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THÈME : Décroissance (9)
- Par Thierry LEDRU
- Le 23/01/2020
Le neuvième regroupement d'articles.
J'ai créé une page dans le menu vertical afin de les archiver.
décroissance, croissance, économie, simplicité volontaire, banques, croissance verte...
Croissance intérieure, décroissance extérieure.
Mystification de la "croissance verte".
Le mensonge de "la croissance verte"
Décroissance contre "vouloir d'achat".
Pic de pétrole et décroissance.
Vivre autrement : la simplicité volontaire (humanisme)
Simplicité volontaire (humanisme)
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THEME : Liberté (8)
- Par Thierry LEDRU
- Le 21/01/2020
Un huitième regroupement d'articles.
Liberté d'expression (1) (politique)
Liberté d'expression. (2) (politique)
Liberté d'expression...(3) (politique)
Libérer les Mémoires cellulaires
Conscience et liberté (spiritualité)
A CŒUR OUVERT : le libre arbitre
Hétéronomie (1) (spiritualité)
Hétéronomie (2) (spiritualité)
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THÈME : Survivalisme (7)
- Par Thierry LEDRU
- Le 20/01/2020
Le septième regroupement d'articles.
Survivalisme, effondrement, collapsologie, biodiversité, changement climatique, entraide, simplicité volontaire, décroissance...
Tout est lié et l'idée même du survivalisme n'aurait pas lieu d'être sans les crises environnementales.
Il s'agit donc d'établir des constats puis d'anticiper sur les actes nécessaires.
Le survivalisme n'est aucunement une volonté de retour à un âge préhistorique ou à l'émergence de communautés refermées sur elles-mêmes mais de la constitution d'une humanité consciente que le point d'équilibre est atteint...Et que le basculement aurait des effets dévastateurs.
Certains scientifiques considèrent d'ailleurs que le basculement a déjà eu lieu...
Isabelle Attard : "L'anarchie n'est pas le chaos"
Compilation des données sur le survivalisme
"Ecologie, éthique et anarchie." (politique)
"L'entraide, un facteur de l'évolution" de Kropotkine
Collapsologie : désastre, mode d'emploi
"Les criminels du climat" (Nature)
Changement climatique : depuis 30 ans
Changement climatique : un aperçu.
Arthur Keller : sur l'effondrement
Épuisement des ressources naturelles
Vivre hors réseaux (simplicité volontaire)
Simplicité volontaire (humanisme)
Sciences étonnantes : réchauffement climatique
Quels enfants laisserons-nous à la planète? (humanisme)
Réchauffement climatique : mécanisme et évolution
Le réchauffement climatique, un mythe ?
Climatiseurs et dissonance cognitive
Climato-sceptique : arguments et objections
Décroissance contre "vouloir d'achat".
Croissance intérieure, décroissance extérieure.
Face à l'urgence climatique, les "J'accuse"...
Le plastique, bombe à retardement.
"Planet of the humans" de Michael Moore
Laurent Testot : collapsologue
"Collapsus : changer ou disparaître"
Impact de la crise sur les enfants
Damien Dekarz, philosophe de la nature
Barnabé Chaillot, géotrouvetou
Une humanité malade d'elle-même
Jean-François Brient : De la servitude moderne
Pourquoi en sommes-nous arrivés là ?
Une serre six pieds sous terre
"Le survivaliste" (mise à jour)
La marginalité et la normalité.
Changements climatiques et épisodes méditerranéens
"Derrière nos écrans de fumée"
Jardin-Forêt : Une Alternative à l'Agriculture
Climat : Le problème de l'eau.
Günther Anders : l'obsolescence de l'homme
Urgence climatique et croissance
"Penser à l'envers" avec André Gorz
Le potager de Bernard Bertrand
L'histoire de l’obsolescence programmée
Le jardin forêt ou forêt comestible
La permaculture ou l'éloge de la simplicité.
Le bon sens paysan, autrefois...
"Propositions pour un retour sur Terre"
Walter Lipmann : la fabrication du consentement
Le message prémonitoire des Indiens d'Amérique
Document de la CIA : "Comment sera le monde en 2025 ?"
Elisée Reclus : une philosophie de la nature
Le Wei Chi : l'opportunité de transformation
Mathieu Auzanneau : Pic de pétrole
"L'effondrement : inéluctable ?" Vincent Mignerot
Les survivalistes dans le collimateur.
John Seymour et l'autosuffisance
Zoonoses et dérèglement climatique
Arthur Keller : un lanceur d'alerte
Pandémie mondiale : scénario de 2016
Réchauffement climatique et menaces planétaires
La diversité du mouvement survivaliste.
