Blog
-
578/ 13354 / 16059/
- Par Thierry LEDRU
- Le 01/01/2012
Ce sont les statistiques de visites depuis la création de ce site.
2009 : novembre et décembre : 578 visites
2010 : 13354 visites
2011 : 16509 visites
TOTAL DE VISITES: 30441
TOTAL DE PAGES LUES : 84775
Il y a 544 billets dans le blog et 307 commentaires.
Je suis bien entendu touché par cette fréquentation croissante.
D'un point de vue personnel et strictement égoïste, je sais pour en avoir parlé avec un éditeur que cette fréquentation comporte un certain intérêt au regard de la promotion d'une maison d'édition. Il s'agit donc pour moi également d'un argument de poids. N'hésitez pas à présenter ce blog à vos connaissances si vous voulez participer à votre mesure dans mes projets d'édition. Merci à vous.
Je continue mes recherches pour la publication de mes textes. Le tome 3 de Jarwal le lutin est fini..."Jusqu'au bout", "Ataraxie" et "Les Eveillés" sont en lecture dans plusieurs maisons. Affaire à suivre...
-
V pour Vendetta
- Par Thierry LEDRU
- Le 31/12/2011
"Si vous cherchez des coupables, regardez-vous dans un miroir"..; (et moi aussi bien entendu.)
-
Do it yourself
- Par Thierry LEDRU
- Le 31/12/2011
Un mouvement de contestation des années 1970...
Les Indignés actuels.
Qu'en reste-t-il ? Rien. Pour la bonne raison que tout le monde a fini par rendre les armes. La raison en est très simple : récupération du mouvement par des instances dirigeantes, une infiltration sournoise qui a fini par donner au mouvement une direction mercantile. Il a suffi que quelques leaders trouvent dans le plaisir des projecteurs une identification vite récupérée. Un travail existentiel insuffisant. Dès lors qu'on s'adapte à une société malade en usant pour la contester des fonctionnements qu'elle a construits, on lui appartient.
Do it yourself
Philosophie Do It Yourself
On peut associer la formule « Do It Yourself » au « bricolage » ou encore au « système D », mais cela ne s'arrête pas là. Qu'est ce qui s'apparente à la philosophie « faites-le vous-même » ?
- Toute activité où l'on n'est plus spectateur ou consommateur.
- Participer, et échanger ses connaissances, sa culture, son information, débattre et décider par exemple sur une encyclopédie libre, telle Wikipedia.
- Toute activité créatrice ; exemples : l'artisanat, ou la notion de création, avant l'ère industrielle.
- Tout recyclage, consumériste, technologique ou culturel.
- L'auto-édition de livres, magazines, bandes dessinées et de remplacement.
- Les groupes ou artistes solo libérant leur musique (musique libre) ou la finançant sans les maisons de disques.
- La culture de la cassette, et de la copie « privée » ou plus dans la culture punk.
- La création artisanale comme le tricot, la couture, les bijoux faits à la main, la céramique, etc.
- En informatique, les logiciels libres, ou le hack.
- En comédie, le détournement situationniste, ou tout simplement toute parodie.
- Beaucoup d'activité créatrice pour enfant.
- L'auto-régulation, l'auto-organisation, la démocratie directe.
- La conception libre de médicaments3.
Dans la culture punk
Dans la culture punk, l'éthique DIY est liée à la vision punk anti-consumériste ; c'est un rejet de la nécessité d'acheter des objets ou d'utiliser des systèmes ou des procédés existants.
Le DIY comme sous-culture a sans doute commencé avec le mouvement punk des années 19704. On peut noter cependant que la débrouille, le bricolage, les activités pour enfants, etc., existaient avant le mouvement punk DIY.
En musique les groupes punk émergents effectuent souvent des spectacles dans les sous-sol des habitations, plutôt que sur des scènes traditionnelles, pour éviter le mécénat d'entreprise ou pour assurer la liberté de la performance. Depuis, alors que de nombreuses salles ont tendance à fuir la musique expérimentale, les maisons (ou les caves) sont souvent les seuls endroits où ces groupes peuvent jouer. L'underground est alors réellement underground, et pourtant les salles de spectacle dans les caves gagnent en renommée dans les grandes villes.
