ils génèrent aujourd’hui dans nos vies. Pourtant, bien ancrées dans nos cellules, ces mémoires sont responsables de biens des maux et nous empêchent de nous épanouir librement.
Elles sont à l’origine de la plupart de nos maladies, mais aussi de nos comportements négatifs et de nos schémas répétitifs de vie. Même ce que nous caractérisons comme nos traits de caractère sont imprégnés de ces mémoires que nous portons malgré nous et qui ne demandent qu’à être conscientisées et libérées.
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Quelles sont les conséquences de nos mémoires cellulaires ?
Lorsque des évènements ont été malheureux et que la charge émotionnelle qu’ils ont générée a été trop forte pour être libérée, alors une empreinte restera gravée dans notre mémoire corporelle nous perturbant chacune à sa manière. Nos mémoires ont donc des conséquences aussi diverses que nombreuses dans notre vie. Toutefois, la plupart d’entre elles peuvent se regrouper en 3 catégories :
- Elles peuvent se matérialiser dans notre corps physique en donnant naissance à des douleurs et des maladiesqu’on qualifie alors de « psychosomatiques ».
- Elles peuvent être responsables de nos comportements et même de ce que nous appelons plus communément nosdéfauts.
- Elles peuvent provoquer certains événements et certains schémas répétitifs de vie.
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1. L’impact des mémoires sur les maladies… « C’est psychosomatique ! »
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Tout d’abord, je veux préciser ce que sont les maladies « psychosomatiques», car trop souvent encore on associe ce terme au fait que la maladie n’existe pas et qu’elle est juste imaginaire. Or, les maladies psychosomatiques ne sous entendent pas ça, elles ne signifient pas que cela se passe « dans notre tête ». La maladie ou la douleur existent bel et bien, mais elles ont une origine psychique, psychologique et/ou émotionnelle plutôt que physique.
De manière plus scientifique, nous remarquons que sous l’effet du stress, l’organisme produit des hormones corticoïdes qui abaissent les défenses immunitaires, ce qui expose immanquablement l’individu aux affections.
D’ailleurs, des études récentes semblent indiquer que les maladies psychosomatiques seraient à l’origine de 40 à 50 % des visites chez le médecin et quelques praticiens vont encore plus loin en considérant que quasiment toutes les maladies sont psychosomatiques.
Qu’est- ce que la somatisation ?
De façon assez simple on peut expliquer la somatisation comme la traduction physique d’un conflit ou d’une souffrance psychique. D’une certaine manière, le corps reflète à l’extérieur ce qui se passe à l’intérieur. Bref, ce qui ne s’exprime pas s’imprime.
Quels sont les principaux symptômes ?
La liste n’est pas exhaustive, mais d’une manière générale, voici les plus courants :
- La plupart des troubles gastro-intestinaux constituent les maladies psychosomatiques les plus fréquentes : le foie, les intestins, le côlon, …
- Les maladies de la peau auraient, elles aussi, souvent une origine psychique. Le psoriasis, les verrues, l’herpès, la transpiration excessive, la couperose, les dartres et les aphtes apparaissent lors de contrariétés et d’émotivité.
- Chez les nourrissons et les enfants aussi, la somatisation va prendre place : l’eczéma, l’insomnie, le dérèglement du sommeil, les vomissements, l’asthme, les retards de croissance…
- Même l’évolution de certains cancers serait, d’après certains scientifiques, attribuables aux dérèglements psychiques. Le savant américain Lawrence Le Shan a déterminé qu’une solitude brutale, un choc émotif violent ou un état psychologique désespéré pouvaient intervenir sur la morbidité cancéreuse.
- Les déséquilibres de l’alimentation comme la boulimie et l’anorexie ou encore l’alcoolisme, l’obésité et les maladies cardio-vasculaires liées à une consommation excessive de certains aliments gras ou sucrés… sont également souvent la conséquence d’émotions très fortes.
- L’hypertension artérielle et les migraines se retrouvent également au nombre des symptômes présentés lors de dérèglements émotifs..
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2. L’impact des mémoires sur notre comportement et notre personnalité
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Lorsque nous vivons une émotion dans le présent qui résonne avec une émotion passée, celle-ci va enclencher un processus de reconnaissance. Notre corps va retrouver dans sa base de données l’expérience similaire et l’émotion y étant liée pour ainsi se réactiver. De ce fait, elle peut accentuer, amplifier voire complètement exagérer l’émotion du présent. C’est à cause de ce fonctionnement que certains se mettent en colère pour une bêtise, que d’autres dépriment pour un simple incident et que d’autres encore se retrouvent dans des états de terreur et de panique. C’est ainsi que les personnes phobiques ou dépressives se font, malgré elles, rattraper par leurs émotions d’origine, sans qu’il ne leur soit possible de les contrôler.