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THÈME : Amour (6)
- Par Thierry LEDRU
- Le 14/01/2020
Le sixième regroupement d'articles
L'amour de la Nature (spiritualité)
L'amour en otage (spiritualité)
L'amour entre les peuples. (humanisme)
L'amour et le besoin (spiritualité)
L'amour et le besoin (2) (spiritualité)
L'amour et le besoin (3) (sexualité sacrée)
L'amour inconditionnel (spiritualité)
KUNDALINI : Le territoire de l'amour
Aimer la Terre (spiritualité et Nature)
Amour et sexualité (sexualité sacrée)
"L'amour de la sagesse" (spiritualité)
La confiance, l'amour, la force.
Le couple et l'amour conscient (sexualité sacrée)
Le chemin de l'amour conscient (sexualité sacrée)
La réalité de l'amour (sexualité sacrée)
Là-Haut : " A Blandine, mon amour"
Dans le territoire de l'amour (spiritualité)
Les cinq étapes de l'amour (spiritualité/sexualité sacrée)
Le silence de l'amour (spiritualité)
Etre en amour. (spiritualité/sexualité)
Textes sur l'amour : mise à jour
"TOUS, SAUF ELLE" : Aimer l'amour.
"TOUS, SAUF ELLE" : Entre chaos et amour
Insuffler l'amour dès le premier instant.
Arnaud Desjardins : sur l'amour
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A CŒUR OUVERT : publication
- Par Thierry LEDRU
- Le 11/01/2020
Le 7 ème roman publié.
Inutile de dire combien j'en suis heureux.
Pour les précisions et des extraits, c'est ici : A CŒUR OUVERT
Mille mercis encore une fois à Anita Berchenko et aux éditions du 38 pour cette nouvelle publication.
Un infarctus. Le cœur de Paul Laskin se brise. À l'hôpital, il apprend qu'il est en sursis. Pas de greffon humain disponible, alors l'implantation d'un cœur artificiel lui est proposée. Un concentré de technologie, alimenté par une batterie électrique. Le suivi se fait par informatique, les données collectées en direct sont analysées par les chirurgiens.
Paul n’a pas le choix. Il accepte l'opération. Il accepte d’être un cobaye.
Il n'est qu'au début du chemin. Des phénomènes incompréhensibles, une rupture totale, inexplicable, sa personnalité qui change du tout au tout, un questionnement qui prend forme. Et des craintes récurrentes. Une dépendance aussi à la source d’énergie constituée par les batteries de son cœur artificiel.
Tout n’est pas prévisible avec l’intelligence artificielle, les circonstances peuvent aller à l’encontre de la technologie, et la Vie, elle-même, peut révéler sa Toute-Puissance.
Mais malgré tout, Paul démarre un cheminement intérieur qui le mène vers la lumière, à la source de tout, au cœur du réel. Et l’amour comme un cadeau.
« La nuit avant l’opération, j’ai eu une interrogation insistante. Puisque la rumeur publique dit que l’amour est dans le cœur, qu’en sera-t-il lorsque je vivrai avec un cœur artificiel ? Où l’amour sera-t-il logé ? Est-ce qu’il ira se nicher dans mon cerveau ? Et puis, quelle est la part de vérité de cette interprétation ? Pourquoi faudrait-il qu’il soit caché dans notre cœur ? »
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Steve Cutts : the turning point
- Par Thierry LEDRU
- Le 10/01/2020
Est-ce qu'il serait utile de commenter ?
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Australie
- Par Thierry LEDRU
- Le 10/01/2020
Les scientifiques l'avaient annoncé mais leurs prédictions allaient à l'encontre du maintien de la croissance économique. Le capitalisme, le néo-libéralisme, le système politique qui appartient aux puissants, aux lobbies et à ceux qui profitent de leurs mannes financières, le chantage à l'emploi, les désirs consuméristes des populations, l'idée que l'avoir doit l'emporter sur le développement de l'être au détriment même de la vie, tout cela nous conduit au désastre. L'Australie apparaît aujourd'hui comme un laboratoire expérimental, une vue en accéléré des prochaines décennies sur tous les continents.
Ce que les scientifiques avaient annoncé en Australie n'a pas été entendu. La pire des choses serait de ne pas écouter ce qu'ils disent aujourd'hui pour l'ensemble de la planète.
Clive Hamilton : « En Australie, nous devrons faire le deuil de l’avenir » !!! Dans une tribune au « Monde », le philosophe australien Clive Hamilton dit sa rage face au déni des dirigeants de son pays, qui refusent d’admettre que le réchauffement climatique soit à l’origine des terribles feux de forêt ravageant l’Australie.