Les adhérents de l'éthique punk DIY peuvent également travailler collectivement. Par exemple, le CD Present (une compagnie musicale de promotion de concert) de l'imprésario punk David Ferguson permettant une production de concerts DIY, et octroyant un studio d'enregistrement, et un réseau de maisons de disques5.
L'éthique punk DIY s'applique également à la vie quotidienne, tels que l'apprentissage de réparation de vélos plutôt que les conduire à l'atelier, la couture (réparation/modification des vêtements plutôt que d'acheter de nouveaux), la culture de jardins potagers, la récupération de produits réutilisables dans les poubelles. Certains enseignants se livrent aussi à des techniques d'enseignement de bricolage, parfois appelé Edupunk.
De ce fait le mouvement DIY est une approche concrète et une mise en pratique de l'écologie et de l'anticapitalisme, par l'anti-consumérisme.
Engagement politique
Au-delà d'une simple volonté de récupération, le mouvement Do It Yourself (il ne s'agit pas d'un mouvement constitué) se voit comme une alternative politique en opposition au monde d'ultra-consommation dans lequel il baigne. Ses membres sont ainsi souvent liés à l'anarchisme, l'autogestion et aux mouvements squat et punk. Le besoin de créer, d'avoir une certaine indépendance par rapport à l'industrie et aux grands groupes commerciaux, de retrouver un savoir-faire abandonné les pousse à trouver des solutions pour faire le maximum de choses par eux-mêmes, en opposition à la marchandisation dominante, tout en recherchant la gratuité ou les prix faibles.
Alors, finalement, quelle est la solution ?
Changer soi-même.
Sans adhérer à quoi que ce soit.
Et lorsque les individus ayant trouvé une voie personnelle parviendront à un nombre suffisant, la vie qu'ils mèneront deviendra une ouverture possible au plus grand nombre. Sans aucune intention de le faire, juste par mimétisme, osmose, reconnaissance spirituelle.
L'arbre de la forêt ne cherche pas à convaincre ses confrères de pousser comme lui. Ca n'empêche pas la forêt d'exister.
-
Et voilà l'Amour ! (spiritualité)
- Par Thierry LEDRU
- Le 31/12/2011
Pas de calendrier, pas d'autorisation légale, pas de signal de départ. JUSTE TOUT LE TEMPS !!
-
Je ne souhaite rien à personne.
- Par Thierry LEDRU
- Le 31/12/2011
Les fêtes n'ont jamais été l'occasion d'une étincelle étant donné qu'elles sont des formes historiques de conditionnement. "Allez, aimez-vous, c'est le moment. Oubliez que vous dormez, on s'occupe de tout." Une étincelle sera envisageable le jour où les gens arrêteront de suivre des mouvements de masse. Mais encore faut-il que chacun des individus concernés prennent conscience de son existence et arrête d'exister à travers les formatages éducatifs.
Les mouvements de masse qui sont générés par des idées communes issues de quelques individus ne sont pas des mouvements évolutionnaires mais de nouvelles adaptations. Que ces mouvements soient contestataires ne changent rien dès lors qu'ils usent des mêmes fonctionnements que les mouvements anciens qu'ils combattent. On reste toujours dans le même moule. Que ce soit le côté blanc à la place du noir ne change rien. C'est toujours le même spectacle. Je ne crois absolument pas à une évolution positive de l'humanité tant que les individus n'auront pas effectué ce travail IMMENSE de la conscience de l'Unité. Chacun continuera à œuvrer dans un schéma égotique en l'habillant d'intentions générales. Dès lors qu'il y aura un leader, il n'y aura pas d'évolution, dès lors qu'il y aura une pensée commune instituée par un leader, il n'y aura pas d'évolution, dès lors qu'il y aura des mouvements de masse contestataires sans une totale remise en question philosophique, spirituelle, existentielle et non seulement économique, sociale, syndicale, il n'y aura pas d'évolution. Les fêtes du calendrier ne seront jamais des remises en question philosophique mais la continuité édulcorée des mouvements de masse.