Symptômes les plus courants
- Phobies, dépressions, angoisses, insomnies, nervosité, …
- Agressivité, colère, comportement destructeur, …
- Timidité, manque de confiance, échecs, sentiment d’insécurité, …
- Laxisme, indécision, irritabilité, tristesse, honte, culpabilité, …
- Difficulté à lâcher prise : peur de ne pas contrôler
- Difficultés relationnelles, difficultés à communiquer
- Peur de l’inconnu et du changement
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Exemples
- Une phobie de l’eau peut simplement venir d’une mémoire contractée durant l’enfance si vous avez failli vous noyer. Dans ce cas, la vue de l’eau réactive chez vous l’émotion de ce fameux événement. Par contre, cette phobie peut aussi être une mémoire que vous héritez, elle peut vous avoir été transmise par votre grand-mère qui a perdu son fils lors d’une noyade.
- Une difficulté à s’engager dans une relation durable, peut venir d’une volonté d’éviter à tout prix une éventuelle séparation que vous auriez vécue dans votre enfance et d’ainsi ne pas revivre une telle souffrance. Elle peut aussi venir d’une blessure d’abandon face à une personne que votre maman aimait et qui est partie. Elle vous a alors transmis cette peur de revivre cette même souffrance.
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3. L’impact des mémoires sur les événements et les schémas répétitifs de notre vie
« Tout ce qui ne vient pas à la Conscience se retrouve sous forme de destin »
Carl Gustav Jung
La psychogénéalogie ou ces ancêtres qui nous lèguent leurs vécus.
Lorsque l’on dit que notre caractère ressemble à celui d’un de nos parents, de nos oncles ou de notre grand-père, c’est simplement parce que l’on est porteur des mêmes bagages émotionnels, des mêmes mémoires. Et de la même façon, ils nous lèguent aussi leurs histoires et leurs vécus. Le plus impressionnant quand on fait un travail en psychogénéalogie, c’est lorsque l’on s’intéresse aux événements de chacun des membres de notre famille et surtout à ceux de nos aïeux. Quand on commence à s’attarder sur les dates autant que les faits on peut trouver d’étranges similitudes dans les échecs, les décès, les trahisons, les ruptures, le nombre d’enfants, d’avortements ou de fausses couches ; mais aussi dans les rapports qu’ils avaient entre eux, les disputes, les abandons ou les rejets qui ont étés vécus. C’est là qu’on identifie clairement les cycles de répétition de notre ligné familiale.
Toutefois, au-delà de celles-ci, existent aussi nos propres cycles et nos propres schémas répétitifs de vie que nous aussi nous lèguerons à nos enfants et à toute notre descendance. Pour nous-même comme pour eux, il est de notre devoir de couper ces liens qui nous maintiennent dans ces spirales infernales.
Symptômes à répétition
- Stérilité, fausses couches, complications des grossesses, …
- Séparations, humiliations, abandons, rejets, trahisons, …
- Échecs professionnels, relationnels, amoureux, …
- Maltraitances, incestes, abus de pouvoir, violences, …
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Exemples de cas
- Une stérilité pourra être la conséquence d’une de nos ancêtres morte lors d’un accouchement, ainsi pour éviter ce danger de mort, le corps ne permettra pas de naissance.
- Quelqu’un qui sera régulièrement trahit dans ses relations amoureuses peut transporter dans sa mémoire la croyance de sa grand-mère qui était que tous les hommes trahissent.
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Comment prendre conscience de ses mémoires cellulaires ?
C’est dans notre histoire, dans notre passé que nous pouvons trouver la source de nos problèmes et les réponses à nos questions. Malheureusement, tenter de percer les secrets de notre inconscient ne s’avère pas toujours aussi simple quand on décide de faire cavalier seul. Lorsque nous allons mal, nous avons tendance à garder le nez dans nos problèmes, or il faut commencer par pouvoir prendre du recul et regarder sa propre vie sous un autre angle. Ensuite, cela implique également de sortir de son mental, de laisser de côté les jugements et les analyses pour simplement être à l’écoute de nous-même, de nos émotions, de nos ressentis et de notre intuition, car c’est dans notre inconscient que sont allées se cacher nos blessures et nos mémoires de souffrances. Par instinct de survie, le corps nous protège de cette souffrance et lorsque celle-ci est jugée trop douloureuse, il se charge de l’engloutir et de l’oublier. Toutefois, bien qu’oubliées ces blessures et ses souffrances sont toujours à l’intérieur de nous. Elles subsistent dans notre subconscient et sont souvent somatisées.
C’est par la reconnexion à notre enfant intérieur que nous pourrons prendre conscience des souffrances, des croyances et des peurs qui nous maintiennent dans nos schémas négatifs. C’est en en se reconnectant à l’enfant blessé en nous que nous pourrons enfin faire remonter à la surface la cause même de notre problème pour nous en libérer. Nous pourrons alors « ressentir » en conscience cette blessure originelle, car ressentir, ce n’est rien d’autre que « sentir à nouveau ». Lorsque nous ressentons quelque chose nous ne faisons que laisser émerger en nous les mémoires de ce que nous avons sentis la toute première fois. C’est d’ailleurs très clairement le cas des phobies. Lorsqu’un enfant qui s’est fait mordre par un chien, garde une fois adulte, une peur panique envers les chiens, son corps ne fait que lui remémorer sa première peur. Les phobies sont des cas assez extrêmes et supposent presque toujours un choc voire un traumatisme déclencheur, mais dans une moindre mesure, il en va de même pour toutes nos mémoires, le fonctionnement psychique est identique.