Tribune. On croirait l’apocalypse. Une catastrophe nationale est en train de se produire, qui, chaque jour, crée de nouveaux chocs. « Le ciel est en feu », « Une telle rapidité et une telle furie », « On dirait une zone de guerre ». Voilà quelques-unes des phrases employées pour saisir la violence des incendies par ceux qui les combattent.
Cela fait maintenant trois mois que le feu ravage des terres déjà grillées par la sécheresse et des arbres assoiffés par des vagues de chaleur précoces [l’été débute en décembre dans l’hémisphère Sud]. La surface de forêt rasée à ce jour est six fois supérieure à celle de la forêt amazonienne détruite pendant toute l’année 2019. Une superficie équivalente à celle de la Belgique a été réduite en cendres.
Le sud du littoral de la Nouvelle-Galles du Sud, à cette période de l’année plein à craquer de familles en vacances, est en train d’être évacué alors qu’une localité après l’autre disparaît sous les flammes. Dans l’Etat de Victoria, des milliers de personnes se sont retrouvées piégées sur une bande de terre coupée du continent par le feu et la marine a été mobilisée pour les secourir par bateau.1 milliard d’animaux ont déjà péri
Le nombre d’animaux qui ont déjà péri est estimé à 1 milliard. Des colonies entières de koalas ont été réduites à néant. Des renards et des chats errants attendent aux abords des fronts de flammes que de petits mammifères et reptiles en fuite leur courent tout droit dans la gueule.
Et cela fait des semaines que Canberra, pour l’heure épargnée par les flammes, suffoque sous un épais manteau de fumée provenant des gigantesques incendies qui ravagent l’est et le sud-est de la capitale. Depuis des jours, la ville affiche l’indice de pollution le plus élevé de toutes les métropoles du monde, un indice plus élevé que celui de New Delhi ou de Pékin, avec des niveaux souvent dix à vingt fois supérieurs aux seuils jugés dangereux.
La journée du samedi 4 janvier a été la plus chaude depuis l’existence des relevés de températures, avec 44 °C à Canberra. A Penrith, en banlieue de Sydney, le thermomètre a atteint la température écrasante de 49°C, une chaleur qui coupe le souffle rien qu’à y penser.Une bête qui sillonne le pays
Ces feux ont quelque chose de fou. Des pompiers chevronnés racontent n’avoir jamais rien vu de la sorte. Nous ne disposons pas des concepts ni de l’expérience qui nous permettraient de saisir ce qui est en train de se passer. Les Australiens qui ne combattent pas les feux et ne participent pas aux secours regardent les images médusés. Les incendies des étés précédents étaient un spectacle, un spectacle que l’on regardait en sécurité, de son salon, en ville. Mais pas cette fois.
Le spectacle s’est métamorphosé en une bête qui sillonne le pays en détruisant tout sur son passage. Les incendies créent des phénomènes météorologiques alors qu’ils traversent les forêts. Les personnes qui restent pour défendre leur propriété contre le feu parlent de gigantesques murs de flammes qui projettent des pluies de braises, lesquelles enflamment tout alentour. Un rugissement de trains de marchandises se fait entendre, tandis que les animaux hurlent.
Les Australiens, qui ne prêtaient jusque-là pas attention aux discours des climatologues du monde entier, observent ces scènes avec horreur. Ce que nous redoutions est en train de se produire ; mais nous pensions que nous aurions encore deux ou trois décennies avant d’avoir l’impression de vivre l’apocalypse. Or, l’avenir est arrivé, et ce que les prochaines années ont à nous apporter nous remplit d’effroi.
Le pays aux mains des climatosceptiques
L’ampleur de la catastrophe est telle qu’il est impossible de nourrir un quelconque sentiment de satisfaction à l’idée d’avoir eu raison. Mais il est également impossible de faire taire la rage ressentie à l’encontre des responsables politiques et des lobbyistes du charbon [l’extraction de la houille est un secteur important en Australie] qui font semblant de prendre les avertissements des scientifiques au sérieux ou les traitent de chimères.
Ces incendies nous envoient un message : « Voilà ce que la terre fait lorsque l’homme consomme des énergies fossiles à tout-va et réchauffe la planète. »
Lire aussi Incendies : l’Australie évalue les dégâts après une des pires journées depuis le début de la crise
Cela fait des années que l’on nous dit que, parmi les pays industrialisés, l’Australie est le plus exposé aux conséquences du réchauffement climatique. Or, le gouvernement australien est aux mains de climatosceptiques qui ne reconnaîtront pas que ces incendies infernaux surviennent plus souvent et avec plus de violence à cause du réchauffement mondial. Notre gouvernement s’oppose à des réductions plus massives des émissions mondiales de CO2 et encourage activement le développement de la colossale mine de charbon du groupe Adani dans le Queensland.