Un jour, on travaille tous ensemble et un jour on rigole tous ensemble. Pour quelles raisons ? Qu'est-ce qui se cache derrière tout ça ? Mais on s'en fout !! Pourvu qu'on se marre...
les hommes font la société et pas l'inverse. Les hommes créent et entretiennent cette société qui convient à leurs fonctionnements. Lorsque les hommes changeront, la société changera. Elle n'existe pas par elle-même, elle n'a pas de vie propre. Sinon, cela signifierait qu'un groupe existerait et fonctionnerait sans aucun élément inséré dans ce groupe. Je suis instituteur et une classe est une micro société. Ce sont les éléments du groupe qui constituent la classe et agissent sur les mouvements internes du groupe. S'il n'y a pas d'élève, il n'y a pas de groupe-classe. Le cadre de la classe induit par contre des fonctionnements précis, des règles de vie. On ne se comporte pas dans la classe comme on le fait chez soi. Il y a des données inférentes au groupe. Mais elles sont acceptées dès lors que chaque individu y trouve la sécurité et le bien être dont il a besoin. Et chaque individu participe activement au bien être de l'ensemble étant donné qu'il en est lui aussi le bénéficiaire. Chaque individu crée le groupe. Les hommes créent la société.
Tant que les hommes, individuellement, se comporteront de façon à préserver les fonctionnements dans lesquels ils se reconnaissent, par conditionnement historique, éducatif, économique, et bien cette société restera ce qu'elle est.
Un vaste lunapark où déambulent des costumés.
Ce soir, ils auront la bouteille à la main et se feront la bise.
Après-demain, ils iront bosser. Avec un autre costume.
-
Le "sens" du Temps...
- Par Thierry LEDRU
- Le 31/12/2011
L'article a au moins l'avantage d'être clair quant à l'intérêt du calendrier, des fêtes, du "partage"... Tout est économique.
Les îles Samoa sont passées directement du 29 au 31 décembre
samedi 31.12.2011, 05:12 - La Voix du Nord
Pour se faciliter la vie, les Samoans ont sauté un jour dans le calendrier et ont fêté ça joyeusement jeudi soir.PHOTO AFP | PACIFIQUE SUD |
Les îles Samoa, petit archipel du Pacifique sud, ont changé hier de fuseau horaire.
Les pendules ont fait un bond de 24 heures vers le futur, effaçant du calendrier la journée du 30 décembre 2011, pour être mieux en phase avec l'Australie et la Nouvelle-Zélande, aujourd'hui principaux partenaires économiques des Samoa.
Les habitants rassemblés sur une des principales places de la capitale Apia ont applaudi quand l'horloge a sonné minuit le jeudi 29 décembre, transportant instantanément le pays 24 h plus tard, le 31 décembre.
Pour les Samoans, la date du 30 décembre 2011 n'a tout simplement pas existé, un événement dignement fêté sur l'archipel.
Il y a 119 ans
Les Samoa ont ainsi annulé une décision prise il y a 119 ans, en 1892, qui leur donnait plus de 20 heures de retard sur l'Australie et la Nouvelle-Zélande, mais facilitait leurs relations avec leurs principaux partenaires commerciaux d'alors, en Californie. Et la nation polynésienne pouvait se présenter comme le dernier endroit sur Terre à voir chaque jour le coucher du soleil... Mais le décalage horaire, au fil des années, s'est révélé problématique. Quand il était vendredi aux Samoa, c'était déjà samedi en Nouvelle-Zélande. Quand les Samoans allaient à l'église le dimanche, Sydney et Brisbane faisaient eux des affaires, rappelait le Premier ministre Tuila'epa Sailele Malielegaoi. « Il faut se souvenir que 90 % de nos gens émigrent en Nouvelle-Zélande et en Australie. C'est pourquoi il est absolument vital de faire le changement », soulignait-il quelques jours avant le changement de fuseau d'horaire.
« Aujourd'hui, nous faisons beaucoup plus d'affaires avec la Nouvelle-Zélande, l'Australie, la Chine et les pays de l'Arc pacifique comme Singapour », observait-il, ajoutant que le changement de fuseau horaire rendrait le commerce avec la région « beaucoup, beaucoup plus facile ».
Quelque 186 000 Samoans habitent aujourd'hui dans les îles, situées à mi-distance entre la Nouvelle-Zélande et Hawaï. Le même nombre de Samoans vivent en Australie et en Nouvelle-Zélande •