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Comment se libérer de ses mémoires cellulaires ?
Lorsque nous avons trouvés et pris conscience de l’origine de notre mal, le plus gros du travail est fait. En effet, reprendre contact avec les émotions qui ont été refoulées et réprimées, les laisser s’exprimer et couler librement dans notre corps est ce qui nous libère vraiment.
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Je vous propose un exercice simple et efficace de libération de mémoires cellulaires.
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Trucs et astuces pour se libérer de ses mémoires cellulaires
Il n’est pas toujours simple de prendre conscience des mémoires que notre corps porte en lui, nous sommes souvent coincés dans nos schémas et nous avons de la difficulté à sortir de notre personnalité émotionnelle et mentale pour prendre le recul nécessaire de l’observateur. L’aide d’un thérapeute est donc parfois nécessaire, car il apporte souvent un nouveau regard sur votre histoire, votre maladie ou votre mal être. Le thérapeute lui-même doit d’ailleurs parfois s’en remettre à un de ses collègues pour prendre conscience de ce qui se passe en lui, c’est tout à fait normal de se faire aider à certains moments de sa vie.
Malgré tout, il nous est possible d’effectuer une grande partie du travail seul et de s’engager dans sa propre déconstruction et déprogrammation de ses mémoires. Pour cela, il nous faudra faire preuve de volonté, de patience et de persévérance, mais comme tout ce que nous entreprenons de nouveau dans notre vie, c’est à force de travail et d’expérience que nous parvenons à la réussite. Pour vous aider, voici donc quelques trucs et exercices qui vous permettront d’entamer cette libération :
- Lorsque des douleurs ou des symptômes apparaissent, notez tout ce qui a pu se passer dans votre vie au même moment ou quelques temps avant. Soyez aussi attentif à ce à quoi vous avez pensé ou à ce qui vous a tracassé voire angoissé, puis n’oubliez pas de prendre également en compte les émotions et les ressentis qui vous ont traversés. Surtout, ne négligez aucun point sous prétexte qu’il soit anodin, car vous seriez surpris de voir à quel point nous pouvons être déconnectés et inconscients de nos propres causes de souffrance.Nous n’avons pas l’habitude de prêter attention à toutes ces choses et nous minimisons souvent l’effet qu’elles peuvent avoir. D’ailleurs, plus qu’une question d’inattention, il s’agit d’une réaction de protection face à la souffrance. Lorsque quelque chose nous touche et nous blesse, instinctivement nous avons tendance à le chasser pour ne pas souffrir. Combien de fois même ne donnons-nous pas ces conseils « n’y pense plus », « chasse toi ça de la tête », « tourne la page », « passe à autre chose », …
- Chaque fois qu’il vous arrive d’être en colère, blessé ou triste, chaque fois qu’une émotion surgit en vous, observez ce qui l’a provoquée. Tentez de rester détaché de l’émotion pour uniquement observer sans jugement le sentiment déclencheur de l’émotion. Interrogez-vous sur la cause réelle de ce qui a fait rejaillir cette émotion. Je conseille parfois aux gens de se poser juste la question « pourquoi ? » et de voir ce qui se cache réellement derrière. Par exemple, si quelqu’un vous fait une remarque sur votre travail, demandez-vous ce qui vous fait vraiment réagir. Est-ce simplement le fait que cette remarque ne soit pas justifiée ou persiste-t-il derrière une émotion liée au manque de reconnaissance qu’à votre supérieur, faisant émerger chez vous le souvenir d’un parent qui ne vous a pas reconnu, qui n’a pas reconnu vos qualités. Reprenez contact avec votre corps et vos émotions, apprenez à ressentir et à définir vos émotions. La méditation et la relaxation sont de très bons outils pour renouer avec son Être. Si vous ne savez pas comment vous y prendre, il existe des tas de méditations guidées sur internet qui vous aideront. Les exercices de respiration consciente sont aussi efficaces et assez simples, ils vous permettront de réintégrer rapidement les sensations de votre corps. S’il est si important de retrouver l’intégralité de ses ressentis dans son corps, c’est parce que pour prendre conscience de nos mémoires il nous faut être à l’écoute de ce qu’elles nous disent et leur langage s’effectue par votre corps, c’est leur moyen d’expression. Pour les voir et les comprendre, il vous faut donc réapprendre à les écouter.
- Prêtez attention à vos rêves, ils sont le langage de votre inconscient. Notez-les, si possible, car en plus d’être un bon moyen pour ne pas les oublier, écrire ses rêves permet de se souvenir plus facilement des prochains. Même si vous ne vous sentez pas capable de les analyser ou de les comprendre vraiment, retenez juste les sensations que vous avez eues durant le rêve. Prenez conscience des émotions qui vous ont traversées, des peurs, des peines, des colères, … et surtout observez les raisons pour lesquelles elles se sont déclenchées. Vous verrez que de cette manière vous en découvrirez déjà beaucoup sur vous-même.
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