Je pensais autrefois que des catastrophes manifestement causées par le changement climatique feraient tomber les murs psychologiques du déni. Mais je me trompais. Il est à présent clair que ceux qui sont dans le déni regarderaient le pays entier partir en fumée plutôt que d’admettre qu’ils avaient tort. Leurs maisons peuvent brûler, leurs familles finir calcinées qu’ils continueraient de trouver le moyen de nier les preuves duTraumatisme
Le premier ministre conservateur, Scott Morrison, contraint par la colère des Australiens de rentrer des vacances qu’il passait à Hawaï tandis que le pays brûlait, déploie tous les talents qu’il a développés au cours de sa précédente carrière dans le marketing pour pointer du doigt des facteurs autres que le changement climatique.
En 2019, 23 anciens responsables de services de gestion de situations d’urgence et d’incendies se sont regroupés et ont tenté d’obtenir un rendez-vous avec le premier ministre pour l’avertir des catastrophes sur le point de se produire et de la nécessité de s’y préparer. Les catastrophes sont bien plus désastreuses qu’ils ne le pensaient et ils ont peur. Mais le premier ministre a ignoré leurs demandes de rendez-vous.
Et maintenant ? Difficile de savoir comment le traumatisme s’exprimera quand les feux se seront éteints et que le pays commencera à se relever. Certes, il y aura la gratitude pour les pompiers qui se sont battus jusqu’à l’épuisement. Il y aura l’aide aux personnes traumatisées et la détermination de reconstruire les vies brisées.Une vague de dégoût
Mais on peut aussi s’attendre à une vague de dégoût envers ces responsables politiques qui nous ont si magistralement trahis, et à une poussée de militantisme en faveur d’un changement.
Au-delà de tout cela, il y aura le deuil. Le deuil de ceux qui ont péri, des villes détruites, des magnifiques forêts carbonisées et désormais silencieuses, des innombrables oiseaux et autres animaux calcinés ou morts de faim parce que leur habitat a été détruit.
Des étendues de terre ont été transformées en paysages fumants et noircis, à Quaama, dans l’État de la Nouvelle-Galles du Sud, le 6 janvier. SAEED KHAN / AFP
Mais nous devrons aussi faire le deuil de quelque chose de plus difficile à définir : la mort de l’avenir. Ces incendies, comme les catastrophes causées à travers le monde par le changement climatique, font voler en éclats notre vision du monde. D’une façon ou d’une autre, nous devons commencer à imaginer un nouvel avenir sur une terre de plus en plus chaude, une terre de plus en plus hostile à la vie humaine.(Traduit de l’anglais par Valentine Morizot)
Clive Hamilton est philosophe, professeur d’éthique publique à l’université Charles-Sturt à Canberra (Australie) et ancien membre du Conseil australien sur le changement climatique. Il est notamment l’auteur de « Requiem pour l’espèce humaine » (Presses de Sciences Po, 2013) et des « Apprentis sorciers du climat » (Seuil, 2013). -
Thierry Casasnovas : Régénérescence
- Par Thierry LEDRU
- Le 09/01/2020
"Thierry Casasnovas partage ici des clés de régénération qu’il a testées sur lui-même alors qu’il était entre la vie et la mort suite à des habitudes de vie inappropriées : conseils naturels, alimentation, hygiène de vie, repos... Et si on écoutait notre corps? Car celui-ci est bien plus intelligent qu’on ne le croit! Thierry vit dans la région catalane. Il a suivi des études scientifiques et obtenu une maîtrise de physique nucléaire.
A 33 ans, il se retrouve entre la vie et la mort, son organisme épuisé par des habitudes de vie inappropriées. C’est alors un véritable déclic pour lui : Il modifie radicalement sa façon de vivre, se plonge dans des études scientifiques de physiologie et chimie organique, à la recherche de clés de la régénération et de la bonne santé. Après les avoir appliquées à lui-même, il propose depuis plusieurs années des conseils naturels en alimentation et en hygiène de vie, via sa chaîne Youtube, des rencontres et des stages."
Et voilà ce que ça donne ensuite...
Thierry Casasnovas - RGNR
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La police de la pensée se déchaîne !
Il faudrait donc penser que tous les gens qui commentent cette vidéo sont des déglingués, des hurluberlus hallucinés, et que Thierry Casasnovas est un gourou, dangereux et sectaire. Et donc, que je suis, moi aussi, un halluciné déglingué étant donné que j'écoute toutes ses vidéos et que je les applique depuis plusieurs années.
«Vous ne réalisez pas à quel point il est difficile d'exposer la vérité dans un monde rempli de gens qui ne sont pas conscients de vivre dans le mensonge»